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Pas assez « croyant », ce pourrait bien être cela, « le problème »
J'ai déjà eu ce même sentiment par le passé, plusieurs fois, le mettant par moments beaucoup sur le compte de prêches et de la présence d'un pasteur, à ces audiences, à Nanterre ainsi qu'à la cour d'appel de Versailles, dans la chambre des créatures inférieures, tout comme auprès de sa première présidence. Mais certaines opinions telles que de « psychologues » ainsi que de l'expert, le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, m'ont également beaucoup gênées au cours de ces dernières années. Pas assez « croyant » pour cette République ? A quoi faut-il se convertir pour plaire ?
21 juillet 2008, la France rend hommage
aux soldats tués en Afghanistan
Très récemment, la chambre des créatures inférieures présidée par « M. ECHAPPE » concluait que le « prosélytisme religieux » dont je me plaignais encore en décembre dernier n'était pas avéré. Est-ce bien sérieux ?
Ce que je viens de lire ce soir ne fait que renforcer d'avantage mes sentiments, j'y ai souvent songé. C'est assez drôle ; par le passé, dans un blog, tout en le respectant quand même, j'avais suggéré à un fervent apôtre de troquer quelques rayons ou étagères de droit contre un peu plus canon. Ce qui suit semble être de sources assez fiables.
Mais il pourrait s'agir d'un homonyme ; que signifie « placé en position de disponibilité » ? Sur l'arrêt de janvier, je ne suis pas sûr d'avoir vu les prénoms des magistrats qui composaient récemment la Cour. Je vais le relire, en ne regrettant absolument pas l'envoi d'une clef USB ou d'un son « explicite », à Versailles, en septembre dernier.
De source www.archives-judiciaires.justice.gouv.fr... M. Olivier ECHAPPE, conseiller technique chargé des affaires juridiques, judiciaires et internationales d'avril 1993 au 7 octobre 1994. Né le 5 janvier 1956. Doctorat de Droit ; Institut d'études politiques de Paris. Auditeur de justice (1981) ; juge au tribunal de grande instance de Sens (1983) ; juge d'instruction (1985) et secrétaire général adjoint (1985) puis secrétaire général de la présidence au tribunal de grande instance de Paris (1990) ; conseiller référendaire à la Cour de cassation (1991). Carrière universitaire : chargé d'enseignement à l'Université de Paris I (1980) ; chargé de cours (depuis 1986) et vice-doyen (depuis 1992) de la faculté de droit canonique de l'Institut catholique de Paris ; professeur invité à l'université catholique d'Afrique centrale à Yaoundé (Cameroun). (Source : Guide du pouvoir 1994, Who' s Who 1994-1995)
JORF n°0165 du 17 juillet 2008 page ??, texte n° 59
Décret du 15 juillet 2008 portant nomination de magistrats
NOR: JUSB0815337D, sur www.legifrance.gouv.fr, extrait
Cour d'appel de Versailles
Présidents de chambre :
M. Olivier ECHAPPE, magistrat hors hiérarchie placé en position de disponibilité.
Polybe nous dit que, de son temps, les serments ne pouvaient donner de la confiance pour un Grec, au lieu qu'un Romain en était, pour ainsi dire, enchainé • Chapitre X, De la corruption des Romains, Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, Montesquieu, 1721
8 commentaires
Il s’érige contre le Quick halal d’Argenteuil
Le Parisien | 24.02.2010, 07h00, extrait
Charles Aslangul, jeune élu UMP du Val-de-Marne, revendique le collage d’affiches hostiles aux hamburgers halal sur le fast-food d’Argenteuil. Sur les vitrines du Quick d’Argenteuil, il ne reste plus aucune trace de l’opération coup de poing menée par l’association l’Ordre républicain. Ces « défenseurs des valeurs de la République » – comme ils se font appeler – ont placardé des affiches sauvages sur les façades des Quick d’Argenteuil et de Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne). « Que du halal? Non merci! » pouvait-on lire, entre autres, sur ces petits posters. Depuis le mois de décembre en effet, ce fast-food d’Argenteuil, comme plusieurs autres en France, expérimente le halal dans tous ses hamburgers. Cet énigmatique Ordre républicain est en fait piloté par Charles Aslangul. Son association, il la présente comme « apolitique ». Or, ce jeune homme de 21 ans est par ailleurs conseiller municipal (UMP) de Bry-sur-Marne (Val-de-Marne). Mais attention, au moment de cette opération, il n’agissait pas « sous le compte de la ville, mais en tant que président de l’Ordre républicain », insiste-t-il. Le maire (UMP), Jean-Pierre Spilbauer, a refusé de commenter cette action. « Elle ne concerne en rien la ville de Bry-sur-Marne », a-t-il justifié hier, laconique.
