« Il était une mauvaise foi ou vers un compromis sur « l’affaire » J. Sarkozy ? | Marseille : le légionnaire serait peut-être hors de cause » |
En quête d'un second souffle, après un laxatif ?
Je lis qu'il va devoir rebondir ? S'il y arrive, car je pense que les flots de critiques sont loin d'être taris, notre chantre pourrait un jour me remercier, ces suppos sont susceptibles de l'alléger : « les politiques sont tous au régime » ou « maigrir pour faire le poids », peut-on lire dans VSD. Je lis aussi que la nouvelle tendance consisterait à bien arborer la banane. J'ai le sentiment d'être encore dans le rang des avant-gardistes, avec d'autres, je fais depuis très longtemps déjà la promotion de ce parfum, la banane. Mais il y a bien plus intéressant dans toute cette presse du moment.
Y a-t-il un barbare qui sommeille en chacun de nous, m'a-t-on demandé hier, dans un forum. Je pense que cette personne venait de parcourir mon blog. Je lui ai répondu non car je pense plutôt que nous sommes tous historiquement frères et soeurs, comme Caïn et Abel. Ce que j'ai lu aujourd'hui, sur LEMONDE.FR, tendrait à le confirmer. Ce que j'ai pu percevoir dans les écrits, les prêches, les comportements et les agissements du pasteur d'Uhrwiller et de sa soeur, le corbeau de l'histoire, tendrait à le confirmer également. Par le passé, l'un de mes avocats m'avait dit qu'il ne fallait surtout pas parler d'argent ; le juge pour enfant était saisi et les tantes maternelles de ma fille Justine s'étaient déjà beaucoup impliquées, avec la Dass et sa justice, « dans l'intérêt de leur nièce ». Et pourtant, quelques temps plus tard, le juge des tutelles me contraignait à parler d'argent, de biens et de successions, suite à une lettre du corbeau !
Je crois que d'autres ont des perceptions assez similaires à la mienne de ces relations « fraternelles », d'entre-aide, du « Care » ou de ces « sauvetages ». Nous sommes à peu près tous bercés par les mêmes cultures, valeurs et messages qu'elles émettent ou transmettent. Il y a peu, je recevais un livre, paru en septembre : Frères et soeurs, Histoire d'un lien, de Didier Lett. Je n'ai pas eu le temps de le lire ni même de le feuilleter. Mais malgré tout, je pense que son contenu illustre bien la complexité - au sens de la diversité - de ce qui peut nous unir. Dans ce même forum et la réponse qu'on me faisait, je relevais une coquille ou comme un cuir : « Bruno, peut-petre ! » J'en ai sourit. J'ai répondu que maintenant, je vais aller paitre, comme c'était déjà prévu. Je pense que je le pourrais, avec la conscience bien tranquille. Il y a un moment, j'ai déjà écrit que j'en avais bien assez lu. J'attends maintenant de constater tout simplement l'absence de réactions à ce que j'ai pu faire, dire, écrire ou même poster au cours de ces 6 dernières années.
Les journaux et les livres, j'ai lu qu'on pouvait les recycler, en faire des sacs à main, des serviettes. Ca me rassure, j'en ai des piles et des étagères remplies. Je pensais qu'ils ne me serviraient bientôt plus à rien.
« Passez un bon dimanche »
Famille : "La question de l'argent reste taboue"
LE MONDE | 17.10.09 | 14h41 • Mis à jour le 17.10.09 | 17h59, extrait
Dans cette arithmétique familiale, qu'est-ce qui fonde les liens de la fratrie ?
Les liens fraternels sont très éloignés de l'idéologie de la fraternité. Ils se construisent dans la durée. Il ne suffit pas d'être frères pour être dans le partage. Le frère qui naît, c'est d'abord un gêneur qui nous fait perdre l'exclusivité du regard parental. Cela peut susciter chez l'enfant une angoisse existentielle très forte. Cette peur s'accompagne de désir de destruction d'autant plus difficile à dépasser qu'il génère une lourde culpabilité. Il incombe aux parents d'établir un lien éthique dans la fratrie en posant les limites de ce qui est à l'un et à l'autre. On ne doit pas imposer aux enfants de s'aimer, mais de se respecter.
France
Courrier International, 13.10.2009, extraits
Que serait Jean Sarkozy sans papa ?
Il n'y a pas qu'en Afrique où les fils de président ont de l'ambition à revendre, constate le quotidien burkinabé. Le fils de Nicolas Sarkozy est en passe d'accéder à la tête de l'EPAD, l'Etablissement public d'aménagement de la Défense. Grâce ou malgré son illustre ascendance ? [...] Et la même problématique demeure. Avec dans un camp les partisans et, dans l'autre, les adversaires. Il faut peut-être gager que la polémique qui se déroule dans un pays de liberté saura se frayer une voie saine qui sache se canaliser dans les principes de la bonne démocratie en république. Mais, pour le fond, la question demeurera insoluble à l'infini. A l'instar de celle qui cherche à savoir qui, de la poule ou de l'œuf, a donné la vie à l'autre le premier.
Etats-Unis : l'affaire du ballon à la dérive serait un canular publicitaire
LEMONDE.FR avec AP, AFP et Reuters | 18.10.09 | 20h50 • Mis à jour le 18.10.09 | 20h50, extraits
Le vol à la dérive d'un ballon d'hélium dont des millions d'Américains ont cru, jeudi, qu'il transportait un enfant de six ans était en fait un "canular" destiné à la promotion d'une émission de télévision-réalité, a annoncé la police, dimanche 18 octobre. "Il a été déterminé qu'il s'agissait d'un canular", a déclaré lors d'une conférence de presse le shérif du comté de Larimer (Colorado, ouest), Jim Alderden. "Nous pensons avoir à ce stade la preuve qu'il s'agit d'un coup publicitaire destiné à faire la promotion" de membres de la famille Heene ou d'une éventuelle émission de télévision-réalité à venir, a-t-il ajouté. [...] Le père du garçonnet, Richard Heene, un scientifique amateur, a démenti que l'incident ait été un calcul à des fins publicitaires. Il a été interrogé, ainsi que son épouse, par les services du shérif. Dimanche, il a déclaré, en larmes, à l'agence AP que cette histoire devenait "très complexe" L'idée d'un affaire montée par la famille a surgi après que le garçonnet, prénommé Falcon, eut déclaré dans l'émission "Larry King Live" sur CNN qu'il était resté caché "pour le spectacle".
Ethique et politique du Care ou Le soucis des autres,
avec le Point et Marianne du moment