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25 mai 2008, journée internationale des enfants disparus
Ce 25 mai 2008, l'association Estelle organisait un rassemblement commémoratif sur le Champs de Mars à Paris. Après quelques communications, un lâcher de ballons a été réalisé dans le ciel de Paris, à la mémoire des enfants disparus.
Extrait du 19-20 de France 3 Ile-de-France
« On est dans le brouillard depuis douze ans »
dimanche 25 mai 2008 | Le Parisien, extrait
Un père nous raconte son combat et ses espoirs, alors que se tient aujourd'hui la Journée internationale des enfants disparus et que le dispositif Alerte Enlèvement sera testé pour la première fois à l'échelon européen cette année.
CHAQUE 25 MAI, ils se retrouvent au Champ-de-Mars, à Paris, lâchent des ballons pour qu'on n'oublie pas Marion, Estelle, Yanis... et tant d'autres mineurs dont on n'a pas retrouvé la trace à ce jour. La Journée internationale des enfants disparus, organisée en France par la Fondation pour l'enfance et des associations de parents, est l'occasion d'interpeller les pouvoirs publics, faire avancer les dispositifs et rendre tout simplement hommage aux enfants. L'an dernier en France, selon le service du Fichier des personnes recherchées, 542 mineurs ont disparu de manière inexpliquée et inquiétante, sans compter les fugueurs (600 n'ont pas été retrouvés). Pour beaucoup de parents, c'est une journée douloureuse qui scande le nombre des années, l'absence et le temps qui passe. Même si, comme Jean-Yves Bonnissant dont le fils a disparu il y a douze ans, la plupart n'abandonnent pas l'espoir.
Palestine - 1948-2008 - 60 ans de résistance contre Israël
Attention - changement : suite a une réunion avec d'autres associations dont GUPS, CCIPPP, MIB, FTCR, CNT, le rassemblement de la Campagne Palestine 60 ans de Résistance du 17 mai devant l'ambassade d'Israel est remplacé par une manifestation "marche pour le retour" au départ du métro Barbes a partir de 13h et en direction de Opera
De source demosphere.eu
Le 29 novembre 1947, l’ONU partage la terre de Palestine sans consulter ses habitants pour la livrer aux colons sionistes qui déclarent la création de l’Etat colonial – Israël le 14 mai 1948 après avoir déplacé, expulsé et dispersé à travers le monde près de 900.000 Palestiniens (avant et après le 14 mai), assassiné 15.000 Palestiniens et rasé des centaines de villages avant le 14 mai. Depuis, Israël continue son plan de colonisation de la Palestine historique par le nettoyage ethnique des Palestiniens, par la construction du mur et de nouvelles colonies sur les terres occupées en 1948 et en 1967. Aujourd’hui, les 10 millions de Palestiniens (Palestine historique, Liban, Jordanie, Syrie, et ailleurs dans le monde), dont 6,5 millions de réfugiés, continuent de résister, de revendiquer leurs droits nationaux et historiques sur leur terre, la Palestine. Hier comme aujourd’hui les impérialistes étatsuniens, britanniques, français et les régimes réactionnaires de la région dont l’Arabie Saoudite, l’Egypte, la Jordanie et la Turquie, s’emploient à la destruction de la cause palestinienne et de sa résistance en attisant des conflits internes avec l’aide de collaborateurs palestiniens.
Depuis les élections législatives de janvier 2006, la population de la bande de Gaza est soumise à un blocus international visant à lui imposer de renoncer à la résistance. Les massacres de ces derniers jours ne font que poursuivre le nettoyage ethnique de la Palestine.
Nous soutenons la cause palestinienne, symbole de la lutte des peuples pour leur souveraineté et leur autodétermination contre l’impérialisme et ses alliés.
Mobilisons-nous pour :
- Soutenir la résistance du peuple palestinien jusqu’à la libération de l’ensemble de la Palestine, le droit au retour dans leurs foyers d’origine de tous les expulsés depuis 1948 et l’abolition du système colonial et raciste de l’Etat d’Israël.
- Nous opposer à la collaboration du gouvernement français avec l’Etat colonial d’Israël à tous les niveaux.
Café juridique, à Paris, le 17 avril
Une initiative du village de la justice.
