Catégorie: Non catégorisé
C'est juste encore un « bug », on dirait... #Shadowbanning
« We appreciate you letting us know about this. Our team is aware of the issue and is investigating... » J'ai fini par trouver le truc pour envoyer quelques messages au support. En y signalant mon compte, son état et tout ce que j'ai relevé et documenté au cours du mois d'août puis encore ce jour. Juste un « bug » de plus, un gros bug, alors.
Des journalistes et autres blogueurs auraient plutôt tendance à dire ou à penser que ces « shadow ban » sont infligés suite à des problèmes de « comportements » ou de « non respect » des rules de Twitter... des « punitions bien méritées ».
En mode sarcastique ou caustique, vu la publication récentes de Twitter dans leur blog officiel, « We do not shadow ban. You are always able to see the tweets from accounts you follow (although you may have to do more work to find them, like go directly to their profile). », su ce que nous racontait ensuite Jack au mois d'août, et supposant que le support de Twitter a effectivement lu et bien compris tout ce que j'ai publié à ces sujets, je pourrais également beaucoup rire de la réponse qui vient de m'être faite : « Uh, you've noticed all that ? We will fix it so that what we do gets less visible. »
De source Twitter, de ma messagerie
Petite revue de rumeurs
Olivier Berruyer nous a publié un peu de lecture sur « (3) Nicolas Vanderbiest, une certaine idée de la neutralité » #DisinfoGate qui est à lire sur Les Crises... La neutralité ou les biais, les choix et les engagements de ce débutant indépendant, j'aurais déjà pu en parler plus en 2014 et en reparler encore en 2015. « Hop cartographie de #SortonsMacron , Pack homogène de la fachosphère », de la bêtise comme on en a souvent lu partout : si t'es pas d'accord, tu finis catalogué et affiché « anti », et maintenant, « facho », « fakeur » ou « russophile ».
Agnes Cerighelli, une élue ou conseiller municipal, mère d'enfants et raporteuse, insistait depuis quelques semaines, sinon vraiment plus. Elle a fini bien épinglée au cours de ce week-end et davantage encore ce lundi. C'est maintenant à lire sur Europe 1, sur RTL, Valeurs Actuelless, France Soir, le Huffington Post... J'en passe, dont tout ce qui bruissait sur Twitter sans que la dame n'en paraisse très troublée. « CV mensonger, "fake news" : une adhérente LREM épinglée sur les réseaux sociaux », « Une adhérente LREM s’inventait une vie sur les réseaux sociaux ». Voir également les tweets de @MaximeHaes : « Sur Twitter, une soit-disante Élue LREM, Présidente du Réseau Féminin IAE, Porte Parole CNFF et Elue Saint-Germain-En-Lay diffuse des fakes dans le but d’obtenir un ministère. »
Je pense avoir moi-même fait une grosse bêtise. J'ai déjà commenté un interview d'août de Jack Dorsey, le PDG de Twitter. Alors que le Monde vient seulement de publier des ragots et des infos qui dataient de juillet... « Twitter CEO Jack Dorsey admits platform not a place for 'nuanced discussion' as top 'New York Times' reporter quits after abuse ». Pardon, excuse moi si quelque chose a trop dérange, dont des tweets sur Twitter !
Sinon, à propos de tweets et de censure et de « bugs », je n'ai toujours pas l'impression que ça a intéressé. Même si j'ai parfois été très bien lu et reçu à ces sujets. « SALUT T LA ?? » J'ai repéré un tweet de @Romain_Pigenel. Depuis quelques temps, on voit des « Tu me vois ? » de gens qui paraissent parfois fantasmer un shadow ban ou qui souhaitent simplement attirer l'attention. Le sujet à suivre sera celui d'un indicateur nous signalant les twittos en ligne. Dans ce même billet du Blog des Modérateurs, nous lisons que « Sous [un] tweet de Jack Dorsey, PDG de Twitter, les utilisateurs semblent plus attendre une prise de position ferme sur la politique de modération du réseau social plutôt que des améliorations cosmétiques. » Avec le bruit qu'a fait Trump et toute sa sphère, avec le bruit que ça devrait encore faire autour de la prochaine audition de Jack par des parlementaires Américains, nous, Français, finirons peut être aussi par nous pencher un jour sur des problèmes avérés que pose la « modération » de Twitter.
