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J'expédie un son
Des suspects, des condamnés et même des terroristes peuvent expédier toutes sortes de choses, un peu partout. Il leurs arrive parfois d'être entendu, des radios peuvent même relayer certaines informations. Je crois qu'on recherche encore la « cellule 34 » et que certains services très spécialisés souhaiteraient, un jour, enfin la recevoir ?
De temps en temps, je poste aussi des trucs. Pourquoi m'en priverais-je ? En début d'année, j'ai expédié un poussin à sa chancellerie. Je n'ai jamais eu de réponse. Par contre, à peine plus tard, j'ai pu rencontrer ma fille aînée. Puis cet été, elle a pu passer quasi toutes ses vacances scolaires avec nous, en famille, et renouer avec des amis aussi.
Je n'expédie pas le son de ce billet-ci, mais celui que j'ai publié dans ce même blog, dans la nuit de samedi à dimanche dernier. Il [me] plait beaucoup. Comme prévu, je l'expédie avec des cartes de visites, à l'attention :
• du Garde des Vélodromes Sceaux,
• de l'Agence France Frousse Presse,
• du Président de la chambre spéciale des créatures inférieures mineurs
Certains de mes lecteurs ont pu remarquer que j'ai quatre clefs USB à poster. La quatrième parviendra évidement au château. Les uns vont ricaner tandis que d'autres pourraient s'émouvoir en pensant qu'un tel son parviendra bientôt à Monsieur Nicolas Sarkozy, notre chantre. Mais que tout le monde se ravise ou se rassure. Pourvu que la Poste ne tombe pas en panne et la quatrième clef parviendra au château, à l'attention du Président de la République Française.
Je pensais d'abord ajouter quelques broutilles sur ces clefs de 2 giga. Mais je vais m'abstenir, les destinataires en trouveront bien assez dans ce blog. Je ne souhaite pas les embrouiller ni passer encore une fois pour un imbécile en joignant, par exemple, cet extrait du Parisien qui nous rapportait des propos prêtés à MAM. Ce son et mes cartes de visite, ce sera amplement suffisant et, à mon humble avis, certainement très « explicite ».
Des clefs USB et un Monde récent
"Marianne" a reçu une lettre de cavale de Jean-Pierre Treiber
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 17.09.09 | 20h01 • Mis à jour le 17.09.09 | 20h56
Scientologie : tollé dans la magistrature après la modification de la loi
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 16.09.09 | 14h33
Quand Jean-Pierre Treiber écrit à la presse
France Info - 20:46, un son
Périco Légasse,
chroniqueur culinaire à Marianne et destinataire de la lettre attribuée à Jean Pierre Treiber (0'45")
1 commentaire
Arrestation Treiber - Il se cachait non loin de la prison et du palais de justice !
A Melun, Bastien Bonnefous et propos recueillis par Ghislaine Bertin-Denis, Laura Jaumouillé, Alexandra Gonzalez et Guillaume Rameaux, le samedi 21 novembre 2009 à 04:00
Jean-Pierre Treiber se cachait au numéro 30 de la rue Dajot, un immeuble moderne de sept étages situé dans le centre-ville de Melun, à quelques centaines de mètres à vol d’oiseau de la prison et du palais de justice, un comble ! Il vivait dans l’appartement 61, au cinquième étage du Lamartine, à la façade blanche et aux volets coulissants en PVC à chaque fenêtre. A l’approche de Noël, de petits sapins en pot avaient été installés devant l’entrée dallée de carrelages et aux murs de couleur crème. A 18 heures, la plupart des résidants sont encore à leurs fenêtres, observant les cars de retransmission des télés, la nuée de journalistes et de badauds. Au cinquième étage, où le fugitif a été arrêté par le Raid deux heures auparavant, vivaient apparemment dix autres familles, calfeutrées derrière leurs portes vert anis. De celle de l’appartement 61, il ne reste que les serrures explosées et, autour, des traces de brûlures. Curieusement, le logement n’a pas été placé sous scellés. En revanche, tous les accès au quartier ont été condamnés par la police, seuls les piétons étant autorisés à passer. A 19 heures, des voitures de police quittent les lieux, sirènes hurlantes, sous les applaudissements et sifflets de la foule, sans que l’on sache si c’est pour Treiber ou pour saluer le travail de la police. Une scène filmée par tous les téléphones portables. ...