Archives pour: Mai 2019
Encore des nouvelles de la Ddass
Il y a peu, j'ai encore vu passer un reportage accablant à ces sujets. Etait-il utile de s’appesantir? On connait déjà bien. « Enfants placés, les sacrifiés de la République », diffusée sur France 3, en janvier, relevait « les dysfonctionnements de l’Aide sociale à l’enfance en Gironde »... « Enquête ouverte », forcément, pour vite tout étouffer.
Voila, « c'est comme ça que ça fonctionnait », nous dit maintenant @perrinegoulet, députée, ex-placée. Ca se passait comme ça aussi au Château de Vaucelles, à @villetaverny. Puis fallait pas ni en parler, ni que ça se sache...
Et quand tu dénonces quelque chose de sérieux, tu te fais enguirlander par les magistrats de service, puis par de hauts magistrats. « Laissez les #educspé tranquilles ! » J'avais signalé des défauts et des privations de soin. Richard Josefsberg de l'OSE France avait répondu, puis la magistrature a traduit cela, notant : « le harcèlement dont M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles ». Des saloperies en robes noires, des ordures du social
"Il faut se battre pour ces enfants."
La députée @PerrineGoulet a été placée en foyer quand elle avait 9 ans. Elle raconte cette période difficile et le combat qu'elle mène pour que les enfants placés ne soient pas les "oubliés de la République"… pic.twitter.com/0tbMAJ8vYy— Brut FR (@brutofficiel) 16 mai 2019
Éducateurs maltraitants, enfants battus ou même violés par leurs pairs... "Enfants placés : les sacrifiés de la République", c'est l'enquête choc de @PacFTV ce soir à 21.00 📺
Une émission suivie du débat "Comment mieux protéger les enfants placés ?" à 22.35 pic.twitter.com/18yZqAcXlb— France 3 (@France3tv) January 16, 2019
Ca, ça date. D'il y a longtemps. pic.twitter.com/bOCdqIEC7V
— Bruno Kant (@bkant) May 16, 2019
Un 25 mai 2019, les enfants disparus ou raflés par la Ddass
Ca faisait un moment, quelques mois, que je n'avais pas respiré un mauvais air. Le 116 000 convie, à Paris. « Droit d'Enfance est un acteur majeur de la #ProtectionEnfance et se consacre à l'accompagnement d'#EnfantsPlacés sous sa protection. » Eventuellement l'occasion de discuter de juges et de leur conscience de leur mission, ainsi que de l'ASE et du 116 000, des lumières, de l'OSE France, des sauveurs, de l'ARSEA Alsace, des orienteurs.
Edit... Les paragraphes qui suivent sont quelques ajouts du 24 courant. Il m'est souvent arrivé de rédiger des billets ou d'en compléter sur plusieurs jours. J'avais d'autres priorités, cette semaine.
J'en profite pour noter que la France a été condamnée par la CEDH pour « enquête lacunaire » sur une affaire de violences policières [Chebab c. France]. Pour « des faits datant de 2000 »... 19 ans de procédures ! « L’enquête, sur des faits datant de 2000, n’a été ni `'rapide" ni `'effective" ». Lorsque la Ddass prétend s'occuper bien d'un enfant, les investigations comme les procédures sont à peu près similaires : ni rapides, ni effectives, parcellaires, lacunaires, déficientes, partiales, accablantes par ses omissions, ses approximations et ses mensonges. Même en référé, les choses peuvent ne pas avancer. Rien que auprès du juge des tutelles, deux juges, et avec la contribution de la cour d'appel de Versailles, il m'avait fallut environ sept années pour démontrer qu'une étude de notaire avait essentiellement travaillé du chapeau. C'est la Ddass et ces magistrats, qui prétendront encore avoir toujours oeuvré « dans l'intérêt de l'enfant » ; il faut croire ; croire surtout en la justice, ses praticiens et tous ses prétoires. Mi-2008, j’apprenais que la justice m'avait perdu ou détruit un dossier médical, un scellé ; implicitement, cela mettait un terme à un recours contre l'Etat, suite à un décès suspect en milieu hospitalier, aux urgence...
