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« avocat de base » #AjEnPéril « comment on doit le prendre ? »
J'ai repéré un tweet à succès, qui pose une question intéressante : comment prendre un avocat de base ? La réponse me semble évidente : à la plume et au vitriol, avec un billet de blog... Mais avec des écritures envoyées puis soutenues dans un prétoire, c'est à mon avis mieux. « Une religieuse, mon ami, cela se prend dans une cellule, au pied d'un crucifix », estimait Anna de Noailles. A la plume, à la carotte, ou même avec un tampon taillé dans une patate.
Ecrire ou répondre efficacement à un avocat, à des travailleurs sociaux, au ministère de la Défense, au parquet, au Ministre de la justice ou à un notaire, et même répondre à un magistrat de base est en fait assez aisé. Plus d'un a pu le constater au cours des années passées. Il doit s'en souvenir, Xavier Serrier, magistrat ? Il peut encore en souffrir, Cédric Giancecchi, « avocat »... Je suis donc très surpris par la question #AjEnPéril « comment on doit le prendre ? »
Les avocats qui font de l'AJ appelés "avocat de base" par @ChTaubira je sais pas comment on doit le prendre. #AjEnPéril
— Maître Pandavocat (@Pandavocate) 15 Octobre 2015
Une profession de foi, "une déclaration ouverte et publique d'une croyance": http://t.co/O6IXCBeMah "Pourquoi être avocat?" #Eolas #Rêves
— Bruno Kant (@bkant) 15 Octobre 2015
@DrFulli @CyrilleMayoux @fszpiner @Enthymene Variante, suggérée récemment par le JAF de Metz: une plainte, une procédure en correctionnelle.
— Bruno Kant (@bkant) 15 Octobre 2015