La date du jeudi 17 avril a été retenue : à partir de 19h30 (signe de reconnaissance, un code rouge Dalloz), brasserie le comptoir des Archives, 41 rue des Archives, Métro Rambuteau.
Près de 5.000 personnes défilent à Paris pour Ingrid Betancourt
TF1, 20h du 6 au soir • « il y a eu au moins 20 000 manifestants »
PARIS (Reuters), extrait - Quelque 5.000 personnes, dont Carla Bruni-Sarkozy, l'épouse du chef de l'Etat, ont participé à Paris à la "marche blanche" en faveur de la libération d'Ingrid Betancourt, otage de la guérilla colombienne depuis février 2002. La manifestation, organisée à l'appel de la famille de l'otage franco-colombienne, s'est déroulée entre la place de l'Opéra et l'Assemblée nationale. Une quinzaine d'autres "marches blanches" ont eu lieu en province, notamment à Toulouse, Bordeaux, Strasbourg ou Nice.
Sébastien était-il en danger chez son père ?
Sébastien était-il en danger chez son père, lorsque Madame Mireille Millet a décidé de le cacher ? Le juge pour enfant de Nanterre ne l'avait pas relevé mais la réponse à cette question ne parait pas être aussi simple : un juge de Briey rendra un délibéré le 6 mai prochain seulement.
Républicain Lorrain, 2 avril 2008, L'article
Ce 1er avril 2008, au tribunal correctionnel de Briey, il s'est tenu le procès de Madame Mireille Millet et de son mari. Ils sont jugés pour non représentation d'enfant en 2003, il y a quasi cinq ans. Madame Mireille Millet et son mari estimaient alors que Sébastien était en danger et ils entendaient le prouver avec les nombreux éléments dont ils avaient connaissance à l'époque, en 2003.
Dès l'ouverture de l'audience, la présidente a précisé que ce dossier est volumineux et que Sébastien sera majeur dans quelques jours. La présidente a ensuite affirmé que « effectivement, Sébastien n'allait pas bien ». Un article de l'Est Républicain - extrait à la suite - est largement inspiré par l'accusation et le réquisitoire du procureur. L'Est Républicain laisse entendre que Madame Millet aurait manipulé Sébastien, qu'elle serait la responsable de son mal être, et que ce 1er avril, elle ne se serait défendue qu'avec difficultés. Cet article qui n'est pas équilibré ne cite que très grossièrement Maitre Fittante alors que Madame Millet a été défendue par deux avocats.
La justice semble reprocher à Madame Millet d'avoir dressé un portrait « d'une noirceur totale » du père. Le père de Sébastien, pourtant partie civile, était absent, non représenté. Madame Millet a regretté cette absence, ils n'auraient jamais été confrontés.
Madame Millet se plaint également de ne pas avoir été entendue depuis toutes ces années. De récents signalements restent tous sans suite. A ce sujet, le procureur a répondu à Madame Millet au cours de son réquisitoire : « vous avez peut être raison », Sébastien et sa petite soeur « seront peut être un jour sous protection ». Le procureur semble avoir requis des peines de prison avec sursit afin de dissuader Madame Millet et son mari de récidiver si, prochainement, la petite soeur de Sébastien devait être à son tour « protégée » par la justice.
Monsieur guy Millet, le grand père de Sébastien, était absent, excusé.
Maitre Fittante a plaidé la relaxe et Maitre Corbras a évoqué quelques éléments de jurisprudence. Pour ces deux avocats Sébastien était en danger, plusieurs avis et documents étaient à ce sujet très inquiétants. Et selon ces avocats, la décision de Madame Millet et de son mari de cacher Sébastien à la justice était légitime. Maitre Corbras a également rappelé que Sébastien n'a plus été confié à son père lorsqu'il a été retrouvé.
Près de trois heures de débats parfois très animés ont été consacrés à cette affaire. Pendant tout ce temps, le public présent ainsi que le président sont restés captivés, notamment lors des plaidoiries de la défense.
Extraits des JT de 13h et de 20h
de France 3 région Lorraine
Journée nationale de la déportation
Journée nationale de la déportation
Dimanche 27 avril 2008
15h30 (horaire sous réserve)
Dépôt de gerbes et cérémonie de recueillement au Mémorial de la Shoah, puis départ en cortège vers le Mémorial des martyrs de la Déportation (Île de la Cité).