SALUT T LA ??
"Twitter teste le statut "en ligne" et une nouvelle présentation des threads" https://t.co/1AX2OkjfkO via @BlogModerateur @CyrielleMRC— Romain Pigenel (@Romain_Pigenel) 3 septembre 2018
Twitter : « we want to share a recent change we’ve made »
Je crois que ce sujet n'intéressait personne, personne en France. Et que ça va encore faire du bruit à l'étranger. « We still factor behavioral signals into how we rank Tweets because we believe this is critical to serving healthy public conversation. As always, we’ll continue to refine our approach... » Un thread de @TwitterSafety :
Hasard des calendriers
Il y a donc eu un gros bruit au mois de juillet, autour de l'affaire Benalla ; ça va reprendre mercredi 12, avec de nouvelles auditions encore. Avaient suivi le fichage, l'affichage et puis et le bordel @DisinfoEU, pas fini non plus. Sujets autour desquels je percevais encore et redécouvrais bien ce qu'est maintenant non seulement le shadow ban à la sauce Twitter, mais aussi les shadow de tweets en particuliers. Puis ensuite, hier, les comptes de Alex Jones et de Infowar ont fait #pschitt peu après avoir été un peu voilés ou muselés également...
« We do not shadow ban. You are always able to see the tweets from accounts you follow (although you may have to do more work to find them, like go directly to their profile). », affirmait Twitter. Puis Twitter me confirmait quelque chose par DM... tandis que je continuais à les lires ainsi qu'à bien écouter ce que nous disait @Jack. « We still factor behavioral signals into how we rank Tweets because we believe this is critical to serving healthy public conversation. As always, we’ll continue to refine our approach... », un thread de @TwitterSafety.
Si elle est un jour reconnue par tous, on nous soutiendra que cette nouvelle forme de censure #Shadowban sur Twitter est un faux problème, qu'il n'y a qu'à y rester très sage, à y respecter les terms'n'rules - CGU et règles qui auraient récemment fondues comme neige au soleil suite à une action en justice de UFC Que Choisir..... A ces sujets, Metro USA est très clair : « There are certain sites and tools online that claim to tell you if you've been shadowbanned, but there's no evidence that they're accurate. Instead, you can perform a simple test in your own head: Ask, am I being a jerk who's violating this platform's terms of service? If the answer's no, you should have nothing to worry about. »
Lucie Ronfaut de chez @FigaroTech va probablement abonder en ce même sens : « [...] on parle très vite de "censure en ligne" pour une foule de choses qui n'ont rien à voir entre elles (non respect des règles publicitaires, spam, infraction du droit d'auteur...) [...] A-t-on un droit inaliénable de dire ce que l'on veut sur Facebook ou YouTube? » Je garde une copie de ses tweets qui me semblent être représentatifs de quelque chose, peut-être de tweets d'une journaliste #HighTech qui devrait approfondir des sujets, notamment ce qui se passait et comment fonctionne aujourd'hui Twitter.
Nous avons à nouveau régressé, on l'ignore, ou on n'en a strictement rien perçu et on s'en est accommodé, sinon, on est très content lorsque le phénomène #shadowban voire #pschitt affecte un compte ou des tweets qu'on souhaitait voir disparaitre ou ne jamais avoir vu en ligne. Tout est aujourd'hui devenu « signaux », les blocages, les unfollow, les follow, les mentions, etc, suite à quoi les algorithmes et la modération Twitter attribuent des notes, jugent et peuvent sévir sans apporter la moindre explication... Toutes paroles, images, tweets ou discours « qui heurtent, choquent ou inquiètent » sont maintenant très susceptibles d'être « signalés » dès les premières réactions de fâchés ou de vexés.
