Archives pour: Novembre 2020
Dissolution de BarakaCity : pas de suspension
Nous n'avions plus de nouvelles de leur demande d'asile politique lancée à Erdogan. Manque encore les pétitions ? Très vite vu sur Twitter : « La confirmation par le @Conseil_Etat de la dissolution de #BarakaCity est un signe fort et attendu. Avec cette décision la France dit clairement qu’il n’est plus possible d’abriter l’islamisme sous couvert d’humanitaire. »
Suite à la fermeture Administrative du LVA des bruyères, à Frontenaud, l'issue d'un recours avait été différente...
De source Twitter
Suite aux mensonges du gouvernement d’@EmmanuelMacron et la fermeture de l’ONG humanitaire et de défense des droits humains, je demande officiellement l’asile politique de @Barakacity au président @RTErdogan ainsi que celle de mon équipe et de moi même,qui subit menaces de mort.
— Idriss Sihamedi (@IdrissSihamedi) October 28, 2020
Le Conseil d’Etat confirme la dissolution de Barakacity, association qui incitait à la haine, entretenait des relations au sein de la mouvance islamiste radicale et banalisait les actes terroristes.
— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) November 25, 2020
🔴 DERNIERE MINUTE | #France : le Conseil d’Etat confirme la dissolution de l’#ONG humanitaire #Barakacity. Ses dirigeants saisissent la #CEDH (officiel)
— ANADOLU AGENCY (FR) (@aa_french) November 25, 2020
Pages: 1 · 2
Dieu est mort
« Diego Maradona, « Dieu » du football, est mort », a publié le Monde. « Dieu est mort », publie en une l'Equipe. Sur Twitter, on peut avoir le sentiment que le sujet divise un peu, et en tous cas, que quelques uns y condamnent fermement des #RIP ou des Allah y rahmo. « Maradona est mécréant »... « Ya des cassos ici qui disent... »
« Entre l'islam djihadiste contemporain et la modernité, il y a un abîme culturel de huit siècles de sécularisation qui rend tout dialogue quasi impossible », lit-on en page 4 de Courrier International du 19 novembre, l'avis d'un intellectuel Libanais. Je n'aurais pas dit huit siècles, mais que environ 1000 ans nous séparent. En France, les cimetières auraient commencés à être réservés aux vrais et bons chrétiens à partir de l'an 1000 à 1100, par là, on peut l'apprendre en lisant Iogna-Prat Dominique, « Ordonner et exclure : Cluny et la société chrétienne face à l'hérésie, au judaïsme et à l'islam, 1000-1150 » ; exit alors les suicidés, les juifs, les musulmans, ils n'y avaient plus leur place. Si mes souvenirs sont bons, André Pichot cite Iogna-Prat dans « La société pure : De Darwin à Hitler », souvent, à travers l'histoire, on avait voulu tout épurer...
Sinon, peut-être, lire « Hérétiques au Moyen Age. Suppôts de Satan ou chrétiens dissidents ? », aux éditions CNRS, par André Vauchez. Emmanuel Macron devrait pouvoir très rapidement s'y retrouver, lui qui aurait la tête si creuse ou malade, selon Erdogan. On y trouve : « Chapitre premier - « Les hérésies de l'an mille » et du XIe siècle ».
Ya des cassos ici qui disent Allah Yarham à ce gros kafir païen de Maradona ça me sidère 😫
— Sofia🌹 (@Rimlou7) November 25, 2020
Maradona est mécréant , dans l'islam il y a des choses inscrites et dont ont ne va pas au dessus point. Un mécréant dans la religion (toute sorte) est un des plus gros péchés
— J'ai le STILES 🪐 (@iliane711) November 26, 2020
Ça s'est passé samedi à Paris. 15 minutes de coups et d'insultes racistes.
La folle scène de violences policières que nous révélons est tout simplement inouie et édifiante.
Il faut la regarder jusqu'au bout pour mesurer toute l'ampleur du problème. pic.twitter.com/vV00dOtmsg— Loopsider (@Loopsidernews) November 26, 2020
Pages: 1 · 2
Selon le CCIF, CAGE serait une association comme une autre
Edit du 27… Après quelques tweets, le CCIF nous a informé qu’il est bien déjà parti à l’étranger. Faire ses valises et partir, puis d’ailleurs ou comme depuis la Turquie, convaincre simplement ses soutiens, c’est tellement plus facile que faire des démonstrations pertinentes dans des tribunaux. Mais la balle sera peut-être encore dans le camps de Gérald, car il me semble que le CCIF avait quelques 8 antennes régionales en France. Qui me fait repenser à SEFCA Puteaux, une association de déviants, qui est un moment devenue SEFCA Europe et pour publier en Suisse, puis aux USA, on y serait tellement plus libre qu’en France aussi, mais qui semble depuis quelques temps avoir disparue.
Edit du 27 encore, quelques premières réactions vues sur Twitter, ou plutôt florilège, c’est de la liberté d’expression aussi : « La dissolution serait illégitime mais, & bien qu’ils se présentaient comme les hérauts irréprochables du droit, ils s’autodissolvent & fuient le terrain de la contestation juridique, font passer la lâcheté pour un pied de nez & l’aveu de culpabilité pour une résistance. Fascinant » « En résumé : « Vous ne nous avez pas dissous car nous sommes partis avant, nananère !» » « #CCiF Nous n’avons rien fait de mal... mais.. nous quittons la France, nous déplaçons nos actifs financiers à l’étranger, nous avons voté une #autodissolution car nous contestons la #dissolution.... bref enfumage, lâcheté et fuite de tout contrôle. » « Pauvres Belges ! Le CCIB va récupérer les activités du parti frère. Mais au moins le CCIF ne peut plus jouer aucun rôle officiel en France comme ester en justice ou rentrer dans les écoles. » « Le #CCIF qui prétend n’avoir rien à se reprocher auto-dissout son association, dispatch ses activités à d’autres associations, va clôturer ses comptes sur les RS et quitter le territoire. Quand on a rien à se reprocher, on se bat, on ne prend pas la poudre d’escampette #lache :clown: » « Cette vraie-fausse auto-dissolution est une habile opération de communication. C’est aussi un aveu. » « Savent-ils que l’auto-dissolution (c’est-à-dire le suicide) c’est « haram » en islam ? » « Le #CCIF quand il fait des pdf VS. Ce qu'il est vraiment » « En perdant le CCIF la République Française perd l'une de ses plus belles ONG qui l'honorait et ainsi un peu de son âme. Du fait de sa corruption la macronie entraîne inexorablement les institutions qui gouvernent la France dans la déchéance. » « Compte parodique ? »
Edit du 27 au soir, après avoir découvert la dernière une de Anadolu Post... Les couards ont fait leurs valise pour continuer à déblatérer, mais d’autre part, c’est confirmé. De source A News rubrique World : « The event, titled "Global Islamophobia: Roots, Context and Deconstruction," which was held by East London Mosque and the London Muslim Centre, discussed wide-ranging issues related to Muslim minorities living in Europe. Narzanin Massoumi -- a lecturer at Exeter University -- said "Islamophobia is a form of racism and should be taken seriously." An online webinar Thursday discussed the roots and context [...] Marwan Muhammad, former director of Collective Against Islamophobia in France (CCIF), criticized France for its latest policies on Islam and Muslims. » « Global Islamophobia » ?
