Mot(s) clef: ripoublique
On rigole avec « Douanes sous haute surveillance »
Je regardais C Star, la chaine, et j'en pouffais aux larmes, j'en peux plus, j'étouffe et me tord de de rire. Pour un rien nos zèlés Douaniers d'ici et d'autre part vous feraient ch!er, juste pour quelques clopes ou pour un peu de hachish dans vos bagages. Oh, « c'est grave et intolérable - bla bla la loi et la morale nous dit que ceci et cela c'est pas bien du tout ! » Ce genre de fonctionnaire là explose pour un rien et sévit, c'est son métier...
Tandis que par ailleurs, nos magistrats - les professionnels, absolument tous - fermeront stupidement, sinon systématiquement ou lâchement et très fermement les yeux sur tous autres abus, aberrances et turpitudes, surtout s'ils sont commis par leurs pairs, par leurs copains, compagnons, divers experts, autres comparses ou bouffons désignés par eux. « De la drogue, on bloque, le reste, oulala, vous embarrassez tout le monde et nos potes ! »
Ha ha, je rigole, j'en reste tordu, plié et jusqu'à crampé de me marrer, un Josefsberg médaillé, un Fajnzylberg, une Laurence Rossignol, une Nadine Morano, la poissonnière, une Dati Rachida ou un Xaxier Serrier, des personnages également très exceptionnels, bientôt plus honorés encore, sans qu'on ait jamais eu l'opportunité de discuter de rien.
En plus court : face à un médaillé de cette Ripoublique, un univers pas très clean où les copinages et les coucheries paraissent aujourd'hui importer, j'y réfléchirais, et scruterais le passé du médaillé, pour être certain de ne pas être confronté à un gros coard, ni à une ordure, ni à une abominable crevure tout de même. Etc. Woah, et dans le doute, je m'en irais discuter avec les putains, les dealers, les déviants et les débiles du quartier, pour leur avis sur le médaillé.
En différemment plus court : « on trône et juge, et va te faire foutre ou te faire autrement conseiller » « Conseiller », c'est moins vulgaire, plus du niveau d'un haut magistrat qui subtilement se réserverait. « Jamais on ne nous a désavoué, va solliciter ceux qui disent nous contrôler, ils confirmeront nos décisions et machinalement fermeront les yeux, eux aussi. Notre milieux et nos potes sont intouchables, on produira toujours des décisions qui nous blanchiront. »
Mon tee-shirt ?
J'ai pensé qu'il n'apparaitrait sur aucune des - rares - vidéos en ligne de cette dernière journée internationale des enfants disparus. Je me suis trompé, je viens d'apercevoir mon tee-shirt. Les plus fins observateurs m'auront distingué, vers 1'20", en train d'engueuler Nadine, Ministre, en présence de Guedj, ex secrétaire d'Etat au « bureau des pleurs ».
Nous sommes déjà le 24. C'est aujourd'hui que Versailles rend un arrêt ; le facteur va bientôt me l'apporter. Après cela, ce sera à nouveau à Nanterre de rendre une décision, le juge pour enfant doit proroger ses mesures « provisoires », pour environ deux ans encore. Je n'irais pas à cette prochaine audience, à Nanterre, cela ne me parait pas utile. J'attends avec impatience de lire cet ultime jugement, ses motivations ; j'en ferais probablement appel, cela me permettrait de revoir des magistrats, pitres en robe ou souteneurs de la cour d'appel de Versailles.
On va me lancer que dans ces conditions, si je ne me rends plus à Nanterre, je ne pourrais que « perdre », que Colonna et sa défense nous l'ont récemment démontré. Mais ce ne sont pas les assises ni même quelque chose de similaire, il s'agit de « mesures de protection », « d'assistance éducative », avec ses vices et toutes ses spécificités. D'autre part, je m'en fous - très sincèrement - de ce qui suivra encore ; depuis quelques temps, je ne fais plus qu'amasser du papier portant les Sceaux de cette ripoublique.