S'ajoutent donc maintenant encore le flicage et les affichages par @DisinfoEU ou Disinfo lab, aussi non susceptibles de réclamations. « Le fait de figurer dans un fichier signifie que vous avez été très actifs pendant l’affaire Benalla. » Ainsi que les réflexions et les tweets lapidaires de @mounir, dont à propos de l'Histoire et de « dictatures communistes ». « Enfin, les mots ont un sens » ? « L'accusation totalitaire nie à priori la possibilité de l'innocence puisque toute protestation d'innocence est considéré comme un signe supplémentaire et irréfutable de culpabilité. [...] le tribunal politique totalitaire jurera que le prévenu est d'autant plus coupable qu'il n'avoue pas. » Moi, coupable, selon @mounir, d'utiliser parfois des mots et des références tellement trop dures, je m'en contrefous.
ainsi que Cinq pour cent de vérité, La dénonciation dans l'URSS de Staline
Par hasard, dans un « programme en cours de finalisation » vu sur feminisme2018.fr et sur Google drive, j'ai remarqué qu'une personnalité pourrait contribuer à la première université d'été du féminisme, organisée par @Egal_FH et @MarleneSchiappa : « CARTE BLANCHE à Yael MELLUL, Féministe, ex-avocate ». C'est dans ce contexte que certains de mes tweets sur de la censure déjà (mais via Google) sont cachés, censurés, quasi depuis leur envoi ou publication, même si ces tweets ne sont pas du tout litigieux, mais peut-être gênants. Exprimer ou publier et partager ce qu'on a envie tout en respectant simplement la loi #loi1881 #LCEN c'est devenu compliqué sur Twitter.
Une page à tourner, celle de Twitter, de ses IA et de ses bugs
En fouillant encore un peu le sujet, notamment en comparant entre ce qui s'en disait dans la presse aux US et en France, dans de la presse US plus modérée et jusqu'à dans des tweets de plus à droite ou alt-right US aussi, je me suis aperçu que l'angle sous lequel j'ai lu et observé ces phénomènes n'a pas intéressé, pas chez nous.
Chez nous, en France, on n'en lit rien, ou mon Google et mon Qwant sont également tombés en panne. Les journaux nous rapportent juste que Trump criait à la censure et que Alex Jones a été mis à la porte. Et qu'en France encore, on cherche plutôt les Russes et qui manipule ou manipulait. Reste donc à partager simplement l'opinion de Metro UK et de Lucie Ronfaut de chez @FigaroTech, soyons sages, respectons les terms'n'rules, on ne peut pas tout dire.
« A handful of tech giants — Facebook, Google and Twitter — have become guardians of global speech. [...] » tweetait récemment @nytimesbusiness. « Twitter: We're challenging 10 million accounts weekly » titrait CNN, où j'ai trouvé un lien vers des notes de Jack Dorsey pour les parlementaires US, 11 pages qui renseignent :
https://t.co/Le0BDWzadR @gchampeau @epelboin @lpenou Read Dorsey's pre-written remarks / Testimony of Jack Dorsey, September 5, 2018 (11 pages) pic.twitter.com/40sybm4Jqb
— Bruno Kant (@bkant) 10 septembre 2018
14h42 #23 : vers une nouvelle police de la pensée ?
Next INpact & Arrêt sur images, ajoutée le 25 févr. 2015, "on zappe la case justice"
Le Made In France vu par la lorgnette de @elysee #Benalla
On nous a parlé d'un mug en porcelaine « Made In Limouge », fabriqué entre Toulouse et ailleurs - indéterminé.
Va-t-on nous parler un peu plus également de la montre « Made By LIP en France » ? C'est pas sûr.
Le #MadeInFrance promu par @Elysee et #Benalla https://t.co/bkVVE9Bz3P pic.twitter.com/CLeSo6YLOX
— Bruno Kant (@bkant) 15 septembre 2018
La montre à "quartz" de "fabrication Française" #MadeInFrance selon @elysee #Benalla est bien conçue autour d'un mouvement Suisse de marque Ronda, selon Lip https://t.co/Mh2ov2CglU pic.twitter.com/ZCPudyBe0k
— Bruno Kant (@bkant) 16 septembre 2018
Bloqué, par un marcheur #Disinfo #propaganda
Encore une médaille. Voir tous mes tweets en rapport... Le monsieur n'a pas supporté ce que je lui envoyais ?
« Une bonne enquête c'est une enquête vérifiée auprès des principaux intéressés. » Lui-même ne m'a répondu à rien...
On dirait que je l'ai vexé ou irrité, @pierre_lt, le copain #enmarche de @mounir/@DisinfoEU /@Nico_VanderB/@samuellaurent pic.twitter.com/vXY3viSiYF
— Bruno Kant (@bkant) 18 septembre 2018
#Mouahaha des nouvelles de #Nanterre
C'est proprement HALLUCINANT. Ce régime commence VRAIMENT à faire peur. MLP pic.twitter.com/WCX6WBCgi4
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 20 septembre 2018
Des nouvelles de Jean-Jacques Bridey
En 2013, ce monsieur assurait à des journalistes que lui et moi, on ne se connaissait pas. Et c'est mieux ainsi.