Edit du 27 encore, alors que le CCIF et BarakaCity avec leurs nombreux avocats d'ici et de l'étranger nous ont expliqué que rien ne fonctionne en France... « Le juge des référés du Conseil d’État estime que le recours à la visio-conférence, sans l’accord de l’accusé, autorisé par l’ordonnance du 18 novembre 2020, pendant le réquisitoire de l’avocat général et les plaidoiries des avocats, porte une atteinte grave et manifestement illégale aux droits de la défense et au droit à un procès équitable. » Les détails sont sur www.conseil-etat.fr
Pour beaucoup, la dissolution de Baraka City « pour juste quelques tweets » de son président, Idriss Sihamedi, n'est qu'une flagrante injustice, une réprimande politique islamophobe, dénuée du moindre fondement factuel et juridique. Le Conseil d'Etat vient de se prononcer, et nous attendons donc que la CEDH se prononce à son tour... Il est naturel que quelques vrais avocats les défendent jusqu'au bout, nous n'en cerneront que mieux les limites admissibles en matière de liberté d'association et encore du dicible en France. « Les soussignés - William BOURDON et Vincent BRENGARTH - annoncent saisir la Cour européenne des droits de l'Homme de mesures urgentes de l'article 39, compte tenu de l'absence de voies de recours internes et des effets irrémédiables entrainées par la mesure de dissolution de l'association humanitaire. » Les voies de recours internes ayant été épuisées, ils vont à la CEDH, logique, normal.
Après leurs deux renvois pour motif de covid, Idriss Sihamedi était récemment malade, leurs avocats vont-ils s'y plaindre car le Conseil d'Etat saisi en référé n'a ainsi pas pu statuer dans les 48 heures ? Les demandes de renvoi, ces manœuvres dilatoires, ou juste pour faire trainer les choses urgentes, voire simplement pour faire chier, même en référé, je connais, ça n'y ressemblait pas. Vont-ils à la CEDH pour y espérer une décision de « quatrième instance » ? Si la requête pour sauver Baraka City était mal formulée, nous devrions être rapidement fixés, elle sera bientôt jugée irrecevable. Et puis quoi qu'il advienne, les soutiens de Baraka City resteront tous déçus, il est bien connu que ces voies là ne sont qu'illusoires.
La responsabilité des magistrats
PUF, Droit et justice, septembre 2006
Gwenola Kerbaol
Les notes de la mission de recherche droit et justice
Extrait de la page 18,
c) Les voies de recours
L'existence des voies de recours implique-t-elle l'exclusion de l'action en responsabilité du fait d'un acte juridictionnel ? La réponse ne peut être que négative puisque les deux actions ont un domaine et une finalité distincts. Les voies de recours ne sauraient empêcher l'existence d'un préjudice, ni y remédier. Elles ne sont d'aucun secours dans les cas d'exécution provisoire, en cas de décisions rendues en premier et dernier ressort, en appel ou en cassation.
Le CCIF réagit à son tour, a à répondre à l'Intérieur, la procédure de dissolution d'association est contradictoire. A lire leur tweet sur la partie 7, il y aurait « bourde des services du ministère de l'Intérieur, qui révèle surtout qu'ils sont prêts à relayer la rhétorique de la fachosphère sans aucune distance critique. » Comme si les critiques à l'encontre du CCIF ou même au sujet des « camps décoloniaux » n'avaient toutes et toujours que muries ainsi que émanées des plus extrêmes de ce pays... Faudrait oser le dire franchement, comme Yeni Şafak, ou encore comme le Pakistan, que « des nazis s’apprêtent à faire disparaitre chacun des membres du CCIF », des propos ou éléments de langage qui seraient plus clairs pour leurs nombreux soutiens ? Ca mobiliserait plus et mieux contre les services de Gérald ou encore contre Macron...
Salir les uns, enjoliver les autres, nier ou même ignorer ce qui s'est vu et su, il en restera toujours quelque chose, des très convaincus aussi. En réponse à la partie 5, le CCIF rappelle son grand attachement à la présomption d'innocence de Idriss Sihamedi. Tantôt à souvent, le droit en France est vraiment nul, mais parfois, il est brandit, avancé pour justifier des prises de positions. Sera-t-il utile de rappeler un moment que les droits et devoirs en France constituent un ensemble indissociable, qu'on y picore pas comme dans les rubriques cris et faits divers pour en élaborer un beau rapport ?
Avec la réponse du CCIF à la partie 6, nous apprenons que CAGE ou UK CAGE, des britaniques, est une association d'avocats ou de militants comme toutes les autres, qui aurait tenu des discours même tout à fait similaires à ceux de Jean-David Levitte, ambassadeur français. « Guantanamo est un embarras qui soit être réglé d'une façon ou d'une autres ». « CAGE #StopMacron défend... de la même façon que des avocats et des défenseurs des droits de l'homme le font. » Ces semaines passées, on ne les avait pas trop perçu agir dans les tribunaux, mais plutôt sur les réseaux sociaux, et particulièrement au cours de la seconde quinzaine du mois d'octobre, aux côtés de Baraka City, du CCIF, de Idris Sihamedi, ainsi que aux côtés ou vraiment pas loin des camps de Erdodan, de Malaisie, du Pakistan, d'Indonésie, j'en passe. « CAGE n'a jamais fait l'apologie du terrorisme ni même organisé des manifestations au profit de personnes condamnées pour terrorisme. CAGE défend le droit... » je le note bien, c'est ce qu'ont dû noter les britanniques aussi.
Six universities face inquiry over Cage campus talks
By Gordon Rayner ; Gordonrayner and Tomwhitehead 06 January 2016 • 22:00 pm, The Telegraph, excerpt
Six British universities are facing an inquiry after the controversial human rights group Cage used meetings on campus to encourage the “sabotage” of the government’s official anti-extremism programme. Moazzam Begg, the former Guantánamo Bay detainee who is director of Cage, told students “any right-minded person” would oppose the Prevent strategy, likening it to the methods of the Stasi secret police in the former East Germany. He also told audiences they should have sympathy for jihadists killed fighting with Al Nusra, the Syrian branch of al-Qaeda. Cage was allowed to hold the talks at the end of last year at the six institutions – which include three members of the elite Russell Group of universities – despite being described by Boris Johnson as “an apology for terror”.
Amnesty International UK
Amnesty International responds to questions about Cage
18 May 2020, 02:28pm, www.amnesty.org.uk, excerpt
Further to our statement below, Amnesty International UK's Director Kate Allen today said: “Amnesty no longer considers it appropriate to share a public platform with Cage and will not engage in coalitions of which Cage is a member. “Recent comments made by Cage representatives have been completely unacceptable, at odds with human rights principles and serve to undermine the work of NGOs, including Amnesty International.” She continued: "We had engaged with Cage together with several other organisations on the specific issue of UK complicity in torture abroad, on which they had particular expertise. [...] "Gita’s view was that it was inappropriate for Amnesty International to share a platform with individuals and organisations whose religious or political views were inconsistent with the full range of rights and women’s rights in particular. Amnesty International has never questioned the integrity of this view or the sincerity with which Gita held it. However, it is not uncommon for NGOs to enter into coalitions with other organisations or groups on one specific issue despite their disagreement on others.
