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Joël Censier, le père de Jérémy : « J'attends tout et rien »
Colère contre la libération d'un suspect de meurtre
Mots clés : PROCES, PAU, COUR D'APPEL DE PAU
Par Jean-Wilfrid Forquès Mis à jour le 03/10/2011 à 20:10 | publié le 02/10/2011 à 08:53, le Figaro
La cour d'appel de Pau doit examiner le dossier ce mardi. Les parents de la victime crient leur incompréhension.
C'est une famille totalement brisée qui attend avec impatience le nouveau rendez-vous judiciaire devant la cour d'appel de Pau. La chambre de l'instruction doit examiner mardi le renvoi devant les assises du meurtrier présumé de Jérémy Censier, un jeune Gersois tué à coups de couteau le 22 août 2009, lors des fêtes de Nay (Pyrénées-Atlantiques).
«Depuis vingt-cinq mois, avec ma femme, nous avons du mal à trouver le sommeil. Nous avons le sentiment que la justice nous enfonce. Et pour nous, c'est tout simplement insupportable. Il y a de la révolte», martèle Joël Censier. «À la mi-septembre, la justice a d'abord décidé de remettre en liberté l'auteur des coups de couteau mortels. Et puis, la semaine dernière, la Cour de cassation a purement et simplement annulé les procès-verbaux de celui qui avait avoué le meurtre de notre fils», ajoute-t-il. Pour ce père de famille, retraité de la police depuis mars dernier, «ces décisions de justice - pour de simples erreurs de procédure - sont inacceptables. Trop, c'est trop». Dans un tel contexte, la famille Censier appréhende énormément l'audience de mardi matin. «Il y a de gros risques pour que les chefs d'accusation soient revus à la baisse. Que le meurtre de notre fils soit requalifié en simples violences aggravées. Autrement dit, l'affaire serait jugée par un tribunal correctionnel et non plus par les assises», souligne le père de Jérémy.
Pour Me Thierry Sagardoytho, l'un des trois conseils de Samson, le meurtrier présumé aujourd'hui âgé de 20 ans et mineur au moment des faits, «ces décisions de justice sont logiques. C'est au cours de ces gardes à vue, qui se sont déroulées sans avocat, que les enquêteurs ont extorqué les aveux de mon client. Cet arrêt va fragiliser les éléments du dossier. Mon client a porté des coups de couteau qui n'ont pas entraîné la mort. Il faut chercher ailleurs, notamment avec les cinq autres protagonistes. Ceux qui ont donné des coups de pied à Jérémy lorsqu'il était à terre. Demain, j'espère que la justice ne va pas s'entêter en s'acharnant sur mon client. Il est encore temps de rectifier le tir», insiste Me Sagardoytho. L'avocat va attaquer l'État pour «faute lourde en raison de la détention arbitraire de son client au-delà du 25 janvier 2011 et jusqu'à sa remise en liberté par la Cour de cassation». Celle-ci avait annulé les PV d'audition à cause de l'absence d'avocat pendant la garde à vue du supect.
Manifestation mardi à Pau
Cette demande fait sortir de ses gonds Corinne Censier, la mère de Jérémy : «C'est le monde à l'envers. Tout cela est intolérable et inacceptable pour une mère.» Et le père enchaîne : «Je suis consterné. Tous les jours, je vais sur la tombe de mon fils. J'allume une petite bougie et je lui promets que la justice sera rendue. Aujourd'hui, j'ai de gros doutes. La machine judiciaire nous écrase. Elle ne tient pas compte de notre douleur. Je me demande parfois si elle n'a pas tenu le couteau qui, par sept fois, est entré dans le corps de mon fils», lâche-t-il la gorge serrée.