Concrètement, il est reproché à Jean-Jacques Bridey d'avoir cumulé les indemnités tirées de ses différents mandats de député, maire et président d'agglomérationhttps://t.co/veSidrd5ru
— BFMTV (@BFMTV) 27 septembre 2018
Des nouvelles de Xavier Serrier, magistrat
Je découvre, qu'il serait aujourd'hui « spécialiste du statut des magistrats » auprès de la première chambre civile de la cour de cassation. Je ris, comme rarement ; quand je m'en serais ressaisit, j'en rédigerais peut-être un billet de plus
Encore des nouvelles de la Ddass
Il y a peu, j'ai encore vu passer un reportage accablant à ces sujets. Etait-il utile de s’appesantir? On connait déjà bien. « Enfants placés, les sacrifiés de la République », diffusée sur France 3, en janvier, relevait « les dysfonctionnements de l’Aide sociale à l’enfance en Gironde »... « Enquête ouverte », forcément, pour vite tout étouffer.
Voila, « c'est comme ça que ça fonctionnait », nous dit maintenant @perrinegoulet, députée, ex-placée. Ca se passait comme ça aussi au Château de Vaucelles, à @villetaverny. Puis fallait pas ni en parler, ni que ça se sache...
Et quand tu dénonces quelque chose de sérieux, tu te fais enguirlander par les magistrats de service, puis par de hauts magistrats. « Laissez les #educspé tranquilles ! » J'avais signalé des défauts et des privations de soin. Richard Josefsberg de l'OSE France avait répondu, puis la magistrature a traduit cela, notant : « le harcèlement dont M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles ». Des saloperies en robes noires, des ordures du social
"Il faut se battre pour ces enfants."
La députée @PerrineGoulet a été placée en foyer quand elle avait 9 ans. Elle raconte cette période difficile et le combat qu'elle mène pour que les enfants placés ne soient pas les "oubliés de la République"… pic.twitter.com/0tbMAJ8vYy— Brut FR (@brutofficiel) 16 mai 2019
Éducateurs maltraitants, enfants battus ou même violés par leurs pairs... "Enfants placés : les sacrifiés de la République", c'est l'enquête choc de @PacFTV ce soir à 21.00 📺
Une émission suivie du débat "Comment mieux protéger les enfants placés ?" à 22.35 pic.twitter.com/18yZqAcXlb— France 3 (@France3tv) January 16, 2019
Ca, ça date. D'il y a longtemps. pic.twitter.com/bOCdqIEC7V
— Bruno Kant (@bkant) May 16, 2019
Un 25 mai 2019, les enfants disparus ou raflés par la Ddass
Ca faisait un moment, quelques mois, que je n'avais pas respiré un mauvais air. Le 116 000 convie, à Paris. « Droit d'Enfance est un acteur majeur de la #ProtectionEnfance et se consacre à l'accompagnement d'#EnfantsPlacés sous sa protection. » Eventuellement l'occasion de discuter de juges et de leur conscience de leur mission, ainsi que de l'ASE et du 116 000, des lumières, de l'OSE France, des sauveurs, de l'ARSEA Alsace, des orienteurs.
Edit... Les paragraphes qui suivent sont quelques ajouts du 24 courant. Il m'est souvent arrivé de rédiger des billets ou d'en compléter sur plusieurs jours. J'avais d'autres priorités, cette semaine.
J'en profite pour noter que la France a été condamnée par la CEDH pour « enquête lacunaire » sur une affaire de violences policières [Chebab c. France]. Pour « des faits datant de 2000 »... 19 ans de procédures ! « L’enquête, sur des faits datant de 2000, n’a été ni `'rapide" ni `'effective" ». Lorsque la Ddass prétend s'occuper bien d'un enfant, les investigations comme les procédures sont à peu près similaires : ni rapides, ni effectives, parcellaires, lacunaires, déficientes, partiales, accablantes par ses omissions, ses approximations et ses mensonges. Même en référé, les choses peuvent ne pas avancer. Rien que auprès du juge des tutelles, deux juges, et avec la contribution de la cour d'appel de Versailles, il m'avait fallut environ sept années pour démontrer qu'une étude de notaire avait essentiellement travaillé du chapeau. C'est la Ddass et ces magistrats, qui prétendront encore avoir toujours oeuvré « dans l'intérêt de l'enfant » ; il faut croire ; croire surtout en la justice, ses praticiens et tous ses prétoires. Mi-2008, j’apprenais que la justice m'avait perdu ou détruit un dossier médical, un scellé ; implicitement, cela mettait un terme à un recours contre l'Etat, suite à un décès suspect en milieu hospitalier, aux urgence...