Un visuel Amnesty/UK CAGE qui était presque parfait
Amnesty International considers cutting links with pressure group Cage
Mon 2 Mar 2015 19.25 GMT, The Guardian, excerpt
Kate Allen, the UK director of Amnesty, said it had no formal or financial relationship with Cage, but had campaigned with the organisation on issues relating to Guantánamo and torture. She added: “We support the call for a torture inquiry. We do not support all of Cage’s views or agree with how it expresses them. “We are reviewing whether any future association with the group would now be appropriate.” She added that Amnesty condemned any attempt to apologise for Isis or its human rights abuses. The issue is particularly sensitive for the charity given that, in 2010, the human rights activist Gita Sahgal was suspended from Amnesty after criticising its links with Cage.
Amnesty International is ‘damaged’ by Taliban link
The Times, Richard Kerbaj, Sunday February 07 2010, 12.01am GMT, The Sunday Times, excerpt
A SENIOR official at Amnesty International has accused the charity of putting the human rights of Al-Qaeda terror suspects above those of their victims. Gita Sahgal, head of the gender unit at Amnesty's international secretariat, believes that collaborating with Moazzam Begg, a former British inmate at Guantanamo Bay, "fundamentally damages" the organisation's reputation. In an email sent to Amnesty's top bosses, she suggests the charity has mistakenly allied itself with Begg and his "jihadi" group, Cageprisoners, out of fear of being branded racist and Islamophobic. Sahgal describes Begg as "Britain's most famous supporter of the Taliban". He has championed the rights of jailed Al-Qaeda members and hate preachers, including Anwar al-Awlaki, the alleged spiritual mentor of the Christmas Day Detroit plane bomber.
Cage: Important human rights group or apologists for terror?
By Henrietta McMicking
BBC News, published 27 February 2015
October 14th, 2020 | Arrest, Press Release, Raid www.cage.ngo, excerpt... Moazzam Begg, Outreach Director for CAGE said: [...] “Baraka City and Sihamedi enjoy wide spectrum of support from the Muslim community in France. Macron’s popularity is ailing and he is now pandering to the far-right to demonstrate his Islamohobic credentials for the upcoming presidential elections. Macron wants to surpass Marine Le Pen in his anti-muslim rhetoric and policies. As a result Muslims are the prime targets at the altar of his political ambitions.”
www.cage.ngo, excerpt... 6 March 2014 (London, UK) Over the course of the last week, UK counter terrorism police have conducted a series of raids and arrests, all in connection with Syria. Whether it has been Moazzam Begg, the Tahari family, or the heads of UK Muslim charities, a message is being sent by the UK authorities that contributing through civil society to alleviating the humanitarian crisis in Syria is closed to Muslim communities specifically.
Cage asked to remove video over claims
woman's delivery room was 'raided' after giving birth
By Steve Bird, 29 September 2018 • 7:00pm, The Telegraph
Counter-terror police order
controversial Muslim group Cage to
remove 'deliberately misleading' film
accusing officers of 'raiding' a woman
in hospital moments after giving birth
• Cage used the controversial video to attack government's anti-terror strategy
• Featured woman who claimed that she'd had her children taken away from her
• Anti-terror police said it was 'highly misleading' and didn't give the full picture
By Rory Tingle For Mailonline
Published: 11:50 GMT, 30 September 2018 | Updated: 13:22 GMT, 30 September 2018
Sensibiliser tous les Musulmans avec une histoire absolument terrible, on dirait que CAGE n'en est pas à son coup d'essai. « Where were my brothers ? Where were you ? » « That evening I got raided at home too »... « They are not killing our children. Theyre taking our children away. » « What for ? » « Cage, may Allah reward you. » Si CAGE, le CCIF, le NYT, Anadolu Agency, Amnesty ou même Plenel, ses journalistes et ses blogueurs ou dessinateurs souhaitaient un jour discuter plus en détails de juges et de protection de l'enfance, ainsi que d'enfants plus là pour on ne peut savoir exactement quelle raison, mais plus là et sans aucune voie de recours, ce ne sera pas un soucis pour moi.
Puis tombait la partie 8, on apprend qu'il leurs est reproché des commentaires en grand nombre, « de la part de fidèles et internautes qui constituent par eux-mêmes une provocation à la haine, à la discrimination, à la violence. » En retour, le CCIF invite Gérald à faire mieux modérer les réactions à ses propres publications. On y travaille, à tout modérer...
Pages: 1 · 2
Des militants, des dirigeants et des nationalistes sans états d'âmes ?
Edit du 29 au soir. Je ne lis pas tout le temps Idriss, il m'a bloqué, il est donc moins simple à suivre. « dit : et Il vous accordera d’autres choses encore que الله vous aimez bien: un secours [venant] d’Allah et une victoire prochaine. Et annonce la bonne nouvelle aux croyants As Saff-61-13 » Selon l'un de ses tweets d'hier soir, ce ne sont pas 500 000 mais un million d'euros qui sont bloqués. Si Il avait un plan الله pour indemniser des victimes, il existerait donc déjà ce bon fonds, ce qui va rassurer. Puis comme il fallait s'y attendre, ni Feïza ni personne d'autre n'a réagit à ce que j'ai tweeté ou encore publié là ; ça se passe toujours comme ça quand je tweete ou publie ; mais ça m'arrange, ça m'épargne les trolls, le harcèlement, les injures, trop de menaces, des mentions en nombre, les signalements, une suspension, tout ça. Selon un tweet de Feïza, elle pourrait n'y avoir perçu qu'un raid numérique réunissant tout le monde, de gauche à droite, à l'initiative et dans le prologement des obsessions de Damien Rieu. Comme si nous avions besoin de ce dernier pour écouter, lire, réfléchir, rire et prendre des initiatives. Mais si ça lui chante, toute critique n'émane toujours que de Damien Rieu, de Valeurs, de CNEWS ou de Zemmour, ce qui serait ainsi très en conformité avec les éléments de langage de ces islamistes. Feïza avait elle même pour obsession de sauver le CCIF et BarakaCity, mais ça, c'est maintenant mort et enterré ; il lui reste à présent à tenter de sauver Idriss, bon courage.
