La Roumanie et la Shoah
NDLR : J'adore la préface de Paul Shapiro, je pense qu'elle pourrait faire pâlir à l'OSE France.
La Roumanie et la Shoah
Destruction et survie des Juifs et des Tsiganes sous le régime Antonescu, 1940-1944
de Radu Ioanid
Maison des Sciences de l'Homme, décembre 2002
Présentation de l'éditeur, sur Amazon. Trop peu d'historiens se sont penchés à ce jour sur la question de la Solution finale en Roumanie. Alors qu'on imagine que les centaines de milliers de Juifs roumains disparus pendant la Seconde Guerre mondiale ont été déportés et exterminés dans les camps du Grand Reich, les deux tiers des victimes ont en réalité péri sous les coups de l'administration du dictateur Ion Antonescu. Plus de 250 000 Juifs roumains et ukrainiens ont ainsi été soit déportés en masse, soit massacrés par la police et la gendarmerie a Iassy, Odessa, Golta et Berezovka, ou alors abandonnés à leur sort pour mourir en Transnistrie. Parler de la Solution finale " en Roumanie " exige donc de parler d'une Solution finale " à la roumaine " et de rompre le silence imposé des années durant par la guerre froide, la fermeture des archives roumaines et le national-communisme de Ceaucescu.
Extraits de source Google books
De la quatrième, sur Google books
La formation des juges et des magistrats du parquet, en Moldavie
La formation des juges et des magistrats du parquet en Europe
Actes d'une réunion multilatérale organisée par le Conseil de l'Europe en coopération avec le Centre d'études judiciaires de Lisbonne, Lisbonne, 27-28 avril 1995, paru en 1996. Voir également Le réseau de Lisbonne.
La page 129, d'extraits sur Google books
L'Iran et Gaza à l’honneur du World Press
NDLR : Une telle photo n'aurait pas pu être prise par un professionnel ?
De source le Figaro
Novembre 2008 : Dati et Bockel inaugurent le CEF de l'ARSEA
NDLR : Lorsque je lis l'arrêt récemment rendu par la chambre des créatures inférieures de la cour d'appel de Versailles, j'ai le sentiment que ce passé là n'est pas avéré non plus.
Voir également A l'ARSEA : « une logique citoyenne et surtout le respect des autres »
De source www.justice.gouv.fr
Infrarouge ou cette réforme de tous les soupçons
NDLR : Une diffusion d'abord reportée en raison du drame ou de la malédiction d'Haïti... Puis j'ai raté sa redif et foiré l'enregistrement, dans la nuit du 6 au 7. Mais France 2 propose - à peu près - tous ses documentaires en VOD, voire sur CD, dans son catalogue virtuel. J'espère y voir figurer bientôt celui de Jacques Cotta sur l'agonie ou la mort annoncée du juge d'instruction, cette réforme de tous les soupçons. D'ici là, j'ai encore d'autres DVD pour me distraire, Munich, Apocalypse, La vie après la Shoah, La résistance, Nuit et brouillard, etc. Je vais aussi voir un jour Brokeback Mountain, on m'en a dit des choses ambigües.
Mort pour avoir attendu trop longtemps aux urgences ?
NDLR : « Selon le rapport... » Que l'épouse s'estime déjà heureuse de l'avoir obtenu ? Seulement 1h30 d'attente ?
RTL info | 06 févr. 2010 | Màj 11h09
Mort pour avoir attendu trop longtemps aux urgences ? La justice dit non
Le parquet d'Evry envisage un classement sans suite du dossier d'un homme décédé en décembre 2008 après une prise en charge tardive aux urgences. Le rapport du collège d'experts, rendu le 21 janvier, ne fait pas état d'erreurs médicales. "Selon le rapport, tout a été fait dans les règles de l'art, il n'y a pas eu d'erreur de diagnostic. La seule chose qui ait pu diminuer ses chances de survie, d'environ 20%, est d'avoir attendu durant 1h30 sans être pris en charge aux urgences, qui étaient submergées", a indiqué le parquet d'Evry. Le rapport scandalise la famille de la victime.