Je note également que ce 23 mai 2019, à l'Assemblée nationale, pour une mission d'information sur l'Aide sociale à l'enfance, des associations représentant des parents contestant les décisions de placement de leurs enfants ont été auditionnées. A huis-clos, tandis que quantité d'autres auditions semblaient avoir été ouvertes à la presse ?
Ce mardi 21, je téléphonais à l'association Droit d'Enfance. Après quelques tweets, leur CM m'avait bloqué, je voulais en savoir plus. Un interlocuteur m'a assuré qu'ils n'étaient pas « nouveaux » et me suggérait d'effacer le mot « arriviste » - « personne dénuée de scrupules qui veut arriver, réussir par n'importe quel moyen ». Ils ont récemment changé de nom, après une fusion, m'a-t-on dit ; d'où certainement leur compte Twitter d'avril 2019 et leurs 44 à maintenant 45 followers. Selon leur site Internet, il s'agirait bien de spécialistes en « protection de l'enfance » ; ils devraient donc tout connaitre de méthodes, de pratiques, de dérives, de placements « provisoires », de placements « transitoires » et de « solutions durables », dont ceux pour faire plaisir. Ils connaissent également le 116 000, forcément, ce sont eux qui le gèrent ; « Nos équipes ont pour mission d’écouter et soutenir les familles d’enfants disparus. » Un numéro inaccessible lorsqu'un enfant ou un enfant d'une fratrie a été raflée par la Ddass, le Ministère de tutelle n’apprécierait pas que les écoutants et aides du 116 000 s'en soucient également, m'a-t-on expliqué...
Un enfant n'est soudainement plus là ? « S'adresser au secteur privé. » Quand la Ddass affirme travailler, tout est plus compliqué. J'en sais quelque chose, mon ainée avait été inscrite à deux reprises au fichier des mineurs disparus, puis même recherchée, alors qu'elle était sous la responsabilité des travailleurs sociaux de l'OSE France, ils organisaient des disparition de mineur. « C'est grave, ce que vous décrivez », m'a répondu cet interlocuteur de Droit d'Enfance. Mais j'avais à me débrouiller. J'avais à me débrouiller également avec le Défenseur des enfants ainsi que avec le 119, cet autre numéro, supposé être utile lorsqu'un enfant subit des violences et des défauts ou des privations de soin. « Contactez un avocat. » « Saisissez un juge. » Ces signalements au 116 000 ainsi que au 119 étaient parfaitement légitimes et justifiés ; sans aucun débats à leurs sujets, les magistrats qui en ont eu connaissance ont manifestement pris l'initiative de les « interpréter » en notant et en retenant simplement un « harcèlement dont M. X... a accablé la MECS du Château de Vaucelles ». Vers 2001, l'AFMJF (Association Française des Magistrats de la Jeunesse et de la Famille) publiait « le contradictoire en assistance existe ! » ; j'en ai très souvent rigolé.
Un nouveau ou un arriviste, du secteur #ASE #educspé pic.twitter.com/7J1A3zhSD9
— Bruno Kant (@bkant) May 20, 2019
Samedi, je vais me promener à Paris, vers parc Citroën, pour voir. @DroitdEnfance On pourrait faire connaissance.
— Bruno Kant (@bkant) May 21, 2019
Après cette riche journée au colloque de l’AFMJF, nous serions ravis de vous accueillir @AdrienTaquet au sein de notre village de prévention 😃 @116000FRANCE
— Enfants Disparus (@116000FRANCE) May 24, 2019
Pas un chat
Comme prévu, je suis allé me promener au parc Citroën. D'abord pour observer. De 11h00 à 14h00, pas foule, vraiment pas. Parfois un peu de monde autour d'activités ludiques, installées pour les petits. Puis je suis parti. A mon départ, une grosse averse allait peut être tomber, la météo prévoyait bien d'éventuels orages.