Edit du 29... la presse nous dit encore qu'il existe bien des voies de recours en France, même pour les fervents. « Le Conseil d’Etat ordonne au gouvernement de revoir la jauge des 30 personnes pour les offices religieux » « L’exécutif a trois jours pour modifier son décret limitant le nombre de fidèles autorisés à se rassembler dans les lieux de culte. » Je ne sais plus quel évêque nous disait qu'il disposait de 600m² pour recevoir du monde. Sur Twitter, CAGE a désapprouvé un article d'un parlementaire britannique, Sajid Javid, paru dans The Telegraph ; « President Macron is right – this is an intellectual battle to confront a grotesque form of separatism in our midst [...] This is not a battle of borders, bombs or bullets. Nor even one primarily of counter-terrorism powers and resources. It’s fundamentally a battle of ideas. [...] Where France draws on the enlightenment of the Republic, the nation of Burke and Locke also has deep wells to draw on. We cannot afford to be neutral or ambivalent about tolerance, freedom of speech, and integration. Liberal democratic values can and should unite us all, whatever our colour or creed. They are the antibodies that define and protect Western civilisation. »
Dans une vidéo de ce 29 courant, 32 minutes pour Face Camera, un compte Youtube quelconque, 444 abonnés, mais des vues, oubliant au minimum 1789 ainsi que la franc-maçonnerie et ses contributions, parlant par moments longtemps « jeune », on devine tout du long aisément lesquels, Marwan Muhammad abonde. Il se présente mathématicien, « avec une spé en probabilités », statisticien, aujourd'hui, dirigeant d'une structure de conseils en statistiques ; il rappelle s'être impliqué dans l'univers associatif, d'abord diplomate, puis contre le racisme, l'islamophobie, ensuite pour la défense des « droits humains », la lutte contre les discriminations, on est au parfum. Comme Feïza Ben Mohamed, il délite le débat, on comprend que toute critique de l'islamisme politique (il nous parle d'ailleurs plutôt de l'Islam et de relégués) ne pourrait émaner que de l’extrême droite ou de papy, hier, ouvertement raciste, aujourd'hui, plus prudente, s'avançant sous les fards de la laïcité et de l'hostilité aux religions. Il décrit ou construit un « recodage de la laïcité », un « objectif politique », avec, pour conséquence, « l'invisibilisation », la « silenciation de toute une génération religieuse ». Il nous parle d'un « poison récurent », toutes ces critiques, durant tant d'années, qui a envahi nos débats politiques. Mais il me semble cependant que Marwan Muhammad estime les laïcards « gérables », c'est un non sujet ou il l'a vite évacué. Sur Youtube, Peace Love commentait, ajoutant ce que j'aurais plutôt réservé pour railler le traitement des Ouïghours en Chine : « La laïcité d’aujourd’hui c’est de l’extrémisme athée, ils veulent effacer toute trace de la religion( Surtout le religion musulmane). Les laïcards n’ont rien à envier à Pol Pot et Staline. » On vient de couper l'eau à Idriss et au CCIF, on va bien sûr leurs couper l'eau à tous...
Je lisais ensuite le Parisien, la littérature à ces sujets est depuis quelques temps vaste, « Derrière l’humanitaire, la part d’ombre de BarakaCity qui inquiète les autorités », daté du 27 octobre. Il y est repris une comm' Facebook d'Idriss du 3 septembre, Charlie venait de republier des caricatures, le procès des attentats de janvier 2015 s'était ouvert, 17 morts, déjà pour des dessins, la rédaction de l'hebdo, des policiers et l'Hyper Cacher, lire Le Point ; « C'est quoi cette histoire ??? Ils insultent notre prothète [...] Qu'Allah maudisse Charlie et ENFLAMME leurs tombes à la chaleur du soleil ! » J'y découvrais un tweet de Idriss de l'an passé, manifestement en réaction à Christchurch. « Brenton Tarrant has been arrested for the massacre of 50 people at two mosques in Christchurch, New Zealand. The far-right terrorist broadcast the 17-minute shooting spree live on Facebook. » Ce 5 octobre, suivait un cours de liberté d'expression.
Caroline Fourest a trouvé un article très drôle sur The Spectator, French republicanism confounds American progressives, par Stephen Daisley. L'auteur raille une nouvelle forme de francophobie Américaine, phénomène qui n'aurait qu'empiré depuis début novembre (c'était possible ?), pour qui la gauche de là bas a perdu la tête, qui allume le New York Times, The Washigton Post, Amnesty International également, puis qui conclue : « If American progressives cannot or will not understand France, they should stop writing, tweeting and hyperventilating about it. [...] The next time a French teacher is beheaded in the street or worshippers slain in church, should we enquire whether the assassin’s browser history includes visits to the websites of the New York Times and the Washington Post? Maybe we should apply to these organisations the standards they propose for others. Maybe France should be able to sue them — for its safety, you understand. » On se sent tout de suite moins isolé après avoir lu ce genre de plumes.
Edit du 30. J’ai fini par mieux cerner à qui Feïza et Muhammad se réfèrent, qui est pour eux la figure du papy atterrant, des pensées à combattre pour que le monde soit un jour meilleur, la figure toute à l’opposé de Idriss et la cause de tous ses malheurs, qui est le « bon père », le Gérald, le Préfet, le Français moyen, tout à fait typique ou représentatif. On pourrait évidement croire qu’il s’agit de Macron ; lui penserait comme Valeurs ; nous penserions tous comme Valeurs ou bien pire ; en effet, selon Marc Endeweld, journaliste #LFI Monde Diplo #GiletsJaunes #Sputnik #QG le média libre, Macron serait obsédé par « le grand remplacement », en privé, il ressasserait tout le temps des propos de Zemmour, de Renaud Cammus ; mais cela ferait de Macron un imbattable champion en taqîya, en dissimulation, fin octobre, il avait été longuement interviewé pour Al-Jazeera, il en subsiste une vidéo de 55 minutes ; or ce n’était ni Valeurs, ni Zemmour, ni Cammus qui s’exprimait ainsi pour Al-Jazeera. Pour Feïza et Muhamad, le Français moyen pourrait n’être autre que Patrick Jardin ; père de Nathalie, une victime du Bataclan, à 31 ans ; Patrick, un totem d’un autre camp selon le Monde, se dit « apolitique », « ni de droite ni de gauche », est assez à l’écart des merdias sauf du micro de Sud Radio, semble être très bien accueilli également par TVLibertés et Vive L'Europe, par la sphère du RN, des Patriotes et de Génération Identitaire, par Riposte Laïque, le Salon Beige, le Siel, par Renaud Cammus lui-même ; je n’ajoute pas de lien, inutile, on les trouve très vite sur Twitter comme ailleurs ; par contre, les plus curieux devront se précipiter, car sur Twitter, Patrick Jardin y serait à son 31ième compte, il finirait tout le temps suspendu.
Sur Twitter, j'ai remarqué un thread sur la carrière supposée de Feïza Ben Mohamed #SoutienCCIF #SoutienBarakacity
J'apprenais ainsi qu'elle aurait crée jamaissansmavoix.fr et @JamaisSMV, en septembre 2020, à moins qu'elle n'en soit encore que porte parole ou bénévole. Il ne faut que trois fois rien pour créer un site web et pour ouvrir un nième compte de soutien quasi à entièrement dédié à ceux qu'on préfère. Plus ces groupes de soutiens réels ou fictifs sont nombreux #astroturfing davantage nous aurons le sentiment que beaucoup ont adhéré à la cause de Idriss et de ses quatre enfants, maintenant eux même privés de toit et nourriture... Jamais Sans Ma Voix ne follow pas grand monde, sur son site, ne publie pas tant, et ne tweete pas beaucoup plus que en faveur de Idriss et d'associations maintenant dissoutes ?
📢 J’avais tellement hâte de vous l’annoncer!
Après des semaines de travail et de réflexion, le site https://t.co/9cJsOXPAE9 est officiellement en ligne!