Mardi matin, une manifestation aura lieu devant la cour d'appel de Pau organisée par le comité de soutien à la famille de Jérémy Censier. «Nous voulons faire entendre notre colère. Pacifiquement», explique Julien Hupin, le président de l'association. Dans le cortège, il devrait y avoir les parents de Jérémy Roze, un jeune Palois de 27 ans, assassiné en février dernier, à Toulouse. L'auteur présumé des faits était un récidiviste. «Le combat des Censier, c'est un peu le nôtre. Nous voulons que la justice nous soutienne. C'est loin d'être le cas», regrette Christian Roze.
En fin de semaine dernière, les Censier et les Roze étaient côte à côte à la tribune, à Toulouse, lors d'une réunion publique organisée par l'Institut pour la justice. La première d'une longue série destinée à sensibiliser les futurs candidats à la présidentielle de 2012. «Aujourd'hui, la justice est déconnectée des citoyens. Elle doit être plus protectrice vis-à-vis des victimes. Et plus équitable» , prévient Xavier Bébin, le directeur général de l'Institut.
11 commentaires
Meurtre de Nay : Joël Censier promet de retirer les PV sur le net
Par Évelyne Lahana
Publié le 7 octobre 2011 à 04h00
Mis à jour à 07h47
Les procès-verbaux vont-ils disparaître du site www.jeremycensier.com ?
Les procès-verbaux d'audition du mineur, accusé du meurtre de Jérémy Censier, tué le 22 août 2009, lors des fêtes de Nay, en ligne depuis mardi, vont-ils disparaître du site www.jeremycensier.com ? Julien Hupin, président de l'association de soutien à la famille de Jérémy Censier et Joël Censier, le père de la victime s'y sont engagés formellement, hier après-midi, auprès de leur avocat.
Me Stéphane Loumagne qui représentait la partie civile devant le juge des référés, a utilisé d'ailleurs cet argument pour demander au juge des référés, le renvoi de ce dossier. Il avait d'autant plus besoin d'un délai qu'il avait réceptionné l'assignation à 16 heures alors que l'audience était fixée à 16 h 45. Dès lors, il n'avait pas eu le temps de l'examiner dans sa totalité. Cette procédure « très accélérée » a été engagée par la défense du jeune homme de 20 ans, soupçonné d'être l'auteur des coups de couteau meurtrier, afin que ces procès-verbaux de garde à vue, annulés par la cour de cassation, soient retirés immédiatement du site.
Me Denise Pombielh s'est opposée avec virulence à ce renvoi : « Ces procès-verbaux se diluent se répandent dans toute la France et notamment sur des sites d'extrême droite. La famille est identifiée, l'anonymat du mineur n'est pas respecté et il est possible de le géolocaliser », s'est indignée l'avocate. Elle a réclamé le retrait immédiat « de cette publication et de toutes les publications directes ou indirectes à venir ». Pour autant, le juge des référés a ordonné le renvoi de l'affaire à ce matin 9 heures. Entre-temps un huissier aura constaté si tous les procès-verbaux ont été supprimés. Si c'était le cas « l'assignation n'a plus lieu d'être » assure Me Stéphane Loumagne. « Le trouble illicite n'existera plus », réplique Me Pombielh « mais on demandera réparation du préjudice subi, pour le principe », assure-t-elle.
Nay faits divers justice
De source http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2011/10/07/joel-censier-promet-de-retirer-les-pv-sur-le-net,214537.php
Joël Censier s'est exprimé au domicile familial finalement préféré à la salle municipale que le maire de Saint-Cricq avait mis à disposition. Le père de Jérémy, tué le 22 août 2009 à l'âge de 19 ans, a révélé que, « sur le pont de Nay, avant le début de la reconstitution, un officier de gendarmerie m'a appris que je serai prochainement entendu pour subornation de témoin ». Pour le père de Jérémy, « c'en est trop. J'ai été menacé de diffamation pour avoir, il a quelques mois, dans un accès de colère, qualifié d'enculé S.G qui a reconnu avoir porté des coups de couteau à mon fils. Maintenant, un avocat de la défense cherche à nouveau à remettre à la barre des accusés le père d'un gosse de 19 ans qui pourrit sous terre. In-su-ppor-ta-ble ! Que l'institution judiciaire fasse cas de telles accusations alors qu'elle se révèle si déficiente dans l'instruction du meurtre d'une sauvagerie extrême de Jérémy, ça me révolte ! » La voix brisée, les larmes aux yeux, Joël Censier laisse son épouse parler à son tour de « colère, d'écœurement », avant de poursuivre...