Suite à un commentaire, on m'a dit que le 116 000 aurait bien préféré un rassemblement place de l'hôtel de ville ou même place de la République, des endroits plus fréquentés. Je suppose que pour éviter tous troubles, ce parc très à l'écart leurs a été imposé. L'effet gilets jaunes et de ces zones Parisiennes interdites de manifestations... Ca tombait bien, je m'y rendais à moto, donc nécessairement avec un gros casque et un gilet jaune dans mon sac à dos. Mais pas tant pour la foule ou les gens de là bas, que je voyais plutôt affalés plus loin, dans les pelouses, indifférents.
L'indifférence des gens de la pelouse, dont un grand groupe de jeunes, je pense que c'est normal. Une disparition n'étant un drame - et en ce cas, absolu et d’intérêt - que lorsque les gens sont très personnellement affectés. J'ai par contre été surpris par celle des concernés. Par le passé, ce genre de rassemblement semblait fédérer davantage, on pouvait échanger avec beaucoup de gens dans le giron ainsi que avec d'autres gens parfois très en marge des associations et de personnalités présentes. L'accès au parc et à cette place publique était pourtant libre.
S'il a beaucoup plu après mon départ, ce qui aura vidé et détrempé la pelouse, le 116 000 aura planté des tentes, des bénévoles et sa chargée de comm' pour recevoir des journalistes de chaines d'info en continu.
Enfants confisqués au Japon : le calvaire des parents français
A la première vidéo que je repère, par CNews, suite à cette journée « enfants disparus et accompagnement des proches » organisée par Droit d'Enfance ou le 116 000, je commence à sourire. Une femme témoigne, parle d'une fugue... puis surtout, un grand-père témoigne, nous parle d'enfants « soutirés » par une mère Japonaise. C'est la règle, au japon, dure, lapidaire, radicale, bien connue depuis un moment déjà. « Mon fils n'a plus d'accès à ses enfants, ne sait pas où ils se trouvent, ne sait pas comment ils vont, les autorités Japonaises acceptent cette situation » :
Ces situations exotiques peuvent donc manifestement être facilement entendues par le 116 000, nos travailleurs sociaux et nos ministères. Des situations qui pointent ici du doigt les Nippons, ces saletés qui n'appliquent d'aucune façon les standards que nous, Français, approuvons. On en lit plus sur lepetitjournal.com dans sa rubrique Expat-Politique :
C'est tout à fait similaire à la politique et aux pratiques qui étaient en vigueur à Nanterre, en France, ces années passées. « Accepte ce qu'exigent les tantes maternelles de ta fille, la garde de ton ainée, abandonne leur enfin cette gamine. Arrête de te plaindre des travailleurs sociaux. Arrête de solliciter les autorités pour ce qui se passe à la MECS de Taverny, et pour ce que font ces travailleurs là. Arrête d'écrire partout et de tout exposer. Supprime ton blog. Accepte que ta fille disparaisse chez ces tantes. Accepte de ne plus avoir le droit de communiquer avec elle, d'aucune façon, et de ne plus en avoir la moindre nouvelle. Cesse d'interpeller les journalistes. Arrête de faire appel et de contester nos jugements. N'autorise surtout pas la diffusion du reportage Faits divers, le mag, sur France 2. » Le résultat là et tout ce qui a ensuite encore suivi a été documenté en long et en large, dans ce blog, où je n'ai jamais rien supprimé. Mais c'est moins Nippon, ce que je décris est davantage d'inspiration soviétique. Ces derniers, les soviétiques ou ces autres saloperies, avaient recours à la psychiatrie pour discréditer quiconque s'opposait de trop. Si ce n'était pas Soviétique, c'était un franc mix Sino-Soviétique, entre manipulations de toutes natures et recours à la psychiatrie, tout ce que l'occident décriait dans les années 60 à 80.