Vous pouvez aussi vous abonner au compte @JamaisSMV pour suivre les dernières publications! #JamaisSansMaVoix pic.twitter.com/n7JsoJChr1— Feïza Ben Mohamed 🧕🏼 (@FeizaBM) September 23, 2020
Les enfants, encore, qui pourrait être insensible aux enfants, « HONTEUX », envoie Feïza :
Un rouleau compresseur s’est mis en route pour anéantir @IdrissSihamedi en gelant les avoirs de @Barakacity mais également ses fonds personnels, l’empêchant ainsi de pouvoir payer son loyer, ou toute autre facture alors même qu’il a quatre enfants à charge. HONTEUX. https://t.co/xYJY0i8bti
— Feïza Ben Mohamed 🧕🏼 (@FeizaBM) November 28, 2020
Je n'ai pas approfondi tout des tweets de Gaston Cremieux, aucune idée de ce que cet ensemble pourrait valoir. Mais ça a fini lapidairement validé par Fatih Karakaya ? Fatih, un personnage qui est pour moi bien connu déjà : « Pauvre débile elle vient de te defoncer et tu oses encore parler ? Ta vie doit être tellement pourrite que tu vies dans des fantasmes délirants. » Tweeté en réplique par Fatih, c'est savoureux, en octobre, lui-même nous avait exposé que Samuel Paty n'est même pas mort, qu'il a juste été caché, qu'on a vu qu'une photo d'une tête en cire, que ce n'était qu'un coup monté du Mossad ou du KGB, de services secrets, qui en ont profité pour buter un Muslim innocent, de 9 balles, et tout cela pour nous remonter tous contre les Muslims de France ainsi que d'ailleurs... A Feïza, Gaston envoyait un moment : « Bientôt la sortie des larmes de crocodiles dont vous êtes coutumière alors que vous êtes d'une froideur qui pourrait faire peur ». Fatih ne me parle plus, m'ignore. Feïza, correspondante à Nice pour Anadolu Agency, ne me répond jamais.
#BarakaCity #CCIF @FeizaBM ça s’interpète comment ? https://t.co/gNLa34vL3v pic.twitter.com/7PxRs6HTuU
— Bruno Kant (@bkant) November 25, 2020
1/@FeizaBM a récemment défendu le @ccif sur le plateau de @balancetonpost. Présentée comme «bénévole » au @ccif, la protégée d'Hanouna est en réalité une militante aguerrie : c’est un cas particulier d’islamisme «modéré» et médiatique. un thread⬇️https://t.co/LWRqF4r333
— Gaston Cremieux (@GastonCremieux) November 8, 2020
Après quelques tweets échangés avec Gaston, pointant vers le code pénal et ses articles 411-4 et 411-5, ou jusqu'à 30 ans de détention criminelle, Bibi envoyait : « pourquoi le crime d'intelligence avec une puissance étrangère n'est pas invoqué par le gouvernement ? » Il s'agirait des assises, où des jurés seraient à convaincre, de simples tweets, retweets et brèves, une simple proximité ou tant d'accointances avec un ennemi de la France n'y suffirait certainement pas. Par contre, j'imagine que la DGSI se régale, travaille à documenter mieux le profil Twitter de Feïza ainsi que ceux de son entourage.
Sinon, vous connaissez Fatih Karakaya? Pas n'importe qui non plus. Un autre auteur de l'erdosphère (Anadolu, AHaber, ... et son compte Twitter). Pour les cerner mieux: follow @GundemFransa, TRT, Anadolu... et @yenisafak pic.twitter.com/1K4UmCgIaC
— Bruno Kant (@bkant) November 28, 2020
La Turquie de Erdogan et ses soutiens sont absolument sans états d'âmes, je pense l'avoir assez bien démontré dans mon billet Les caricatures du prophète ﷺ : une aubaine pour la Turquie d'Erdogan et je crois que je le démontrais aussi assez bien dans des billets tels que « Français, ça suffit ! Où sont tes Lumières ? Réveille toi ! » ou même avec Après la BD, des photos, un roman photo, toute une histoire. Je pense que Bahar Kimyongür confirmerait, que tout ce qu'une telle sphère pourra utiliser ou instrumentaliser pour soutenir leurs protégés, leurs causes ou leurs intérêts sera bon à prendre. Ümit Dönmez, journaliste pour Anadolu, m'avait un moment répondu : « inutile de calomnier... » Je crois qu'il réagissait alors à « nationalistes sans états d'âmes », mais je fais ou raconte moi même ce que je veux.
Idriss, je ne sais trop ce qu'il imaginait. Que ses tweets finiraient par peser en faveur de Baraka City, au Conseil d'Etat ? Je trouve que l'Administation aura finalement été sympathique, elle a attendu que le Conseil d'Etat rejete la demande, en référé, de suspension de la dissolution de Barakacity ; un jugement au fond suivra, un jour ; si l'Administration ou une banque n'a pas tout simplement cafouillé et tardé à faire verrouiller tous les comptes, Idriss était le chantre et président de Baraka City, sa responsabilité pourrait éventuellement être engagée... On nous a tout de même très régulièrement parlé de 2 millions de victimes ainsi que de 47 employés sur le carreau. Mais avec 500 000 euro déjà bloqués, il doit y avoir moyen de réparer quelques préjudices. Le verrouillage de ses comptes personnels serait-il en rapport avec d'autres procès à suivre #PrésuméInnocent qui vont l'opposer à une ex-journaliste de Charlie Hebdo, Zineb El Rhazoui, ainsi que à une chroniqueuse de la radio RMC, Zohra Bitan, certainement aussi au parquet ? Seul Idriss ou éventuellement ses avocats pourraient nous expliquer mieux ce qui s'est passé avec ses comptes personnels et si c'est effectivement en rapport. Sauf renvois à nouveau, il y a toujours du covid dans l'air, décembre et janvier devraient encore être animés sur Twitter. En tous cas, oui, ça peut faire effet rouleau qui va passer, parfois peut-être de façon érotique erratique aussi, c'est là qu'on rigole ou crie le plus... J'imagine que des gens se sont déjà mobilisés pour faire manger au moins ses enfants.
ayant reçu une poussée de quelqu'un,
continue à rouler d'elle-même • John Galsworthy, Justice, 1910
Après l’annulation par le Pakistan d’un contrat pour AirBus d’1 milliard 500M d’€, des comptes Koweïtiens entendent maintenir une campagne de boycott considérant que les excuses de #Macron doivent être présentées aux mosquées, associations humanitaires fermées. https://t.co/q2BRFo10eo
— Idriss Sihamedi (@IdrissSihamedi) October 31, 2020
D'un statut Twitter, voir un billet du 1er novembre
Je crois que nous allons changer un peu de sujets, rediscuter de l'Iran, et à nouveau plus de Israël. Un scientifique expert en nucléaire aurait été abattu par des services secrets. Il va falloir que j'approfondisse un peu ce qu'a pu publier Ahmet T. Kuru, qui fait en certains paragraphes écho à mon propre billet Dieu est mort... Mais pourquoi des directeurs et dirigeants, notamment de Turquie, nous reparlent-ils maintenant tant d'islamophobie après nous avoir pris tellement déjà la tête avec Charlie et ses « blasphèmes » ? Avec l'Iran, nous prépareraient-ils à un ultime et conséquent conflit verbal avec Israël ?