Accueil » Grand Sud » Gers
Publié le 21/01/2011 07:56 - Modifié le 21/01/2011 à 14:24 | B. D.
Joël Censier : « Et c'est à moi que l'on cherche des poux »
justice
Extrait de source http://www.ladepeche.fr/article/2011/01/21/994958-joel-censier-et-c-est-a-moi-que-l-on-cherche-des-poux.html
Selon une source judiciaire, le suspect devrait comparaître libre au futur procès qui n'a pour l'instant pas été audiencé. "Dans le cadre du présent dossier, il ne peut plus être placé en détention ni même sous contrôle judiciaire", a-t-on ajouté.
"Je trouve scandaleux qu'aujourd'hui, pour un vice de procédure (...), on occulte totalement la gravité de ce qui a été commis à l'égard de notre garçon", a réagi sur France 3 Aquitaine Joël Censier, le père de la victime.
Société
AFP - Publié le 15/09/2011 à 20:24
Pau: soupçonné de meurtre, un jeune remis en liberté sur un point de procédure
Extrait de source http://www.lepoint.fr/societe/pau-soupconne-de-meurtre-un-jeune-remis-en-liberte-sur-un-point-de-procedure-15-09-2011-1373756_23.php
170.000 personnes ont déjà vu cette vidéo. Celle d’un père criant à l’injustice après le meurtre de son fils, poignardé en 2009. Car la mise en examen du principal suspect (qui a reconnu les faits) pourrait être annulée, pour vice de procédure.
09 Novembre 2011 15h21
C’est une information qui nous a été communiquée par un de nos internautes. Joël Censier, policier depuis 30 ans, a publié une vidéo dans laquelle il se révolte contre la Justice française, et les décisions prises suite à la mort de son fils, Jérémie, 19 ans, poignardé à sept reprises le 22 août 2009, à Nay, dans le sud-ouest de la France. L’affaire avait fait, à l'époque, couler beaucoup d'encre dans les médias français. La vidéo particulièrement poignante et révoltante fait en ce moment le tour des réseaux sociaux.
De source http://www.rtl.be/info/monde/france/835858/son-fils-tue-la-video-poignante-d-un-pere-en-revolte-contre-la-justice#vidz
C'est plus qu'une simple information, c'est une publicité pour l'Institut pour la justice....
A la suite, encore un extrait de RTL.be... Ca pourrait faire du bruit. Mais bon, en face, le lobbie des types et des cafards en robe va pouvoir répondre. Je serais surpris si Maître Eolas n'avait pas déjà consacré quelques billets à cette affaire, des billets dans lesquels il nous aurait parlé d'une victoire du droit.
Une question de conscience
Comme il l’explique dans la vidéo, Joël Censier n’est pas là pour faire couler les larmes ou ressasser la mort de son fils. Mais pour une question de « conscience ». Car ce qu’il dénonce, c’est « l’après ». Le principal suspect du meurtre a en effet été relâché mi-septembre pour vice de procédure. La Cour de Cassation a donné raison aux avocats du suspect qui dénonçaient un retard dans la mise en état du dossier de leur client. Et la reconnaissance du vice de forme a entraîné la libération du suspect. C’est une première dans la Justice française. Sa plus haute juridiction a également annulé l’ensemble des procès-verbaux (PV) de la garde-à-vue (voir explication de cet article du Monde.fr), dans lesquels le suspect reconnaissait avoir poignardé Jérémie Censier.