De source www.memorialdelashoah.org
Handicap, maladie ou « trouble psy » = placement des enfants ?
Handicapés moteurs et mentaux se mêlaient, dans une ambiance bon enfant, aux bénévoles d'associations qui scandaient des slogans comme "la dignité oui, la charité non" ou brandissaient des pancartes proclamant: "le handicap, ça peut vous arriver".
Aujourd'hui je ne me suis pas fait remarquer trop longtemps, je suis juste allé discuter avec des responsables de l'APF et de l'UDAPEI des hauts de Seine avant le départ de leur marche vers l'Elysée.
Une personne au moins semble bien connaitre le problème de la violence et de la maltraitance institutionnelle, les difficultés qui peuvent occasionnellement se poser au sein de certains établissements. Cette personne semblait aussi avoir l'habitude de faire front dans ce genre de situations, ce qui ne me surprend pas.
La France « virile », conférence-débat, notes
A propos des tondues, en 45 : « c'est qu'un moment, les cheveux repoussent ».
Sara Choukroun, de l'OSE France, le 3 mai 2005 : « lors de votre prochaine visite, il ne paraîtra plus ».
Il y a bien eu un 8 mars 2008
Dans une vidéo de « la barbe », ma banderole apparait après celle des « jeunes chercheuses féministes en lutte », au cours de la marche de la République vers la place de la fontaine des innocents.
Plus tard, place de la fontaine des innocents...
De la photothèque du mouvement social
Rencontre débat : « Dénoncer ou se taire ? »
Samedi 15 Mars 2008 de 14h00 à 17h00
Rencontre débat avec des écrivains israéliens présents à Paris à l’occasion du Salon du Livre. Ces écrivains présenteront leur travail et se poseront la question du "Statut de l’intellectuel dans la culture israélienne : DENONCER OU SE TAIRE"
Avec la participation de :
- Amira Hass, journaliste
- Yael Lerer, éditrice
- Amnon Raz Krakotzkine, historien
- Michel Warschawski,écrivain, fondateur de l’Alternative Information Center
- Jamal Zahalka, député du parlement israélien
Cette rencontre est soutenue par la chaire du Moyen Orient / Méditerranée de Sciences Po.
Institut d’Etudes Politiques de Paris (Sciences Po)
27 rue Saint-Guillaume
Métro Saint-Germain des Près, Rue du Bac, Sevres-Babylone
Inscription obligatoire par mail : inscription15mars@gmail.com
Entrée sur présentation d’une pièce d’identité.
De source AFPS
Y a-t-il eu un 8 mars 2008 ?
A en croire les JT, la journée internationale [des droits] des femmes du 8 mars 2008 n'aurait été consacrée qu'à Ingrid Betancourt ainsi qu'à des femmes « d'exception », reçues à l'Elysée ou dont les portraits ont été accrochés au Panthéon. Cependant, de nombreuses personnes ont défilé dans Paris et se sont rassemblées place de la fontaine des innocents. Ma banderole était bien en vue durant toute l'après-midi.
De source Act-Up, « marche féministe » du 8 mars
Vers un éventuel drame social ?
J'ai participé à la manifestation des avoués contre le rapport Attali, l'accueil de ma banderole était plutôt mitigé. Un avoué m'a dit que cette banderole pouvait porter préjudice à leur mouvement tandis qu'au su de l'histoire de Justine, un autre m'a recommandé de foutre le bordel.
La manifestation est partie du Conseil d'Etat en direction de Matignon. J'ai marché aux côtés des avoués de la cour d'appel de Versailles et de leur personnel. Je compte sur les bruits de couloirs et les très nombreuses photos qui ont été prises.
Un avoué m'a dit qu'il ne partageait pas mon sentiment, que la justice n'est pas corrompue. Je n'ai pas répondu, ma banderole est bien assez précise et claire. D'autre part, la jurisprudence du CSM est truffée des turpitudes de magistrats intègres et vertueux.
Rue des Saints Pères, de la galerie de Laurent où
ma banderole apparait sur de nombreuses photos
La France « virile » : des femmes tondues à la Libération
CAEN (AP), 3 juin 2006, extrait - Pour la première fois, près de 150 enfants nés de père allemand et de mère française pendant la Seconde guerre mondiale se sont réunis samedi à Caen (Calvados) pour l'assemblée de l'Amicale nationale des enfants de la guerre (Ameg).