« Down with Israël », ce n'est pas un peu dur ? Peut-on encore critiquer sans être taxé immédiatement de « raciste » ? « Concernant vos références systématiques au nazisme, merci d'enfin reconnaître la shoah », ajoutait enfin Bibi dans ce petit clash avec Feïza et Fatih. La suite s'annonce encore très houleuse, virulente, sinon détonante. « Nazi, Vichyste, xénophobe ! » On fini par s'y accoutumer. Ce 27, @UK_CAGE me le lançait très vite... et sans m'avoir lu, je pense ; je venais de publier un petit billet sur leur association. S'agirait-il d’éléments de langage pour faire taire ou pour discréditer très vite ? Au moment de railler Israël, vont-ils lancer « Europe, fini ton travail ! » ? Après toute cette débauche verbale contre la France, Macron, Darmanin et Charlie, pour des dessins, les critiques de la Chine pour le traitement infligé depuis plusieurs années déjà aux Ouïghours, ça pourrait suivre, s'annoncent compliquées pour ces lourds du monde Islamique. Je n'imagine pas une seule seconde Yeni Şafak, Erdogan ou Rohani lâcher « libérez nos frères, fermez ces goulags ! »
Turquie: 4 terroristes du PKK/YPG éliminés dans la zone de l'opération Rameau d'olivier en Syrie
28.11.2020 ~ 29.11.2020, TRT
Savoirs
Quand le PCF calomniait Soljenitsyne et son "Archipel du Goulag"
21/08/2018 (mis à jour à 15:48)
Par Hélène Combis, France Culture, extrait
De 1958 à 1967, l'écrivain russe Soljenitsyne a recueilli dans la clandestinité les témoignages de deux-cent vingt sept victimes du goulag. Il les a organisés en soixante-quatre chapitres, correspondant à deux énormes volumes. Titré L'Archipel du Goulag, cet essai d'investigation littéraire est publié à Paris en 1974, aux éditions du Seuil. L'accueil qui lui est réservé, dans une France encore biberonnée aux dogmes du Parti communiste, est pour le moins majoritairement inamical. Mais la bataille idéologique qui se jouera autour de cette oeuvre va justement contribuer au déclin de l'idéologie du PCF, commencé au début des années 1960.
Dilnur Reyhan et Gulbahar Jalilova sont ouïghoures. Elles se battent pour que le monde ouvre les yeux sur le virage génocidaire pris depuis fin 2016 par le régime de Pékin dans le Xinjiang. https://t.co/veMGej8CJP pic.twitter.com/rFRQlzUyuu
— Mediapart (@Mediapart) November 22, 2020
International
Les propos d'Ahmadinejad contre Israël soulèvent un tollé sur la scène internationale
Le Monde avec AFP et Reuters, publié le 20 avril 2009 à 15h47 - Mis à jour le 21 avril 2009 à 08h31, extrait
Lors de la conférence sur le racisme "Durban II", organisée par l'ONU à partir du lundi 20 avril à Genève en Suisse, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad s'est de nouveau fait remarquer pour ses propos sur Israël.
"Après la fin de la seconde guerre mondiale, ils [les Alliés] ont eu recours à l'agression militaire pour priver de terres une nation entière sous le prétexte de la souffrance juive", a-t-il expliqué à la tribune. "Ils ont envoyé des migrants d'Europe, des Etats-Unis et du monde de l'Holocauste pour établir un gouvernement raciste en Palestine occupée (...) Des efforts doivent être faits pour mettre un terme aux abus des sionistes et de (leurs) partisans", a poursuivi le président iranien.
Son discours, attendu comme l'un des moments clés de la conférence sur le racisme de l'ONU, a provoqué le départ immédiat des représentants des Etats de l'Union européenne.
Non, le terme “islamophobie” n'a pas été “créé par l'ayatollah Khomeini”
Valentin Graff, Rémi Banet, AFP Factuel, Publié le lundi 27 août 2018 à 16:05, extraits
[...] L'essayiste Caroline Fourest écrivait en 2003 dans une tribune parue dans Libération et co-écrite avec Fiammetta Venner que "le mot ‘islamophobie’ a une histoire, qu'il vaut mieux connaître avant de l'utiliser à la légère. Il a pour la première fois été utilisé en 1979, par les mollahs iraniens qui souhaitaient faire passer les femmes qui refusaient de porter le voile pour de ‘mauvaises musulmanes’ en les accusant d'être ‘islamophobes’".
[...] Dans un ouvrage paru en 2013, les sociologues Marwan Mohammed et Abdellali Hajjat, rattachés au CNRS, situent à 1910 son apparition : "On doit l’invention du néologisme 'islamophobie' et ses premiers usages à un groupe d’'administrateurs-ethnologues' spécialisés dans les études de l’islam ouest-africain ou sénégalais : Alain Quellien, Maurice Delafosse et Paul Marty", écrivent-ils dans Islamophobie. Comment les élites françaises fabriquent le "problème musulman".
[...] L'historien Alain Ruscio fait lui aussi remonter l'origine du terme "islamophobie" à 1910 en citant le même Alain Quellien. "Contrairement à une vulgate répandue, il [le mot "islamophobie"] est plus que centenaire. La première utilisation du mot retrouvée date de 1910. Elle figure sous la plume d’un certain Alain Quellien, aujourd’hui oublié", écrivait-il dans un article publié en janvier 2016 dans la revue Orient XXI.
[...] Vincent Geisser, chercheur au CNRS et auteur de La nouvelle islamophobie (2003), rappelle de son côté que le terme est présent dans la langue française dans les années 1920 "sous la plume du peintre orientaliste Etienne Dinet, qui entendait par-là dénoncer les 'élucubrations' de certains auteurs chrétiens sur la religion musulmane".
Le sociologue souligne cependant que l’usage du terme est alors réduit "à quelques cercles d’anthropologues, de poètes ou de peintres islamophiles qui dénoncent la peur des musulmans et de l’islam".
[...] "Mais il est vrai qu’après la révolution islamique de 1979, le régime iranien a joué de cette peur de l’islam, ou de cette prétendue peur de l’islam, de cette thématique de l’islamophobie, comme un outil de propagande, outil politique et géopolitique, mais comme la plupart des grands pays musulmans dont l’Arabie saoudite", précise le chercheur à l'AFP.
Pourquoi le blasphème est-il passible de la peine capitale dans certains pays musulmans ?
Par Ahmet T. Kuru
Professor of Political Science, San Diego State University
12 mars 2020, 19:11 CET, The Conversation, extraits
[...] Selon la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale, la législation punissant le blasphème en vigueur au Pakistan est la deuxième la plus stricte au monde après celle de l’Iran.
[..] 32 des 71 pays où le blasphème est considéré comme un crime sont majoritairement musulmans. Le degré d’application de ces lois et le niveau des sanctions prévues sont très variables.
[...] Ces lois religieuses sont largement soutenues par la population dans certains pays musulmans
[...] Vers l’année 1050, certains juristes et théologiens sunnites, appelés les « oulémas », ont commencé à travailler en étroite collaboration avec les dirigeants politiques pour combattre ce qu’ils voyaient comme l’influence sacrilège des philosophes musulmans sur la société.
[...] Mais de nombreux érudits de l’islam et intellectuels musulmans rejettent cette vision des choses, qu’ils jugent radicale. Ils rappellent que Mahomet n’a jamais fait exécuter quiconque pour apostasie et n’a jamais appelé ses partisans à le faire.
[...] Les débats en cours au sein du monde musulman sur les lois punissant le blasphème et l’apostasie sont largement influencés par la situation internationale.
En outre, il convient également de rappeler l’existence dans les pays occidentaux de certaines lois discriminatoires à l’égard des musulmans, telles que l’interdiction du voile à l’école ou la décision de l’administration Trump de ne pas autoriser les ressortissants de plusieurs pays à majorité musulmane à accéder au territoire américain.