Soutenu par l’Institut pour la Justice
Face à ces décisions « insupportables », le père a décidé de faire partie de l’Institut pour la Justice, un organisme créé en 2007 par un groupe de citoyens avec de nombreux experts (avocats, criminologues, magistrats, psychiatres, économistes, professeurs,…), dont l’ancien directeur de la police judiciaire de Paris, pour lutter contre les dysfonctionnements de la justice pénale française.
Plusieurs thèmes ont été abordés au cours de la soirée, notamment l'inégalité des droits entre le mis en cause et la victime. Une femme est venue pour exemple témoigner de l'acquittement du violeur de son fils autiste et du désespoir de ne pouvoir faire appel… Une victime ne peut faire appel d'une décision de justice. C'est l'un des combats que veut mener l'IPJ en offrant les mêmes droits aux victimes et aux accusés.
Autre thème : celui de l'application effective des peines. Autre témoignage poignant : celui d'une mère dont la fille a été séquestrée, violée… Le violeur condamné à 30 ans de réclusion dont 20 ans de sûreté et qui a annoncé clairement la couleur. A sa sortie, il retrouvera la fille, la découpera en morceaux et enverra les bouts par la poste… Ambiance poignante jeudi soir à l'écoute de ce témoignage.
« Notre rôle est là. Il s'agit de faire remonter les témoignages auprès des élus. Cette phase particulière de pré-campagne est pour nous l'occasion de sillonner la France. D'ici une semaine, notre pacte sera lancé sur Internet. Nous espérons récolter 500 000 signatures pour présenter ensuite nos idées à tous les candidats à la présidentielle. »
Le Tour de France pour la justice a fait halte à Reims
Publié le dimanche 23 octobre 2011 à 07H34 - Vu 270 fois
Extrait de source http://www.lunion.presse.fr/article/marne/le-tour-de-france-pour-la-justice-a-fait-halte-a-reims
En août 2009, Jérémy Censier était sauvagement tué par un groupe d'une dizaine d'agresseurs. Mais ils avaient été libérés les uns après les autres. Le seul qui avait été poursuivi pour "violences volontaires ayant entraîné une interruption de travail supérieurs à huit jours" a été relâché après un vice de procédure. Une situation que dénonce Joël Censier, le père de la victime. Il veut faire signer un Pacte pour la justice aux candidats à la présidentielle.
Des "dysfonctionnements de la justice"
Cet ancien policier veut lutter contre ce qu'il appelle les "dysfonctionnements de la justice". Dans une vidéo postée sur Internet, il explique sa démarche : il a rejoint l'Institut pour la justice, "qui oeuvre pour réformer la justice française", dit-il. L'Institut a élaboré un Pacte pour la justice qui sera présenté aux candidats à la présidentielle "pour demander des réformes urgentes du système judiciaire".
"Je suis la sonnette d'alarme sur (...) le coté inopérant de l'institution judiciaire", explique Joël Censier sur Europe 1.
Extrait de source http://www.europe1.fr/France/Reformer-la-justice-francaise-811125/
Par Eolas le Samedi 12 novembre 2011 à 13:48 :: Actualité du droit :: Lien permanent
Depuis quelques jours, un appel à signer un “Pacte pour la justice” en vue de l’élection présidentielle de 2012 circule sur internet, émanant de l’Institut pour la Justice (IPJ), que mes lecteurs connaissent bien, hélas pour eux.
Dans un premier temps, j’ai consacré à cette initiative le traitement que je réserve à toutes celles de l’IPJ, c’est-à-dire mon plus profond mépris.
Mais je dois reconnaître que l’IPJ est en train de réussir son coup, avec sa méthode habituelle : mettre en avant la douleur d’une victime qui se défend de mettre en avant sa douleur, des affirmations que rien ne vient étayer si ce n’est la parole de la victime, étant entendu que quiconque est contre est un salaud qui méprise la douleur d’un père, un droitdel’hommiste bobo naïf, et bien évidemment l’ami du crime.