Un opposant cubain meurt après deux mois de grève de la faim
LEMONDE.FR avec AFP | 24.02.10 | 07h12, extrait
"Il s'agit d'un assassinat virtuel, prémédité", a déclaré Elizardo Sanchez, à la tête de la Commission, accusant les autorités d'avoir trop tardé à offrir des soins au dissident en grève de la faim depuis plus de deux mois, qui avait été transféré la semaine dernière de Camaguey, dans le centre du pays, où il était incarcéré, dans un hôpital de La Havane. Orlando Zapata, qui était membre d'une organisation de défense civique illégale, le Directoire démocratique cubain, avait été condamné en 2003 à 18 ans de prison pour "désordre public", selon la Commission.
Et burqa pas?
Athée, l’artiste Bérengère Lefranc a fait l’expérience de porter une burqa pendant un mois. Déjà prodifférences, elle en revient antiloi.
«Je ne cherche pas à prouver, mais à éprouver.» Voici la phrase qui définit sans doute le mieux la démarche de Bérengère Lefranc. Cette «performeuse» s’est mise à l’épreuve, perdue sous une burqa à sa manière, un linceul de femme fantôme en lin violet, sa «couleur préférée».
1er juin 2009. Elle édicte les règles d’un jeu personnel qu’elle imagine moins connecté à l’actualité qu’il ne va le devenir. Elle se voile des pieds à la tête, gants compris. Et disparaît au regard de tous. Seul complice épargné, son amoureux, artiste également, lui sert d’interlocuteur, de testeur, de protecteur. Au quotidien, en manière de validation, elle réalise une photo en situation et livre une page de son journal de bord.
30 juin 2009. Elle émerge étonnée et chamboulée. Elle écrit: «Je souhaitais ne plus être vue. On ne m’a jamais tant regardée et si peu parlé.» Dans une France qui s’affole des identités régressives, elle croise l’ahurissement, le rejet, la complicité. Et autant la méprise que le mépris. Elle raconte: «Je n’ai pas voulu me glisser dans la peau d’une musulmane. Mais me cacher d’une manière gracieuse au regard des autres.» Raté. D’autant que fumer ou boire un verre de vin blanc, revêtue d’une telle houppelande grillagée, perturbe les référents… Elle admet: «La liberté d’être n’est pas compatible avec les dogmes du sacré. Le voile appartient aux musulmans et il fait peur. C’est vrai qu’il n’est pas engageant.» Rendue à la vie civile, elle oscille entre soulagement et regret. Du genre: «J’avais des superpouvoirs dans ces vêtements. Celui de l’attraction irrésistible. Nul n’était capable de détourner les yeux à mon apparition.» L’invisibilité plus pétrifiante que la laideur des têtes de Méduse…
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Bérengère Lefranc travaille sur l’exhibition et la dissimulation, sur le corps montré et dérobé.
La suite: http://letemps.ch/Page/Uuid/9cd369e8-20c3-11df-9851-25008fcabfe2/Et_burqa_pas
Afrique | 23 Février 2010
Afrique: La rupture selon Sarkozy
La dernière fois qu'il s'est rendu en Afrique, c'était déjà au Gabon. Nicolas Sarkozy avait alors été sifflé par une dizaine de jeunes à son entrée dans le palais présidentiel de Libreville, où se tenaient les obsèques du président Omar Bongo, le 16 juin 2009. Son fils, Ali Bongo, a depuis pris sa place dans le fauteuil présidentiel, dans les conditions que l'on connaît. Plusieurs jours de violences avaient suivi sa réélection, contestée par l'opposition. La France, elle, a reconnu la victoire du fils du potentat, reçu en grande pompe à l'Elysée le 20 novembre dernier. Et pour sceller cette amitié, Nicolas Sarkozy se rendra mercredi au Gabon, pour la troisième fois en deux ans. Aucun autre pays africain n'a eu cet honneur. Mais le président de la République veut désormais faire du Gabon, pilier des relations franco-africaines depuis l'indépendance de 1960 - et donc de leurs dérives - l'exemple de cette relation "modernisée" et "exemplaire" que la France veut entretenir avec le continent. Pour l'Elysée, Libreville est donc devenue le lieu de la rupture avec la Françafrique! C'est d'ailleurs depuis la Cité de la Démocratie que Nicolas Sarkozy prononcera son discours mercredi. Pourtant, le premier geste du président français au Gabon sera de s'incliner sur la tombe d'Omar Bongo… En revanche, aucune rencontre avec l'opposition gabonaise ne figure pour l'heure à l'agenda présidentiel, même si Nicolas Sarkozy pourrait se réunir avec "la classe politique".