Georges Brenier | 06 févr. 2010
Un homme était mort en 2008 alors qu'il attendait depuis 1h30 aux urgences. Son épouse avait déposé une plainte contre X pour "mise en péril de la vie d'autrui"
Une enfant de 10 ans simule son enlèvement
NDLR : Je constate qu'à 10 ans, une fillette peut être assez futée, simuler son enlèvement et réclamer 30 000 euro. Je pense qu'une jeune fille ou femme de 16 ans passés qui a l'habitude de fréquenter des juges et des travailleurs sociaux, de fréquenter aussi des théâtres et leurs coulisses, des critiques, des metteurs en scène et des pasteurs peut assez aisément jouer maintenant la poissonnière. Les juges de Versailles affirmaient d'ailleurs eux-même que ma fille ainée est aujourd'hui en âge de discernement ou de dire ce qu'elle veut. Par le passé, elle souhaitait rester puis rentrer à Paris ; selon la justice, elle était inaudible. Maintenant qu'elle souhaite rester « à nouveau » en Alsace, il faut évidement entendre et surtout bien écouter ma fille... la mineure de l'histoire. Evidemment, l'ARSEA a aussi donné son avis, ce 11 décembre dernier, à Versailles. Par le passé, ces hurluberlus martelaient que ma cadette était née en 2001, ce que des juges avaient établi. Maintenant, ils vont pouvoir marteler que les juges de Versailles ont enfin rectifié.
Le Parisien du jeudi 4 février
Confidentiel : Kärcher, Amara s'étonne
NDLR : A la suite, un ancien communiqué de la société Kärcher qui figure depuis longtemps dans un autre de mes billets ou références, Idées noires et le contrat de responsabilité parentale. Je ne savais pas que notre gouvernement avait pour ambition de faire aussi de la publicité pour Kärcher, on en apprend tous les jours.
Confidentiel Kärcher : Amara s'étonne
Le Figaro, 01/02/2010 | Mise à jour : 09:03
La secrétaire d’Etat à la politique de la ville s’étonne que la société allemande Kärcher ait récemment demandé à ce que sa marque ne soit plus citée, dès lors qu’un problème se pose dans les quartiers difficiles. «Je ne comprends pas, ça leur fait de la publicité gratuite et, en plus, cela veut dire que leurs produits sont efficaces et de bonne qualité», confie Amara. En décembre dernier, réagissant à la mort d’un enfant de 12 ans à Lyon, suite à une fusillade entre des jeunes, la secrétaire d’Etat avait indiqué : «Oui, il faut nettoyer au Kärcher, nettoyer cette violence qui tue nos enfants dans les cités».
Un communiqué de mars 2007
Alerte info : le débat sur l'identité nationale impopulaire
NDLR : « Sans doute », pense-t-il à présent ? Mais passons à la suite.
Alerte info : Le débat sur l'identité nationale impopulaire, selon un sondage
Eric Besson promet d'impliquer les intellectuels dans le débat sur l'identité nationale après les régionales
Hier, 22h32, par AP
Le ministre de l'Immigration Eric Besson regrette de ne pas s'être appuyé sur des intellectuels pour la première partie du débat sur l'identité nationale et promet de le faire pour la deuxième partie, qui s'ouvrira après les régionales.
Dans un entretien dont France-Info a diffusé un extrait dimanche soir, il assure ne rien regretter sur le fond - "c'est un débat indispensable", dit-il. En revanche, il admet avoir commis des erreurs "sur la forme".
"Je n'avais pas du tout anticipé la polémique sur les élections régionales", confie Eric Besson. La gauche a reproché au gouvernement d'avoir organisé ce débat afin que l'UMP puisse séduire les électeurs de l'extrême droite au scrutin de mars. "Pour moi, la question de l'identité nationale n'avait strictement rien à voir avec les élections régionales".
Le ministre de l'Immigration considère par ailleurs qu'il aurait dû créer dès le départ un comité des sages pour guider le débat. "Il y a une chose que je ferais différemment", a-t-il dit. "J'avais consulté beaucoup beaucoup d'intellectuels, de sociologues, de politologues, etc... sur ces questions et j'estimais qu'ensuite c'était à moi d'assumer le débat".
"Sans doute, j'aurais dû dès le début créer une espèce de comité des sages, de comité d'orientation qui aurait pu permettre, quand la polémique est partie sur le fait qu'il y avait tel ou tel objectif dans ce débat, que ce (ne) soit pas moi, mais un certain nombre d'intellectuels de gauche, de droite, des vrais républicains, qui répondent à cela", a-t-il expliqué.