Son article: http://www.maitre-eolas.fr/post/2011/11/12/Attention-manip-%3A-le-pacte-2012-de-l-Institut-pour-la-Justice
Par Philippe Belhache, SudOuest.fr
Meurtre de Nay (64) : le témoignage de Joël Censier crée la polémique sur le Net
Le père de Jérémy Censier s'est engagé aux côtés de l'Institut pour la Justice (IPJ). Il a réalisé avec cette association une vidéo virale qui crée un malaise.
La suite: http://www.sudouest.fr/2011/11/15/meurtre-de-nay-64-le-temoignage-de-joel-censier-cree-la-polemique-sur-le-net-554158-4483.php
Samedi 8 octobre 2011 à 06h00 | Mis à jour le 8 octobre 2011 à 09h00
Par B. P.
Le meurtrier présumé de Jérémy débouté de ses plaintes
Il réclamait notamment 10 000 € de dommages et intérêts.
Soulagement hier pour les parents de Jérémy Censier. Ils attendaient en effet avec une certaine inquiétude la décision concernant deux plaintes déposées par l'avocat de Samson G., le meurtrier présumé de leur fils (tué de plusieurs coups de couteau en août 2009 lors des fêtes de Nay). L'avocat du jeune homme avait déposé plainte pour recel de violation du secret de l'instruction.
« C'est surtout Julien Hupin, le président de l'ASCJ (l'Association montée en faveur de Jérémy Censier, NDLR) qui était visé par cette plainte », estime Joël Censier, le père de Jérémy. Une autre plainte pour violation du secret professionnel, concernait davantage les avocats des époux Censier, les Gersois Mes Gomez et Martial et le Palois Me Loumagne. Finalement, l'avocat de Samson G. a été débouté de toutes ses demandes hier après-midi, y compris des 10 000 euros de dommages et intérêts qu'il réclamait et des frais de justice afférents qui auraient pu se monter à 3 000 euros.
Souci d'apaisement
Jeudi déjà, Julien Hupin, dans un geste de bonne volonté pour apaiser les esprits, avait retiré du site Internet de l'ASJC, les extraits des PV d'audition des prévenus dans le meurtre de Jérémy. Pour Joël Censier, la décision du parquet montre un souci d'apaisement. « J'espère que ce sera des deux côtés. Mais en ce qui me concerne, je ne suis pas soumis au secret de l'instruction et je continuerai de réclamer la justice pour mon fils », insistait le Lislois hier soir.
Gers · Nay · Pau · Faits divers
De source http://www.sudouest.fr/2011/10/08/le-meurtrier-presume-de-jeremy-deboute-de-ses-plaintes-520698-4627.php
AFP Publié le 03/12/2011 à 11:44
Un gendarme de 30 ans s'est fait rouer de coups hier soir près de Nancy, en s'interposant dans une bagarre dont il avait été le témoin par hasard, alors qu'il était en civil loin de son lieu d'affectation, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Le sous-officier circulait hier vers 20h30 entre Belleville et Marbache, à une quinzaine de kilomètres au nord de Nancy, lorsqu'il a été témoin d'une altercation: trois hommes en frappaient un quatrième. Il s'est arrêté pour porter secours, en annonçant qu'il était gendarme.
La victime de l'altercation en a profité pour s'esquiver, mais les trois agresseurs s'en sont pris au gendarme: ils l'ont frappé à coups de pieds et de poings, ainsi qu'à l'aide d'un objet contondant. Ils l'ont également jeté à terre et aspergé d'un liquide indéterminé, avant de prendre la fuite à l'arrivée sur les lieux d'un autre automobiliste, lequel a prévenu les secours.
La victime a été hospitalisée, mais son état n'inspire pas d'inquiétude. "Plus de peur que de mal", a dit à l'AFP une source proche de l'enquête. Selon le quotidien régional L'Est Républicain, qui a révélé l'information sur son site internet, le gendarme était en Lorraine pour rendre visite à sa famille mais il est affecté dans l'Allier.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/03/97001-20111203FILWWW00409-un-gendarme-roue-de-coups-en-lorraine.php