Extrait de http://www.lejdd.fr/International/Afrique/Actualite/Afrique-La-rupture-selon-Sarkozy-174611/
AFP, 24/02/2010 | Mise à jour : 10:19, extrait
Le conseil de l'Eglise protestante d'Allemagne (EKD) a apporté son soutien à sa présidente, Margot Kässmann, qui a reconnu avoir été arrêtée saoule au volant. Après une téléconférence, les 14 membres du conseil ont "exprimé à l'unanimité leur confiance" à Margot Kässmann, évêque luthérien de Hanovre (nord-ouest), selon un communiqué de l'EKD. Le conseil précise cependant que lors de la réunion régulière du conseil qui doit se tenir cette semaine, une évaluation finale de la situation sera faite. Il "laisse avec une entière confiance à sa présidente la décision concernant le chemin qui devra ensuite être pris ensemble".
Jésus/bière: "une erreur humaine"
AFP, 24/02/2010 | Mise à jour : 10:06, extrait
L'éditeur d'un manuel scolaire en Inde représentant Jésus une bière et une cigarette à la main, un portrait qui a provoqué l'ire de la communauté chrétienne indienne et de l'Italie, a plaidé une regrettable "erreur humaine" pour atténuer la polémique.
(AFP) – Il y a 1 jour, extrait
BERLIN — Le chef de l'Eglise catholique allemande s'est dit lundi "profondément bouleversé" par le scandale d'abus sexuels d'enfants dans des institutions catholiques et a demandé pardon à toutes les victimes. "Je suis profondément bouleversé par des cas d'abus qui ont été révélés", a déclaré le président de la conférence épiscopale allemande, l'archevêque Robert Zollitsch, à l'ouverture d'une conférence des évêques allemands qui se tient à jusqu'à jeudi à Freibourg (ouest). "L'abus sexuel de mineurs est toujours un crime ignoble. C'est avec la plus profonde conviction que je veux reprendre ce terme du pape Benoît XVI et que je demande demande pardon à tous ceux qui ont été victimes de tels crimes", a-t-il ajouté.
AFP, 23/08/2010 | Mise à jour : 10:24
Le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire a rappelé aujourd'hui "le principe de la séparation totale de l'Eglise et de l'Etat" en France alors que le Pape et des catholiques français se sont élevés contre les expulsions de Roms menées par le gouvernement.
"Sur le fond, il y a dans notre pays une règle très importante qui est la séparation de l'Eglise et de l'Etat", a déclaré M. Le Maire sur France 2.
"L'Eglise prend des positions qui sont dictées par la morale, par ses propres règles, nous, nous sommes les représentants de l'Etat, nous sommes là, le président de la République, le Premier ministre, l'ensemble des ministres, pour faire respecter la règle de droit sur le territoire", a-t-il ajouté. Interrogé sur les déclarations virulentes d'un prêtre lillois, défenseur des Roms, contre Nicolas Sarkozy, il a jugé que "tout ce qui est excessif est malheureusement insignifiant".
"Je ne fais aucune critique contre l'Eglise, je dis simplement qu'il y a dans notre pays un principe qui est la séparation totale de l'Eglise et de l'Etat. L'Eglise prend des positions que je n'ai pas à commenter, l'Etat, lui, est là pour faire respecter la règle de droit", a-t-il insisté.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/23/97001-20100823FILWWW00279-roms-separation-de-l-eglise-et-de-l-etat.php
De source http://www.courdecassation.fr/colloques_activites_formation_4/2010_3159/justice_histoire_14721.html