Et Eric Besson de conclure: "J'aurais peut-être dû m'appuyer sur ces intellectuels et je compte le faire pour la deuxième partie du débat, après les élections régionales".
Lancé le 2 novembre, le débat sur l'identité nationale se déroule essentiellement lors de réunions dans des préfectures et sur un site web mis en place pour recueillir les propositions des internautes. Des remarques xénophobes ont été déposées en ligne, avant d'être enlevées par les modérateurs. La gauche a appelé à boycotter ce débat, tout comme nombre d'associations et d'intellectuels qui trouvent que les questions posées stigmatisent les immigrés et les musulmans. AP/cb
Clearstream: « une victoire de la justice », selon Badinter
Clearstream: "une victoire de la justice"
AFP, 30/01/2010 | Mise à jour : 14:35, extrait
L'ancien garde des Sceaux Robert Badinter (PS) salue dans Le Monde daté de dimanche le jugement dans l'affaire Clearstream, qui a relaxé Dominique de Villepin, comme "une victoire de la justice", qui témoigne de "l'indépendance" des magistrats. Plus qu'une "victoire de M. de Villepin" ou une "défaite de Nicolas Sarkozy", M. Badinter voit dans la "décision" rendue avant-hier "une victoire de la justice parce qu'elle témoigne de l'indépendance des juges qui l'ont rendue".
Laurence Ferrari : « La souffrance des enfants me bouleverse »
NDRL : Une vidéo datée du 3 mars 2009, une interview exclusive de Laurence Ferrari pour Sélection du Reader's Digest sur le thème : « Le bonheur de s'engager ». Tags sur Dailymotion où il pourrait manquer l'Unicef : « laurence ferrari, tf1, julien clerc, telethon, engagement, Sélection Readers Digest, SOS Villages d'enfants, ambassadrice, PPDA, solidarité, heures, prime time, journaliste, bonheur, s'engager ». Voir aussi Au colloque du Fil d'Ariane.
Des ateliers pour apprendre à se déplacer
NDLR : S'agirait-il d'une opportunité pour réapprendre d'abord à ne pas tomber sous le bus ? Pourquoi pas.
A la une
Une Caennaise traînée par le train
Ouest-France, jeudi 28 janvier 2010, extrait
Blessée mais vivante ! Elle a été coincée par la porte d'un train, en Ariège. Son mari a porté plainte. « La dernière image est terrible : une poupée de chiffon, bringuebalée entre le train et le quai. » Jean-Yves est encore sous le choc. Photographe à la rédaction Ouest-France de Caen, il ne cesse de se repasser le film du drame qui a failli coûter la vie à son épouse de 44 ans. Ce devait pourtant être un week-end de rêve sur le plateau de Beille (Ariège).
Champigny-sur-Marne (94500)
ÇA BOUGE
Des ateliers pour apprendre à se déplacer
Le Parisien | 20.01.2010, 07h00, extrait
Savoir lire une carte, établir un itinéraire, utiliser les distributeurs de tickets, comprendre la signalétique, passer d’un mode de transport à l’autre nécessite un apprentissage. La RATP a donc ouvert des ateliers mobilité destinés aux personnes de 16 à 25 ans inscrites dans un parcours d’insertion professionnelle ou sociale. Trois niveaux sont proposés : l’initiation pour les personnes n’ayant jamais emprunté les transports en commun. ...
Le groupe Bouygues
NDLR : « Construire l'avenir, c'est notre plus belle aventure »... Voir aussi le principe de précaution.
Une copie écran de source http://www.bouygues.com/ - Une copie locale
Ces politiques qui s'en prennent aux médias
NDLR : A l'occasion, je vais relire des notes voire même L'omerta française.