Je note également que ce 23 mai 2019, à l'Assemblée nationale, pour une mission d'information sur l'Aide sociale à l'enfance, des associations représentant des parents contestant les décisions de placement de leurs enfants ont été auditionnées. A huis-clos, tandis que quantité d'autres auditions semblaient avoir été ouvertes à la presse ?
Ce mardi 21, je téléphonais à l'association Droit d'Enfance. Après quelques tweets, leur CM m'avait bloqué, je voulais en savoir plus. Un interlocuteur m'a assuré qu'ils n'étaient pas « nouveaux » et me suggérait d'effacer le mot « arriviste » - « personne dénuée de scrupules qui veut arriver, réussir par n'importe quel moyen ». Ils ont récemment changé de nom, après une fusion, m'a-t-on dit ; d'où certainement leur compte Twitter d'avril 2019 et leurs 44 à maintenant 45 followers. Selon leur site Internet, il s'agirait bien de spécialistes en « protection de l'enfance » ; ils devraient donc tout connaitre de méthodes, de pratiques, de dérives, de placements « provisoires », de placements « transitoires » et de « solutions durables », dont ceux pour faire plaisir. Ils connaissent également le 116 000, forcément, ce sont eux qui le gèrent ; « Nos équipes ont pour mission d’écouter et soutenir les familles d’enfants disparus. » Un numéro inaccessible lorsqu'un enfant ou un enfant d'une fratrie a été raflée par la Ddass, le Ministère de tutelle n’apprécierait pas que les écoutants et aides du 116 000 s'en soucient également, m'a-t-on expliqué...
Un enfant n'est soudainement plus là ? « S'adresser au secteur privé. » Quand la Ddass affirme travailler, tout est plus compliqué. J'en sais quelque chose, mon ainée avait été inscrite à deux reprises au fichier des mineurs disparus, puis même recherchée, alors qu'elle était sous la responsabilité des travailleurs sociaux de l'OSE France, ils organisaient des disparition de mineur. « C'est grave, ce que vous décrivez », m'a répondu cet interlocuteur de Droit d'Enfance. Mais j'avais à me débrouiller. J'avais à me débrouiller également avec le Défenseur des enfants ainsi que avec le 119, cet autre numéro, supposé être utile lorsqu'un enfant subit des violences et des défauts ou des privations de soin. « Contactez un avocat. » « Saisissez un juge. » Ces signalements au 116 000 ainsi que au 119 étaient parfaitement légitimes et justifiés ; sans aucun débats à leurs sujets, les magistrats qui en ont eu connaissance ont manifestement pris l'initiative de les « interpréter » en notant et en retenant simplement un « harcèlement dont M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles ». Vers 2001, l'AFMJF (Association Française des Magistrats de la Jeunesse et de la Famille) publiait « le contradictoire en assistance existe ! » ; j'en ai très souvent rigolé.
Un nouveau ou un arriviste, du secteur #ASE #educspé pic.twitter.com/7J1A3zhSD9
— Bruno Kant (@bkant) May 20, 2019
Samedi, je vais me promener à Paris, vers parc Citroën, pour voir. @DroitdEnfance On pourrait faire connaissance.
— Bruno Kant (@bkant) May 21, 2019
Après cette riche journée au colloque de l’AFMJF, nous serions ravis de vous accueillir @AdrienTaquet au sein de notre village de prévention 😃 @116000FRANCE
— Enfants Disparus (@116000FRANCE) May 24, 2019
Pas un chat
Comme prévu, je suis allé me promener au parc Citroën. D'abord pour observer. De 11h00 à 14h00, pas foule, vraiment pas. Parfois un peu de monde autour d'activités ludiques, installées pour les petits. Puis je suis parti. A mon départ, une grosse averse allait peut être tomber, la météo prévoyait bien d'éventuels orages.
Suite à un commentaire, on m'a dit que le 116 000 aurait bien préféré un rassemblement place de l'hôtel de ville ou même place de la République, des endroits plus fréquentés. Je suppose que pour éviter tous troubles, ce parc très à l'écart leurs a été imposé. L'effet gilets jaunes et de ces zones Parisiennes interdites de manifestations... Ca tombait bien, je m'y rendais à moto, donc nécessairement avec un gros casque et un gilet jaune dans mon sac à dos. Mais pas tant pour la foule ou les gens de là bas, que je voyais plutôt affalés plus loin, dans les pelouses, indifférents.
