Catégorie: La réunion de la PJJ
La directrice se jette par une fenêtre : vive émotion à la PJJ
NDLR : Elle serait donc tombée sur un buisson ? C'est rassurant ; elle n'a alors pas abimé un bus.
Double évasion à Nouméa
AFP, 18/09/2009 | Mise à jour : 16:58, extrait
Deux détenus se sont évadés dans la nuit du centre pénitentiaire de Nouméa en Nouvelle-Calédonie, a annoncé le syndicat FO-Pénitentiaire, une information qu'a confirmée à l'AFP une source gouvernementale. "Ces deux détenus qui se trouvaient dans une cellule avec quatre autres personnes ont profité de l’état de vétusté de l’établissement en creusant un trou et leur permettant de se retrouver rapidement à l’extérieur", a précisé FO, deuxième organisation de surveillants, dans un communiqué.
L'"état de stress" des personnels de la Protection judiciaire de la jeunesse
LE MONDE | 18.09.09 | 13h52 • Mis à jour le 18.09.09 | 13h52, extrait
Dans la matinée de ce mardi 15 septembre, Catherine Kokoszka, directrice départementale de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), se rend à une réunion où elle doit annoncer une réorganisation de ses services. Avant d'atteindre la salle, elle se jette par une fenêtre et fait une chute d'une dizaine de mètres, amortie par un buisson. Ses jours ne sont pas en danger. A une amie et collègue, qui l'a vue à l'hôpital, jeudi, elle a affirmé que les raisons de son geste étaient dues à un "état de stress". Elle lui a parlé de "maltraitance institutionnelle". "Elle se plaint de devoir appliquer tout très vite, de faire et de défaire en permanence, comme un petit soldat, comme un élève face à un maître d'école. Elle était au bout du rouleau, explique cette amie qui veut conserver l'anonymat. Elle avait un vrai conflit de loyauté. C'est une ancienne éducatrice et elle se demandait comment les éducateurs feraient pour s'occuper des mineurs, avec toutes leurs tâches." Catherine Kokoszka, qui n'est pas décrite comme une personne fragile, est devenue éducatrice en 1980. Elle a gravi les échelons de la PJJ pour devenir directrice en Corrèze et dans la Creuse, puis à Paris depuis mai 2006. Son geste a suscité une vive émotion chez les cadres et les éducateurs, dans la région parisienne, mais aussi au niveau national.
Exclusif : pour Me Szpiner, la lettre de Treiber n'apporte rien!
Philippe Cohen - Marianne | Vendredi 18 Septembre 2009 à 16:54, extrait
Maître Francis Szpiner, l'avocat des familles de Géraldine Giraud et de Katia Lherbier, les deux jeunes femmes assassinées pour lesquelles Treiber a été mis en examen, estime que le comportement de son avocat Maître Dupond-Moretti durant toute la procédure contredit les propos de Treiber sur l'instruction «à charge».
Marianne2 : Quel est votre commentaire sur la lettre de Jean-Pierre Treiber, publiée par Marianne2.fr ?
Me Szpiner : Dans la lettre publiée par Marianne, Jean-Pierre Treiber remet en cause l'instruction et ses méthodes. Pourtant, je tiens à rappeler les éléments de la procédure. Le 13 octobre 2008, Jean-Pierre Treiber s'est vu signifier une ordonnance de mise en accusation devant la Cour d'assise. Le 14 octobre, il a fait appel. Le dossier est donc venu devant la chambre d'instruction. Comme le prévoit la législation, toutes les parties disposent alors de la possibilité de faire un mémoire demandant des investigations complémentaires. Or la défense Jean-Pierre Treiber n'a pas jugé utile de le faire. Les juges on rend un arrêt motivé détaillé de 36 pages qui détaille les charges pesant contre Jean-Pierre Treiber. Son avocat n'a répondu à aucune de ces charges.
En pleine réunion, la directrice de la PJJ se jette du 3ème étage
NDLR : « Oh, my back, oh my back… » • Spiderman ; but I think we can aussi.
En pleine réunion, la directrice de la PJJ se jette du 3ème étage
il y a 1 heure 43 min
Le Post, par Tian, extrait
Mardi matin, en pleine réunion de service, la directrice de l’antenne parisienne de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) s’est jetée du troisième étage de l’immeuble. Par chance, Catherine K. est tombée dans une cour intérieure, sur un bus. La fonctionnaire est saine et sauve, après une chute de 7 mètres… Ses collègues, dont certains sont syndiqués au SNPES-PJJ/FSU organisent, cet après-midi, un rassemblement pour interpeller la ministre de la Justice. Anne Leclerc, une éducatrice de la PJJ confie au Parisien : « On ne sait jamais ce qui motive une tentative de suicide, mais le contexte de pression et de stress est évident à la PJJ ». Tout en ajoutant : « Depuis deux ans, nous sommes sans cesse victimes de restructurations, de suppressions d’activités, parfois du jour au lendemain... »