J'ai eu des nouvelles de Madame Millet. Selon des bruit de couloir, un article récent du Républicain Lorrain a pu déplaire dans le secteur de Metz.
De source http://www.soyoutv.com
Un effet inattendu ?
Voilà que le juge des tutelles - ou son greffier - se réveille et me demande des comptes. Il semble très soudainement se souvenir que je suis toujours l'administrateur légal des biens de ma fille Justine. Il souhaite prendre connaissance du « patrimoine de la mineure » et veut des justificatifs de ses placements et revenus.
Par le passé, la Caisse d'Epargne a laissé « inconnu » intervenir sur les comptes de Justine puis a fini par m'opposer le secret bancaire, malgré l'intervention du juge des tutelles. Par ailleurs, dans le cadre d'une succession de la famille maternelle et avec l'accord du juge des tutelles, un notaire a fait sa cuisine dans son coin, certainement avec le corbeau de l'histoire et sa soeur, le pasteur d'Uhrwiller. Une autre succession, celle de la maman de Justine, s'est vaporisée sans la possibilité d'en faire établir un inventaire ; je n'ai aucune information.
Pour sa part et malgré mes relances suite à des plaintes déposées en 2005, le procureur de la République n'a jamais daigné me répondre. Je n'ai qu'une correspondance de son parquet financier qui m'informe très vaguement d'un classement sans suite.
La justice du secteur n'ayant jamais coopéré avec moi sur ces aspects non plus, j'avais laissé ces dossiers en friche. Aujourd'hui, ma réponse au juge des tutelles sera très simple, probablement de la forme « indéterminé » dans toutes les cases de l'épais formulaire qu'il me demande de lui retourner dument renseigné.
Je pense lui préciser aussi qu'à la mi-2008, le juge pour enfant Xavier Serrier m'a intimé de tout oublier, de détruire mes dossiers, de tourner la page. La cour d'appel de Versailles vient de confirmer en tous points.
Encore une lettre morte ?
Encore une lettre morte ou une réponse perdue. L'(e)Poste semblait pourtant fiable. Mais nous sommes en pleine période de crise, au château, les timbres sont sûrement comptés et peut être réservés aux membres du parti.
Ma boite aux lettres fonctionne, la Ripoublique a toujours su me solliciter.
Sarkozy à Saint-Quentin : un meeting à 400.000 euros ?
S.L. (lefigaro.fr) avec AFP, AP, 27/03/2009 | Mise à jour : 14:03, extrait
Autre information qui n'est pas comptée par l'élu : le manque à gagner pour les commerces de Saint-Quentin, dont le centre-ville a été bouclé une partie de la journée (lire le récit des mesures dans la ville sur le site du journal l'Union). «Est-il honnête, est-il moral d'utiliser autant de moyens publics pour un déplacement dont la finalité était partisane?», a demandé René Dosière à Michèle Alliot-Marie.
Bonne saint Valentin à tous les amoureux !
En 6 ans, j'ai beaucoup écrit. Je me demande comment la Ripoublique va appréhender ce dossier, « un bâton merdique ». Le château a reçu ma missive il y a 20 jours et le poussin est parvenu à sa chancellerie il y a 10 jours. J'attends une éventuelle suite... j'attends, et je pense que Poutine doit beaucoup rire dans son coin.
Quelques magistrats et autres hauts perchés, des travailleurs sociaux, des psys et les tantes maternelles de Justine pensaient-ils que j'allais rester les bras ballants, à ne rien faire, tandis qu'ils n'ont jamais que travaillé à motiver un « placement durable », d'abord à l'OSE France, dans ce qui est aujourd'hui la maison Elie Wiesel, puis, ensuite, dans la bergerie d'Uhrwiller et le pré de l'ARSEA ? Si tel était le cas, ils auront tous été particulièrement naïfs.
Même la plus écervelée des poules défendrait sa progéniture ! Colonna se défend lui aussi...
Pourquoi n'entend-on pas le chantre rouspéter très fort ? D'habitude, il l'ouvre lorsque sa justice fait n'importe quoi.