L'indifférence des gens de la pelouse, dont un grand groupe de jeunes, je pense que c'est normal. Une disparition n'étant un drame - et en ce cas, absolu et d’intérêt - que lorsque les gens sont très personnellement affectés. J'ai par contre été surpris par celle des concernés. Par le passé, ce genre de rassemblement semblait fédérer davantage, on pouvait échanger avec beaucoup de gens dans le giron ainsi que avec d'autres gens parfois très en marge des associations et de personnalités présentes. L'accès au parc et à cette place publique était pourtant libre.
S'il a beaucoup plu après mon départ, ce qui aura vidé et détrempé la pelouse, le 116 000 aura planté des tentes, des bénévoles et sa chargée de comm' pour recevoir des journalistes de chaines d'info en continu.
Enfants confisqués au Japon : le calvaire des parents français
A la première vidéo que je repère, par CNews, suite à cette journée « enfants disparus et accompagnement des proches » organisée par Droit d'Enfance ou le 116 000, je commence à sourire. Une femme témoigne, parle d'une fugue... puis surtout, un grand-père témoigne, nous parle d'enfants « soutirés » par une mère Japonaise. C'est la règle, au japon, dure, lapidaire, radicale, bien connue depuis un moment déjà. « Mon fils n'a plus d'accès à ses enfants, ne sait pas où ils se trouvent, ne sait pas comment ils vont, les autorités Japonaises acceptent cette situation » :
Ces situations exotiques peuvent donc manifestement être facilement entendues par le 116 000, nos travailleurs sociaux et nos ministères. Des situations qui pointent ici du doigt les Nippons, ces saletés qui n'appliquent d'aucune façon les standards que nous, Français, approuvons. On en lit plus sur lepetitjournal.com dans sa rubrique Expat-Politique :
C'est tout à fait similaire à la politique et aux pratiques qui étaient en vigueur à Nanterre, en France, ces années passées. « Accepte ce qu'exigent les tantes maternelles de ta fille, la garde de ton ainée, abandonne leur enfin cette gamine. Arrête de te plaindre des travailleurs sociaux. Arrête de solliciter les autorités pour ce qui se passe à la MECS de Taverny, et pour ce que font ces travailleurs là. Arrête d'écrire partout et de tout exposer. Supprime ton blog. Accepte que ta fille disparaisse chez ces tantes. Accepte de ne plus avoir le droit de communiquer avec elle, d'aucune façon, et de ne plus en avoir la moindre nouvelle. Cesse d'interpeller les journalistes. Arrête de faire appel et de contester nos jugements. N'autorise surtout pas la diffusion du reportage Faits divers, le mag, sur France 2. » Le résultat là et tout ce qui a ensuite encore suivi a été documenté en long et en large, dans ce blog, où je n'ai jamais rien supprimé. Mais c'est moins Nippon, ce que je décris est davantage d'inspiration soviétique. Ces derniers, les soviétiques ou ces autres saloperies, avaient recours à la psychiatrie pour discréditer quiconque s'opposait de trop. Si ce n'était pas Soviétique, c'était un franc mix Sino-Soviétique, entre manipulations de toutes natures et recours à la psychiatrie, tout ce que l'occident décriait dans les années 60 à 80.
Les abus de la psychiatrie, depuis 1838, tout le monde pourrait connaitre ; un bon avis, d'où qu'il vienne et quel qu’il soit, basta, « pas de contestations ! » Sur les pratiques Chinoises dont ont pu s'inspirer les juges de Nanterre, la cour d'appel de Versailles et les travailleurs sociaux de l'OSE France, lire Bulle n° 40 de 1993, par Prévensecte, sur le lavage de cerveau ; « Quel qu'en soit le cadre, la réforme de la pensée a deux éléments de base la confession (étaler au grand jour le "mal" passé et présent) et ré-éducation - le remodelage à l'image de l'homme communiste. » Ne pas manquer de lire aussi l'expert, Richard Josefsberg, Internat et séparations, auteur, ouvrage et théorie largement promus chez les travailleurs sociaux. Françoise Sironi, Bourreaux et victimes : Psychologie de la torture, certainement un bon complément de lecture également. A côté de quoi, ces Nippons d'aujourd'hui me paraissent de loin moins barbares ou sauvages. Le procédé Japonais s'étale sur 5 minutes, le temps de faire les valises ; ensuite, cause toujours. Le Processus Français s'étend sur plusieurs années ; avec bien sûr toujours la possibilité de faire appel.