Actualités NouvelObs < Médias < Médias & pouvoirs
Ces politiques qui s'en prennent aux médias
NOUVELOBS.COM | 27.01.2010 | 14:43, extraits
Peillon vs France Télévisions, Bayrou vs TF1, Lefebvre vs AFP... Les politiques sont-ils obsédés par les médias ? Ou ont-ils trouvé le meilleur prétexte pour occuper le terrain médiatique précisément ? [...] Au petit jeu du "qui tapera le plus sur les médias", les politiques gagnent-ils à tous les coups ? Pas sûr, car le risque est tout de même de tomber dans l'excès. "Le systématisme et la caricature deviennent rapidement inopérants, comme le montre Frédéric Lefebvre et ses mises en cause de l'AFP", prévient Jean-Marie Charon. Voire de tomber dans le populisme. "Décrédibiliser médias et journalistes, qui jouent un rôle-clé dans l'animation du débat public, cela peut être dangereux", poursuit le sociologue. Au point d'occulter les vraies difficultés auxquelles se heurte la profession. "Les gens qui arrivent avec des vieilles formules et qui réclame des têtes n'aident pas à sensibiliser l'opinion aux vrais problèmes des médias", regrette Jean-Marie Charon. "Les questions de financement des médias, de l'audiovisuel public, des relations entre propriétaires et rédactions, sont des sujets délicats qui renvoient aux questions de démocratie." François Malye abonde dans le même sens. "Le vrai problème dans les médias, c'est l'autocensure car les journaux appartiennent à de grands groupes économiques, et une certaine façon de travailler avec les politiques. Mais sur ces sujets, on entend rarement ces derniers." (Anne-Sophie Hojlo - Nouvelobs.com)
Médias : Le groupe Bolloré censure un papier sur la police
NDLR : De la censure, en mai ou juin 2007 ? Je crois qu'il y avait alors plusieurs articles dans mon blog que le groupe Bolloré n'aurait pas toléré dans son gratuit Matin Plus... Quel est au juste le problème ? Mes plus récentes conclusions n'ont pas été censurées, certains pensaient que j'allais être condamné. Je les avais remises en mains propres, au rapporteur. Mais cela ne me surprend pas vraiment car, comme je l'écrivais dans ces mêmes conclusions, les magistrats professionnels en ont souvent déjà entendu bien d'autres. Depuis, un collège de magistrats a rendu un délibéré, un arrêt ou décision de justice qui sera bientôt définitif. En décembre dernier, je souhaitais aussi verser des suppositoires à ce même dossier, mais le rapporteur les a refusé ; le dossier « d'assistance éducative » de ma fille Justine contenait déjà une carte de visite ainsi qu'une clef USB dont le contenu, un extrait de Fuck You de Lilly Allen, semblait indifférer la Cour.
Le groupe Bolloré censure un papier sur la police
Par D.H. (avec agence), le 04 juin 2007 à 13h10, mis à jour le 04 juin 2007 à 17:55
Rubrique Economie - TF1 News, sur TF1/LCI, extraits
La direction a confirmé lundi avoir refusé de publier dans son quotidien gratuit Matin Plus un article sur les déboires de roms avec la police de Roissy.
[...] La non parution de cet article rédigé par la rédaction de l'hebdomadaire Courrier international, conformément aux accords en vigueur entre les deux titres, a été révélée par le chef du service Europe de l'Est de Courrier International, Alexandre Lévy, sur son blog. Matin Plus est issu d'un partenariat entre le groupe Bolloré (à 70%) et Le Monde (à 30%). Plusieurs pages du quotidien sont réalisées par des journalistes du Monde et de Courrier International, filiale du Monde.
"Petite censure" ou "journal neutre" ?
Selon Alexandre Lévy, l'homme d'affaires Vincent Bolloré, ami proche de Nicolas Sarkozy qui avait disposé de son bateau après l'élection du 6 mai, a refusé de publier cet article relatant les mésaventures de musiciens roms retenus pendant plusieurs heures par la police de Roissy. La raison de cette "petite censure, franche et décomplexée" est qu'on ne pouvait "pas parler de la sorte de la police française" selon Alexandre Lévy.
[...] Comparaison avec "ce qui se passait au temps de l'URSS"
"Nous avons une charte éditoriale prévoyant que nous faisons un journal neutre. Là, on avait un article qui était extrêmement désagréable pour la France parce qu'il comparait ce que faisaient ses fonctionnaires à ce qui se passait au temps de l'URSS", a-t-il expliqué. Pour Jean-Christophe Thiéry, le rédacteur en chef de Matin Plus Serge Nedjar "a pris la décision de ne pas passer l'article et cette décision a été évidemment confortée par Vincent Bolloré" et par lui-même.