Les abus de la psychiatrie, depuis 1838, tout le monde pourrait connaitre ; un bon avis, d'où qu'il vienne et quel qu’il soit, basta, « pas de contestations ! » Sur les pratiques Chinoises dont ont pu s'inspirer les juges de Nanterre, la cour d'appel de Versailles et les travailleurs sociaux de l'OSE France, lire Bulle n° 40 de 1993, par Prévensecte, sur le lavage de cerveau ; « Quel qu'en soit le cadre, la réforme de la pensée a deux éléments de base la confession (étaler au grand jour le "mal" passé et présent) et ré-éducation - le remodelage à l'image de l'homme communiste. » Ne pas manquer de lire aussi l'expert, Richard Josefsberg, Internat et séparations, auteur, ouvrage et théorie largement promus chez les travailleurs sociaux. Françoise Sironi, Bourreaux et victimes : Psychologie de la torture, certainement un bon complément de lecture également. A côté de quoi, ces Nippons d'aujourd'hui me paraissent de loin moins barbares ou sauvages. Le procédé Japonais s'étale sur 5 minutes, le temps de faire les valises ; ensuite, cause toujours. Le Processus Français s'étend sur plusieurs années ; avec bien sûr toujours la possibilité de faire appel.
Je ne pense pas que ce que je pourrais raconter et décrire soit audible par Droit d'Enfance, des travailleurs sociaux.
Suisse : « des psys hors sérail dénoncent une utilisation abusive de leur art »
Le sujet ou cet edito récent du Temps m'inspire, un billet que je rédigerais encore une fois à l'occasion. D'une part, car il faudrait manifestement se taire en Suisse aussi, d'autre part, pour les utilisations abusives et sectaires de la psychiatrie, notamment par les juges pour enfants et les travailleurs sociaux. Je ne suis pas pressé ni motivé pour en ajouter davantage, maintenant, ici ; ce que j'ai publié étant souvent lu mais n'ayant jamais fait réagir grand monde.
Pour patienter, lire Le démariage. Justice et vie privée, une ancienne étude de dossiers de divorces, mais qui semblait encore d'actualité toutes ces années passées. Le magistrat du siège manque d'arguments pour motiver ou imposer ses décisions ? Aucun soucis, il convie alors le psychologue, le pédopsychologue et le psychiatre. « Quand les situations n'entrent pas dans le cadre des nouveaux modèles de réussite, quand les enfants ont des réactions et des attitudes qui ne ressemblent pas aux images de `'l'enfant du divorce" forgée par notre société, ceux qui se tournent vers la justice pour qu'elle dise la norme et tranche un conflit de droit ne rencontrent qu'une institution désemparée. Faute de savoir répondre à leur demande, la justice ne peut que mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour étouffer les différends » • Le démariage. Justice et vie privée, Irène Théry, Odile Jacob, 1993, reédition de 2001, pages 239-240
Quelques mots picorés dans un avis ou des conclusions d'un spécialiste faisant indiscutablement autorité, puis tout et n'importe quoi paraitra parfaitement motivé, acceptable, surtout si c'est approuvé par un juge. Pour en rire encore, s'intéresser à nouveau à la fameuse fausse psy. « `'Ce travail me plaisait énormément. J'ai été ambitieuse, je ne savais plus comment m'arrêter. J'ai dû faire beaucoup de mal", reconnaît Régine Labeur, 55 ans, des sanglots dans la voix. Entre 2004 et 2009, elle a berné toute l'institution judiciaire sur le ressort de la cour d'appel de Bordeaux en se faisant passer pour un expert psychologue. Magistrats et fonctionnaires de Périgueux, où elle travaillait, n'y ont vu que du feu. » • la suite, sur la Dépèche... « Dans ces rapports, la fausse experte égratigne des victimes et draine des diagnostics tronqués. Ainsi, une mère se voit retirer la garde de ses enfants sur la base de ses conclusions. Une victime d'agression sexuelle voit son affaire classée à la suite de ses rapports, dont le travail est `'basé sur des connaissances superficielles", observe un vrai expert. `'Il y a des filtres judiciaires qui n'ont pas fonctionné", s'étonne l'avocat de la prévenue, Michel Nunez. »
Encore du Suisse https://t.co/y3GPLBPlPx pic.twitter.com/oa7zfDMQyJ
— Bruno Kant (@bkant) May 27, 2019
En France, il doit au moins y avoir deux sortes de juges. Ceux subordonnés aux experts et ceux qui vont solliciter les experts jusqu'à ce qu'ils lâchent un avis qui leurs plait. https://t.co/miGQrhVdGr
— Bruno Kant (@bkant) May 27, 2019