"C'est très émouvant de nous retrouver tous ici. C'est la première fois que nous nous voyons", lance Jeanine Nivoix-Sevestre, la présidente de l'amicale créée l'an passé. Née en 1941 d'une mère française et d'un père soldat allemand, elle se bat depuis plusieurs années pour retrouver des enfants comme elle.
"Nous conversons depuis plus d'un an par e-mail ou par téléphone, mais nous ne nous étions jamais vus", explique-t-elle. "Aujourd'hui nous sommes 150, mais il paraît qu'en France nous sommes plus de 200.000 enfants nés de ces amours interdites".
"Toute notre vie n'a été qu'insultes, menaces, brimades, mais chacun vivait muré dans son silence", ajoute Josiane Kruger, une autre de ses enfants nés durant la Seconde guerre mondiale.
Jeudi 13 mars 2008 à 19H30, à Paris,
Conférence-débat avec Fabrice Virgili, Chargé de recherche, Irice-cnrs - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
La France « virile ». Des femmes tondues à la Libération
Présentation de la conférence :
« La France sera virile ou morte », a-t-on dit en 1944. Virile, elle le fut, et les tontes des femmes accusées de collaboration en témoignent. Sur cet épisode de notre histoire qui, aujourd’hui encore, continue de susciter un malaise, on croyait tout savoir : ayant couché avec l’ennemi, des femmes avaient été violemment punies, dans un très court laps de temps, par des foules vengeresses et des résistants de la dernière heure.
La recherche menée par Fabrice Virgili révèle notamment que la moitié seulement de ces femmes avaient eu des relations sexuelles avec les Allemands ; que les tontes n’eurent rien d’éphémère, puisqu’elles s’étalèrent de 1943 à 1946 - deux dates qui impliquent que, parmi les tondeurs, il y eut aussi des résistants et que les autorités, après la Libération, « couvrirent » cette pratique ; et que vingt mille personnes environ furent touchées, de tous âges et de toutes professions, dans la France entière.
Que s’est-il réellement passé ? Pourquoi des femmes ? Et quel sens donner à cet événement ?
Actu de dernière heure, des hypocrites communiquent
Ce 8 mars 2008 sera pour moi une opportunité de rencontrer à nouveau la Ligue des Droits de l'Homme. Il semblerait que cette ligue n'a que faire de la situation d'enfants placés et d'enfants en danger, d'enfants kidnappés et séquestrés par « les services », je pourrais à nouveau aborder ces sujets avec quelques uns de leurs membres.
Un communiqué de la LDH-France
> 29 février 2008 - Journée internationale de luttes des femmes pour leurs droits
Rassemblement le 8 mars à 15h00 Fontaine des Innocents - Paris/les-Halles
Le 8 mars 2008 se situe dans un contexte politique très inquiétant de remise en cause des droits des femmes et de leurs acquis, partout, en Europe et dans le monde. Les revendications concernant les droits des femmes participent des droits humains fondamentaux sans lesquels aucune société ne peut être considérée comme juste, égalitaire et démocratique. Comme chaque année à cette date, nous rendrons visible la force de notre solidarité avec toutes les femmes de France et des autres pays dans lesquels elles sont en butte aux discriminations et aux violences.
Premières signatures : Marche Mondiale des Femmes France, Collectif National Droits des Femmes, CADAC, Collectif féministe 'Ruptures', Ligue des droits de l'Homme (LDH), Femmes Solidaires, Chiennes de Garde, La Meute, Encore Féministes, Coordination Femmes Egalité, Coordination Lesbiennes en France, ACTIT, Comité des Femmes Kurde a Paris, UFCS...... Parti Communiste Francais.....
Penser (panser) la protection de l'enfance
S’il arrive que des violences au sein d’institutions soient révélées, elles restent mal connues. L’organisation, le mode de fonctionnement et un contrôle de la qualité de la prise en charge peuvent garantir la protection des usagers.
Les maltraitances institutionnelles
Par Michèle Créoff, ADSP n° 31, juin 2000
Le programme complet