Je ne pense pas que ce que je pourrais raconter et décrire soit audible par Droit d'Enfance, des travailleurs sociaux.
Suisse : « des psys hors sérail dénoncent une utilisation abusive de leur art »
Le sujet ou cet edito récent du Temps m'inspire, un billet que je rédigerais encore une fois à l'occasion. D'une part, car il faudrait manifestement se taire en Suisse aussi, d'autre part, pour les utilisations abusives et sectaires de la psychiatrie, notamment par les juges pour enfants et les travailleurs sociaux. Je ne suis pas pressé ni motivé pour en ajouter davantage, maintenant, ici ; ce que j'ai publié étant souvent lu mais n'ayant jamais fait réagir grand monde.
Pour patienter, lire Le démariage. Justice et vie privée, une ancienne étude de dossiers de divorces, mais qui semblait encore d'actualité toutes ces années passées. Le magistrat du siège manque d'arguments pour motiver ou imposer ses décisions ? Aucun soucis, il convie alors le psychologue, le pédopsychologue et le psychiatre. « Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de `'l'enfant du divorce" forgée par notre société, ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends » • Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993, reédition de 2001, pages 239-240
Quelques mots picorés dans un avis ou des conclusions d'un spécialiste faisant indiscutablement autorité, puis tout et n'importe quoi paraitra parfaitement motivé, acceptable, surtout si c'est approuvé par un juge. Pour en rire encore, s'intéresser à nouveau à la fameuse fausse psy. « `'Ce travail me plaisait énormément. J'ai été ambitieuse, je ne savais plus comment m'arrêter. J'ai dû faire beaucoup de mal", reconnaît Régine Labeur, 55 ans, des sanglots dans la voix. Entre 2004 et 2009, elle a berné toute l'institution judiciaire sur le ressort de la cour d'appel de Bordeaux en se faisant passer pour un expert psychologue. Magistrats et fonctionnaires de Périgueux, où elle travaillait, n'y ont vu que du feu. » • la suite, sur la Dépèche... « Dans ces rapports, la fausse experte égratigne des victimes et draine des diagnostics tronqués. Ainsi, une mère se voit retirer la garde de ses enfants sur la base de ses conclusions. Une victime d'agression sexuelle voit son affaire classée à la suite de ses rapports, dont le travail est `'basé sur des connaissances superficielles", observe un vrai expert. `'Il y a des filtres judiciaires qui n'ont pas fonctionné", s'étonne l'avocat de la prévenue, Michel Nunez. »
Encore du Suisse https://t.co/y3GPLBPlPx pic.twitter.com/oa7zfDMQyJ
— Bruno Kant (@bkant) May 27, 2019
En France, il doit au moins y avoir deux sortes de juges. Ceux subordonnés aux experts et ceux qui vont solliciter les experts jusqu'à ce qu'ils lâchent un avis qui leurs plait. https://t.co/miGQrhVdGr
— Bruno Kant (@bkant) May 27, 2019
« Déchirures de familles », le replay
« Lors d'un divorce qui implique un parent allemand, la justice lui accorde toujours la garde des enfants. » Ce 24 mai, France 3 région Lorraine ou Gand-Est exposait 3 bonnes raisons de regarder « Déchirures de familles », un documentaire de Françoise Schöller et Christophe Busché. « 1 - Compatir au chagrin des parents. » « 2 - Tenter de comprendre un système qui nous dépasse. » « 3 - Reprendre confiance dans les institutions. »
La diffusion de ce documentaire était tardive, après le Soir 3 seulement, et pouvait être très géolocalisée. En tous cas, pour Paris, on nous annonçait la diffusion de « Amours au pluriel », de Vassili Silovic. « Rencontre avec des polyamoureux, qui assument de vivre plusieurs histoires d'amour en même temps, et de manière consentie entre partenaires. » Couchez ! Faites des enfants ! Pour le reste ou la suite, on découvre toujours assez tôt. « Déchirures de familles », « à chaque fois, un jugement qui, systématiquement, accorde tous les droits au parent allemand » :
« Qui sommes nous ? - Alsace » - « Déchirures de familles », de source France•TV
Toujours, toutes les oreilles et droits aux travailleurs sociaux, ainsi que tous les égards et faveurs au pasteur d'Urhwiller et à sa soeur, ça me rappelle quelque chose. Mais l'Alsace et le Grand-Est ne sont plus en Allemagne, depuis longtemps, je crois. Et c'était à Nanterre et à Versailles, ainsi que entre Paris, les Hauts-de-Seine et puis Taverny où tout s'était ficelé. L'Occupation, c'est déjà lointain ; normalement. Versailles, où l'appel était impossible, méritait bien son titre de cour de confirmation ; « je n'ai jamais été désavouée », me confiait bien en audience une juge pour enfant de Nanterre...