Ces lois et politiques islamophobes peuvent créer l’impression que les musulmans sont assiégés et justifier aux yeux de certains d’entre eux l’idée que réprimer le blasphème serait un acte de protection de la foi.
De mon point de vue, c’est plutôt l’existence de règles religieuses aussi strictes qui nourrit les stéréotypes anti-musulmans. Plusieurs membres turcs de ma famille m’ont même déconseillé de travailler sur cette question, de crainte que cela n’alimente l’islamophobie.
Mais mes recherches montrent que la criminalisation du blasphème et de l’apostasie est de nature politique plus que religieuse. Ce ne sont pas les versets du Coran mais les dirigeants autoritaires qui exigent le châtiment des blasphémateurs.
Pakistan - Le blasphème et la mort
Assassinat d'un scientifique iranien : Israël cherche à créer le "chaos" selon Rohani
Publié le : 28/11/2020 - 09:28Modifié le : 28/11/2020 - 09:29, France 24, extrait
Hassan Rohani a accusé samedi Israël de se cacher derrière l'assassinat d'un scientifique de premier rang, spécialiste du nucléaire. Selon le président iranien, l'État hébreu aurait agi pour le compte des États-Unis. De son côté, le guide suprême, Ali Khamenei, a appelé à "punir" les responsables. Plusieurs scientifiques spécialisés dans le domaine nucléaire en Iran ont été assassinés ces dernières années.
Islamophobia is a rising trend, Turkish FM says
by Anadolu Agency, Daily Sabah
ANKARA Diplomacy
Nov 27, 2020 7:05 pm GMT+3, excerpts
[...] Speaking at the 47th session of the Council of Foreign Ministers of the Organization of Islamic Cooperation (OIC) in Niger's capital Niamey, Mevlüt Çavuşoğlu pointed out the rising trend of Islamophobic, racist and anti-migrant discourse, especially in Europe.
[...] As an example, Çavuşoğlu recalled how French police officers arrested children and held them for over 11 hours in Albertville, France on false allegations of "apology of terrorism."
"We must be awake to this dangerous rhetoric and actions and we should send a clear message regarding our red lines," he added.
[...] Çavuşoğlu added the need to speak up for the fundamental rights and freedoms of the Uyghurs, Rohingyas, Turkish Cypriots, the Turkish Muslim minority in Greece, the people of Jammu and Kashmir as well as Muslims in Europe and the rest of the world.
Islamophobia is a rising trend, Turkish FM sayshttps://t.co/3i0en3k3ha
— DAILY SABAH (@DailySabah) November 27, 2020
An online #webinar discussed the roots and context of global #Islamophobia in light of #IslamophobiaAwarenessMonth. The event held by the #London #Muslim #Centre discussed wide-ranging issues related to #Muslim #minorities living in #Europe. https://t.co/62R7l8vS0U
— ANews (@anewscomtr) November 27, 2020
Avec ou sans @UK_CAGE ? https://t.co/q1h5GGQXfu pic.twitter.com/U1yTA6FqaA
— Bruno Kant (@bkant) November 27, 2020
Students of Iran’s Basij paramilitary force rally in front of the foreign ministry in Tehran to protest the killing of top nuclear scientist Mohsen Fakhrizadeh pic.twitter.com/ZLDq0tVdij
— TRT World (@trtworld) November 28, 2020
« Que comprennent les médias américains de la France ? »
Edit du 2 décembre... Assa Traoré porte plainte contre Eric Naulleau ; toute notoriété qui parlerait de trop d’une fourchette s’exposera à un tel risque. Sur Twitter, Taha Bouhafs s'est plaint de Zemmour et de CNEWS, en appelle au CSA ; il a été taxé de militant indigéniste et islamiste, encore ; Taha remerciait ensuite Mame-Fatou Niang, après ses propos, « on a une petite poche avec quelques colorisés dans le 93, viens nous mater tout ça… il va arriver, créer la BAC 93, qui est absolument créée sur cette police des colonies », le journaliste synthétisait : « La BAC et plus globalement les forces de l’ordre en banlieue, sont des polices d’inspiration coloniale. » Avec un tweet de BFMTV, nous apprenions que « Pour la déléguée Unité SGP Linda Kebbab, l'extrême gauche "travaille pour faire en sorte que le métier de policier ne soit plus respecté" ». Des racistes, du racisme systémique... Hier, sur Facebook, un imam, Farid Slim #SoutienCCIF annonçait avoir été perquisitionné à six heure du matin… « Une dissolution du CCIF serait un terrible coup porté au nécessaire combat contre l'islamophobie. Ce serait en outre une grave atteinte aux libertés démocratiques, et un dangereux précédent. » Ce 1er décembre, le NPA de Savoie publiait : « Scandaleuse perquisition contre un responsable musulman à Chambéry », « Le NPA appelle la population à ne pas céder à la politique islamophobe que conduit le gouvernement ». Sur Twitter encore, Clémentine Autain s'était annoncée « Très heureuse d'avoir été designée par les insoumis pour emmener la liste regionale Ile-de-France » ; plus tôt, le CCIF s'était auto-dissout, elle envoyait : « Le pays est en train de s'écrouler et l'extrême droite avance. » Il nous manque encore là les #EELV cet été Reporterre publiait : « Samedi 18 juillet, à Beaumont-sur-Oise, la génération Adama et la génération climat ont marché main dans la main pour exiger vérité et justice pour Adama. Derrière le mot d’ordre commun « On veut respirer », les militants des deux mouvements se sont engagés à lutter pour une écologie populaire et antiraciste. » Mais en prévision des régionales, ces derniers se sont peut être organisés autrement.
Edit du 2... En balayant ma TL, puis en lisant un tweet de CAGE, j'ai appris que, comme prévu, le CCIF qui s'était courageusement auto-dissout pour échapper au pire a été dissout. Les nouvelles vont vite, les communications pouvaient toutes être prêtes pour envoi... « Depuis plusieurs années, le CCIF conduit avec constance une action de propagande islamiste, comme le détaille le décret que j’ai présenté en conseil des ministres », a ajouté Gérald. En lisant bien la décision rendue, et ce qui pourrait certainement inquiéter le plus, on comprend que la DGSI est abonnée aux réseaux sociaux. Plus d'un va fermer ses comptes ou y entreprendre un vaste ménage ?
Pendant ce temps et après que Erdogan ait récemment brandit le spectre de la #turcophobie son ministère des affaires étrangères poursuit son lobbying ou sa campagne de communication en faveur de leur intégration à l'Union Européenne. Il y quelques 15 jours, un message avait pourtant été très clair. « Le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Clément Beaune, déplore l'"islamisme agressif" d'Ankara aux portes de l'Europe. [...] "Aucun pays européen n'a plus d'illusions" » A Ankara, ils insistent... nous proposant des olives.
