Archives pour: Avril 2012
Rétropédalage...
Dati souhaitera peut-être nous expliquer que Sarkozy aussi parle trop vite.
"Vrai travail" et Modem : les deux... par LeLab_E1
Chantal Jouanno : « la droitisation, un mirage douloureux »
NDLR : Il n'y a plus qu'à voter massivement pour Hollande, contre Sarkozy, afin d'éliminer ce dernier du paysage politique, il nous a déjà assuré qu'il nous quitterait s'il perdait ces présidentielles. Un tel vote amènera l'UMP à l'implosion, à son introspection. Puis après d'ultimes débats, il suivra déjà le troisième tour, les législatives... Le nabot s'imaginait-il que j'allais marcher pour lui, pour sa politique d'extrémiste, pour l'UMP, des couards, pour n'essuyer encore et que très occasionnellement de simples « regrets » ? Lorsque Sarkozy interpellait « la France qui travaille », j'ai cru halluciner ; je me suis senti un peu concerné alors je travaille depuis quelques temps à faire casser une troisième fois sa cour d'appel de Versailles ! Ne surtout pas voter blanc au second tour comme pourrait le suggérer Bayrou, mais utiliser maintenant sa voix contre le sakozysme, que nous ne regreteront certainement pas. Un appel à un vote « anti » ? Non, rien qu'une réelle opportunité à saisir, aujourd'hui, pour une ouverture vers d'autres voies
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Chantal Jouanno : "La droitisation, un mirage douloureux"
Le Point.fr - Publié le 23/04/2012 à 20:17 - Modifié le 23/04/2012 à 20:46, extraits
INTERVIEW. Au lendemain du premier tour, la sénatrice UMP de Paris appelle la droite "à rester elle-même", critiquant ainsi la stratégie de droitisation suivie par Sarkozy.
[...] Le Point.fr : L'élection de Nicolas Sarkozy est-elle encore jouable ?
Chantal Jouanno : Tout est encore possible ! L'écart entre Nicolas Sarkozy et François Hollande à l'issue du premier tour n'est que de 1,5 point. Désormais, notre priorité est de montrer qu'il y a une différence totale de fond entre les projets de Nicolas Sarkozy et de François Hollande. Cette campagne d'entre-deux-tours va permettre de se pencher davantage sur les idées, et moins sur la démonstration de force. Les Français se sont servis de ce premier tour pour exprimer leurs doutes, en votant massivement pour les extrêmes et en soutenant les solutions les plus radicales. À nous de proposer maintenant aux électeurs des réponses radicalement nouvelles pour les convaincre qu'il y a une autre voie.
Selon vous, quelle doit être la ligne de Nicolas Sarkozy pour le second tour ? "À droite toute" ?
Non, les solutions radicales proposées par le FN ne sont pas les bonnes réponses. J'ai écouté Jean-François Copé ce matin. Certes, les questions d'immigration, de laïcité, de sécurité sont importantes, mais il ne s'agit pas des seuls fondamentaux de la droite traditionnelle ! Et ce ne sont pas les préoccupations majeures de nos concitoyens. Quand je vais tracter sur les marchés, les Français ne me parlent pas de ces sujets. Je crains que la droitisation ne soit qu'un mirage douloureux. Dans les prochains jours, j'appelle de mes voeux un discours beaucoup plus équilibré dans le choix des thèmes de campagne et dans les mots utilisés. La droite doit rester elle-même et porter ses propres valeurs qui sont celles de la méritocratie, du travail, de l'autorité - et cela va de pair avec le respect - de la compétitivité, de la croissance écologique.
Le sketch officiel (et foutraque) de Philippe Poutou
NDLR : J'ai entendu un représentant du barreau ou du CNB, hier soir, sur RTL, à moins que ce n'était sur les ondes de France Info. Je n'ai pas retrouvé le son, grotesque. Les compétences et services rendus par un avocat semblaient être comparés à ceux d'un « médecin ». Un avocat, un gage de sérieux, une sorte de garantie pour l'aboutissement de procédures ? Ce genre d'assertion pourrait amuser ou scandaliser plus d'un « justiciable ». Qu'est-ce qu'ils en pensent au cabinet Cordelier, ils adhèrent à ce que soutiennent le CNB et le barreau de Paris ?
Société, Libé, hier à 11h15
Les avocats ne digèrent pas les passerelles offertes aux politiques
Un décret du 3 avril permet, sous certaines conditions, aux ex-ministres et aux parlementaires de devenir avocats sans passer d'examen.
L'ordre des avocats de Paris a décidé à son tour, après le Conseil national des barreaux (CNB), d'engager un recours contre la possibilité accordée aux ex-ministres et parlementaires de devenir avocats sans examen, a annoncé mercredi le barreau de Paris.
Cette réforme, contenue dans un décret pris le 3 avril, s'apparente à cune régression des valeurs de la profession et à une remise en cause de la qualité du service rendu aux justiciables», affirme Christiane Féral-Schuhl, bâtonnier de Paris, dans un communiqué.
Eva Joly hospitalisée (RTL)
Quand je vois cette imbrication, dans une très brève du Figaro, je me dis qu'au cours des semaines et des mois passés, je me serais parfois bien amusé... Qu'est-ce qu'on doit m'en vouloir pour m'être immiscé un peu partout

De source le Figaro
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