A plus d'un moment, ce documentaire de Schöller et Busché me fait bondir du fait d'échos et de similitudes avec ce qui s'est passé ou ce qui a été bricolé sur le seul territoire Français. Je prend note que les gens de robe Allemands entendraient justifier aisément leurs diverses ou inique pratique et l'intégralité de leurs décisions... « analysez les, finement », d'accord, on va faire comme ça. Puis on conclura que il pourrait juste y avoir à travailler des formes ?
Mai passe. Et comme d'habitude depuis quelques années, c'était une période au cours de laquelle nous discutions un peu d'enfants disparus et de toutes ces situations difficiles, beaucoup de celles qui s'enlisent et qui n'avancent plus depuis des années, sinon depuis des décennies, un peu aussi de celles qui sont plus rapidement résolues. Je n'ai pas souvenir que à cette période, nous ayons un jour parlé de Kalinka, la fille de Bamberski, ni vraiment d'autres choses ou de situations sans grand rapport avec ces « déchirures de familles ». Autour du 25 mai, on discute plutôt et simplement de fugues, d'enlèvements parentaux et de disparitions inquiétantes. Les acteurs majeurs étant généralement ceux qui sont dans la merde jusqu'au cou, ceux qui les entourent ainsi que ceux qui sont sollicités (police, justice, ministères, hotlines, ...).
Ce 26 mai 2019, les Dernières Nouvelles d'Alsace nous ont annoncé que « l'autre jour », à l'école d'ostéopathie Oscar de Strasbourg, un nouvel espace ainsi que une soirée ont été dédiées « à la mémoire d'une jeune élève disparue l'an dernier, Carla Clementz. » Il peut s'agir d'un choix éditorial. Il faut bien qu'on discute également un peu de ces « disparus » là et de difficultés ou de douleurs que ça suscite... Et puis pourquoi pas aussi « de la considération de l'ostéopathie par l'univers de la médecine » ; on parle bien beaucoup de l'homéopathie. Une « cérémonie marquée par le deuil » au cours de laquelle le pasteur et son mari le généraliste se sont exprimés « publiquement ».
Pour Faits divers, le mag, et France 2, en mai 2008, pour un reportage télé de 30 minutes, les Clemetz ou « la famille d'accueil » n'avaient strictement rien à dire aux journalistes. Fin octobre 2010 et alors que « la famille d'acceuil » avait perdu devant la cour de cassation, j'avais évidemment téléphoné aux Dernières Nouvelles d'Alsace ; mais un journaliste du secteur de Haguenau m'avait fait comprendre que le sujet ne les intéressaient pas du tout ; un choix éditorial ; à l'époque, j'en concluais que ce journal ne publie que des articles qui plaisent au pasteur et au généraliste.
Un nouvel espace nommé Carla Clementz https://t.co/FXdE7fflR2 #Strasbourg #Alsace pic.twitter.com/IG03HiJj1Z
— StrassFeed (@StrassFeed) May 26, 2019