Archives pour: Février 2010, 02
Au juge pour enfant de Nanterre
J’ajoute un paragraphe à la bafouille que j’ai rédigée il y a peu, elle partira bientôt, probablement cette semaine, sous la forme d’une lettre ouverte : « En lisant la correspondance qui me parvenait en janvier 2005, en faisant fi des écrits calomnieux, vous vous apercevrez probablement qu’à l’époque, l’OSE France utilisait sa réputation et des savoirs tels que la médecine pour sauver la face de ses professionnels. A cette période, ma compagne et moi devions nous charger de faire soigner et parfois même de faire examiner Justine, Richard Josefsberg ne s’en souciait pas. »
Certains vont peut-être se demander ce que j’attends maintenant. Rien de particulier, je n'ai rien à échanger avec l'Administration, éventuellement de grands silences ou une simple correspondance en retour. Il pourrait aussi suivre, un jour, un rapport ou note de l'ARSEA, signé par Thomas Resch et l'un de leurs éducateurs ou psychologues.
Shalit : négociations "interrompues"
AFP, 02/02/2010 | Mise à jour : 09:35
Les négociations en vue d'un échange de prisonniers entre le Hamas et Israël, qui concernent notamment le soldat franco-israélien Gilad Shalit, ont été "interrompues", a déclaré Mahmoud Zahar, un des plus hauts responsables du Hamas, dans une interview diffusée aujourd'hui par la BBC. "Ce processus a jusqu'à présent échoué. Après l'ingérence [du premier ministre israélien] Benyamin Nétanyahou, il y a eu une grande régression et un grand désaveu. C'est pour cette raison que tout a été interrompu", a déclaré Mahmoud Zahar, interrogé par la BBC sur les négociations en vue d'un échange de prisonniers. Le responsable a cependant assuré qu'il restait intéressé à trouver un accord. "Nous cherchons à faire libérer nos gens mais cela ne se fera pas au détriment de nos vies", a-t-il dit.
Une assistante sociale, pour nous « aider » ?
L'Administration m'a vraiment envoyé tout et n'importe quoi au cours de ces dernières années, il ne manquait plus qu'un avocat au défilé, il aurait pu me faire une saignée. En juin 2006, j'envoyais une simple copie d'un billet de mon précédent blog. En réponse, il devait également suivre un « traitement approprié », voir à la suite, la réponse de l'Intérieur.
Les OPJ constateront qu'à l'époque, en 2006, je me suis plaint d'une situation, à la hiérarchie, et pas vraiment de mes relations avec l'un d'entre eux, un lampiste. Mais tout cela, c'est du passé. Aujourd'hui, la magistratüre s'en tient à des choses jugées ou bâclées depuis, sous Chirac, Clément et Sarkozy d'abord, sous Sarkozy et Dati ensuite. A suivi MAM ; en août dernier, je lisais qu'elle apprécierait tant Jean Carbonnier, depuis, elle a reçu plusieurs de mes envois.
Plus tard, en mai 2007, après une ultime sollicitation du château, les services du préfet du coin me proposaient encore une fois les services d'une assistante sociale. J'ai répondu par un mail simple et courtois à la préfecture, expliquant que nous n'avions pas de « difficultés familiales », qu'elles étaient d'une toute autre nature. En 2005, alors que je venais aussi de solliciter l'Elysée, sous Chirac, une AS du coin avait déjà pu constater que, par chez nous, il n'y avait « rien à signaler ».
Je connais des réponses que l'Administration pourrait encore me lancer aujourd'hui, par exemple, celle lancée par les services de Kouchner, lorsqu'a éclatée l'affaire de l'Arche de Zoé : « nous ne savons toujours pas pourquoi M. KANT nous écrivait en ces termes. » Il fallait alors me demander de plus amples précisions ? Mais je crois qu'on me ferait plutôt la réponse faite un jour à Karine Montet-Toutain, une enseignante poignardée fin 2005, par un élève : « il y a plusieurs manières de regarder les mêmes faits ». On pourrait aussi me suggérer de saisir un tribunal ou un juge en voie de disparition ? Avec de meilleurs conseils et répliques émanant de l'Administration, tout pourrait bientôt être bouclé.
Mais les fiascos et naufrages de l'instruction, depuis l'affaire dite d'Outreau, c'est inintéressant, déjà très largement documenté. Cependant, je crois qu'à l'époque, nous avions un peu négligé les enfants et fratries placées, je pense que nous aurions du approfondir aussi ce vaste sujet. Mais peut-être est-ce déjà fait ?
Ces jours-ci une mère a été mise en demeure de « supprimer » des mots dans son blog. Je suis curieux de lire des réactions que pourraient un jour susciter ma toute nouvelle rubrique Affaires. Pour un hacker, c'est plus intéressant ; je pense qu'il y a matière à défricher des voies.