« Les petits secrets « à oublier » | Il y a Internet, « mais au sous sol » » |
Un petit pamphlet ?
Je ramasse toujours quelques journaux et revues pour mes trajets en train, ça me change un peu d'Internet et je les range avec mes collectors. On nous rappelle que le pouvoir, ça salit les mains. On apprend que les uns ont les doigts dans la crise et qu'Alévêque est parti se laver les fesses... Alévêque a raison, on ne remue pas la merde, on nous l'a assez souvent rappelé depuis 1685.
Ces jours-ci, Morano semble avoir été très prudente encore. Challenges de la semaine nous apprend que le facteur Besancenot amuse beaucoup la galerie. Selon Marianne, certains ont encore le soucis de l'éthique tandis que quelques éclairés savent encore ce que sont des conflits d'intérêts, je pouvais raisonnablement en douter.
Pour moi, l'une des prochaines étapes consistera à produire un petit pamphlet comme sa France, ses intellectuels et ses polémiciens en raffolent. Quand j'aurais revisité des thèmes tel que celui de la Shoah, cité Elie Wiesel et René Cassin, rectifié la DUDH et son application, peut-être rectifié la Constitution aussi, je sens qu'on va rire, un peu comme en décembre dernier, au barreau de Paris.
On me répondra qu'il arrive des choses pires dans la vie. Je l'ai bien compris, il y a longtemps déjà.
Siné hebdo : « ça va péter »
Marianne n° 616
A Madagascar : "Les manifestants ne soutiennent ni le maire, ni le président"
LEMONDE.FR | 10.02.09 | 13h41 • Mis à jour le 11.02.09 | 09h14, extrait
Dans un appel à témoignages lancé par Le Monde.fr, les habitants de Madagascar, Malgaches ou étrangers, dénoncent avec effroi le bain de sang du 7 février, à Antananarivo, et partagent une même méfiance envers le président, Marc Ravalomanana, et le maire de la capitale, Andry Rajoelina, pour sortir de la crise.
Problèmes épineux, planche 4, par Ptiluc
La grande déprime de l'industrie française
Le Figaro, 11/02/2009 | Mise à jour : 16:04, extrait
La production industrielle a reculé de 6,7 % au quatrième trimestre 2008 et de 9,7 % sur l'ensemble de l'année. Cela présage de chiffres «très mauvais» pour le PIB.
Les usines françaises poursuivent leur descente aux enfers : en décembre, la production industrielle a reculé de 1,8 % par rapport à novembre. C'est le cinquième mois consécutif de baisse, portant sa chute à 6,7 % au dernier trimestre 2008 et à 9,7 % en un an. À peine ces chiffres avaient-ils été publiés par l'Insee, mardi matin, que les économistes se livraient déjà au cruel petit jeu consistant à retrouver trace dans l'histoire économique de statistiques aussi mauvaises. Cyril Blesson, économiste chez Seeds Finance, est remonté jusqu'en 1960. Seuls les événements de mai 1968 avaient enregistré un plongeon plus important pour des raisons «exceptionnelles». À l'époque, la production manufacturière, c'est-à-dire hors énergie et agroalimentaire, avait plongé de 15 % sur trois mois. La crise actuelle est donc à mi-chemin entre celle de 1968 et celles de 1975 et de 1993, où la production manufacturière s'était au pire contractée sur trois mois de 7,3 % et 2,5 % respectivement.
Publié le 10/02/2009 à 14:32 - Modifié le 11/02/2009 à 10:06 Le Point.fr (avec agences)
Pour Royal, "Sarkozy serait capable de vendre des frigidaires à des esquimaux"
Nicolas Sarkozy a "beaucoup de talent oratoire" et peut "mentir avec une telle mauvaise foi" qu'il serait capable de "vendre des frigidaires aux esquimaux". Ségolène Royal a sonné mardi une charge, violente, contre le chef de l'État, lors d'une intervention sur RMC. L'ex-candidate PS à la présidentielle, qui commentait l'intervention du chef de l'État jeudi dernier, a considéré que Nicolas Sarkozy faisait "à la fois les questions et les réponses". Et de juger, lapidaire : "Dommage pour les journalistes qui étaient assez inexistants en face".
"Mentir avec une telle mauvaise foi"
"Quand il annonce par exemple des choses qui ne sont pas vraies, il dit tout de suite : 'Je ne suis pas un menteur'. Et en général, il faut dresser l'oreille, parce que c'est précisément là qu'il ne va pas dire la vérité", a fustigé la présidente de la région Poitou-Charentes, qui a pris l'exemple du cas du site d'Arcelor Mittal à Gandrange en Moselle. D'après elle, les salariés du site sidérurgique lorrain "ont été atterrés" d'entendre le président de la République "mentir avec une telle mauvaise foi". Dimanche déjà, elle avait estimé que Nicolas Sarkozy serait capable, "dans une cour d'assises, de faire passer des loups pour des agneaux".
Une politique de l'enfance et de la famille comme une autre
Image de source et auteur inconnu