L'Express, 4/2019, Comment les indigénistes colonisent les associations
Interview
Paul Conge: «Le nationalisme blanc perce tous azimuts»
Le Temps, par Julie Rambal, publié/modifié jeudi 15 octobre 2020 à 15:26, extrait
Dans un livre choc, le journaliste français Paul Conge s’intéresse au renouveau des mouvements identitaires. Racistes, antisémites, masculinistes, homophobes, ils prospèrent discrètement par le biais d’internet, où ils ont su adopter tous les codes du «cool» pour attirer toujours plus de jeunes adeptes. Inquiétant
Son livre s’appelle Les Grand-remplacés (Ed. Arkhê). En référence à la théorie du «grand remplacement», de l’identitaire français Renaud Camus, selon laquelle le monde occidental serait en train de perdre son identité sous les assauts migratoires. Cette théorie séduit désormais jusqu’aux suprémacistes blancs américains, et elle était aussi évoquée l’année dernière par le terroriste d’extrême droite Brenton Tarrant, après l’assassinat de 51 musulmans devant deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande… Le journaliste Paul Conge, lui, s’est intéressé à la nouvelle guerre d’influence qui se joue en marge des partis politiques, menée par d’inquiétants groupuscules identitaires français, qui réussissent à radicaliser jusque sur les forums de jeux vidéo… et en Suisse. Entretien.
Qui est Michel Zecler, le producteur de musique roué de coups par des policiers ?
Par SudOuest.fr avec AFP, le 01/12/2020, mis à jour à 17h12, extraits... [...] Ses activités aujourd’hui, comme il le résume cette semaine dans France-Antilles, relèvent du "360°", soit le développement de jeunes artistes de A à Z. Les interlocuteurs interrogés le dépeignent entre profil bas et attitude bonhomme. "C’est l’archétype du mec sans histoire, qui bosse, très en retrait, brosse Olivier Cachin, journaliste spécialiste du rap. Ce n’est pas un "m’as-tu-vu", pas un Puff Daddy à la française comme on peut en croiser. Et c’est un nounours". [...] Ce qui ne veut pas dire parcours sans accroc, comme a lui-même confié Michel Zecler dans "Touche pas à mon poste" dernièrement : "J’ai eu une jeunesse assez chaotique, je suis passé par la case prison, mais je suis sorti de ça il y a quinze ans et depuis, j’ai tout fait pour être l’homme que je suis aujourd’hui". [...] Michel Zecler se fait d’ailleurs rare en interview. Sur Instagram, il réclame qu’"aucun amalgame" ne soit fait en son nom. Ce qu’il éclaire dans France-Antilles : "je fais du sport de combat et je m’entraîne souvent avec des policiers, j’ai des amis qui le sont aussi. J’ai reçu des messages de policiers qui m’ont remercié de ne pas tout mélanger. Je n’ai pas 20 ans, il est hors de question pour moi de tout mélanger".
C'est pratique, Twitter, il suffit d'y survoler quelques profils pour y trouver des perles. J'y ai découvert l'existence de ce podcast de France Culture, du 24 novembre. 40 minutes, Le Temps du débat, une émission animée par Emmanuel Laurentin. « Que comprennent les médias américains de la France ? » Pour intervenants et introduction, je copie/colle :
James McAuley
correspondant à Paris du Washington Post
Adam Nossiter
journaliste américain, chef du bureau parisien du New-York Times
Agnès Poirier
Journaliste et essayiste. Correspondante de l'Express en Grande-Bretagne, elle écrit sur la France pour The Guardian, The Times et The Observer.
Les correspondants des médias américains qui couvrent la France reproduisent-ils leurs grilles de lectures culturelles sur notre société sans véritablement la saisir ? Ou, au contraire, les Français sont-ils dans le déni de réalités que le traitement américain met en lumière ? En d’autres temps, cela aurait pu être prétexte à incident diplomatique.
Ce podcast m'inspire, mais là, j'ai la flemme, et n'en ai écouté que les 20 premières minutes. J'écrirais un billet plus tard.
La vidéo à la suite serait à décrypter aussi, à la lumière des discours, des revendications, des pressions, des réactions, des évènements des semaines, des mois et des années passées. En 55 minutes, Macron vient de nous détailler finement quel est le modèle de la France, son socle, historique comme contemporain. En 2014, soit juste avant que Fatih Karakaya ou le PEJ se présente à un scrutin en france, Marwan Muhammad semble avoir promu un modèle ou projet de société très différent. Des premiers mots de Marwan, de 2014, je vais retenir que si je me rendais un jour en Iran, en Egypte, en Arabie Saoudite, au Koweit, au Pakistan ou même à nouveau en Turquie, je pourrais y embrasser les femmes sans risquer d'y heurter ni leurs codes ni la moindre convenance ou conscience ; et en cas de difficultés ou d'objections, je parlerais rapidement de qui je suis, expliquant qu'il faudra me respecter, parlant de tolérance, de racisme systémique ainsi que de « co-intégration ». Idriss, Feïza et Marwan pensaient-ils que tout allait passer comme une lettre à la Poste ?
Sonia Mabrouk n'a pas la même vision de l'islam que Marwan Muhammad et le lui dit
Par Audrey Kucinskas
L'Express, publié le 10/04/2017 à 17:53, extrait
Marwan Muhammad suscite, depuis des années, la controverse. Parmi les "zones d'ombre", un communiqué publié par le collectif en juin 2015, au lendemain de l'assassinat d'Hervé Cornara par son employé Yassin Salhi, en Isère. Celui-ci estimait que le vrai danger en France n'était pas le terrorisme mais l'islamophobie.
Après le 13 novembre 2015, le CCIF a également étonné en publiant deux tribunes: l'une aux côtés de responsables associatifs et politiques de toutes confessions, l'autre avec BarakaCity, ONG islamique, et le blog militant Al-Kanz.
13 juillet 2015
Islamophobie : Ils veulent éliminer le CCIF, soutenons-le !
Par Al-Kanz
Communiqués | lundi 30 novembre 2015
Du cache Google, de source www.islamophobie.net, extraits
Les jours se suivent, avec leur lot de perquisitions, d’assignations à résidence, d’incidents islamophobes qu’on essaie de gérer, d’orienter vers les juristes du CCIF, de mettre en évidence par les efforts de communication de chacun, des sympathisants de BarakaCity aux lecteurs d’Al-Kanz. On fait du mieux qu’on peut pour aider et on est ensemble. Nos liens d’amitié, de respect et de fraternité sont plus forts que jamais.
#EnsembleNousSommesPlusForts
Samy Debah, CCIF
Idriss Sihamedi, BarakaCity
Nabil Ennasri, CMF
Fateh Kimouche, Al Kanz
Marwan Muhammad
Tribune
Le 10 novembre, à Paris, nous dirons STOP à l’islamophobie !
Libé — 1 novembre 2019 à 12:44, extrait
Il en va des libertés fondamentales de tous. Il en va de la dignité et de l’intégrité de millions de concitoyens. Il en va de notre unité à tous, contre le racisme sous toutes ses formes qui, aujourd’hui, menace une nouvelle fois la France.
Un appel initié par Madjid Messaoudene (élu de Saint-Denis), la Plateforme L.e.s. Musulmans; Le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA); le Comité Adama; le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF); l’Union communiste libertaire (UCL); l’Union nationale des étudiants de France (Unef), Taha Bouhafs (journaliste).
Le #CCIF a pour habitude de « recenser » des actes souvent contestables. Il amalgame, par exemple, volontairement des actes antimusulmans avec des décisions judiciaires prises contre des personnes radicalisées.
— SG-CIPDR (@SG_CIPDR) November 23, 2020
#Liberacisme @Alkanz @Nico_VanderB Ce que vous tweetez peut être vu. @CaptinFr @valbecmeur Spéciales, ces analyses.. pic.twitter.com/2XuIoogGp0
— Bruno Kant (@bkant) December 16, 2015