Catégorie: Rumeur et crédibilité
Alerte info : le débat sur l'identité nationale impopulaire
NDLR : « Sans doute », pense-t-il à présent ? Mais passons à la suite.
Alerte info : Le débat sur l'identité nationale impopulaire, selon un sondage
Eric Besson promet d'impliquer les intellectuels dans le débat sur l'identité nationale après les régionales
Hier, 22h32, par AP
Le ministre de l'Immigration Eric Besson regrette de ne pas s'être appuyé sur des intellectuels pour la première partie du débat sur l'identité nationale et promet de le faire pour la deuxième partie, qui s'ouvrira après les régionales.
Dans un entretien dont France-Info a diffusé un extrait dimanche soir, il assure ne rien regretter sur le fond - "c'est un débat indispensable", dit-il. En revanche, il admet avoir commis des erreurs "sur la forme".
"Je n'avais pas du tout anticipé la polémique sur les élections régionales", confie Eric Besson. La gauche a reproché au gouvernement d'avoir organisé ce débat afin que l'UMP puisse séduire les électeurs de l'extrême droite au scrutin de mars. "Pour moi, la question de l'identité nationale n'avait strictement rien à voir avec les élections régionales".
Le ministre de l'Immigration considère par ailleurs qu'il aurait dû créer dès le départ un comité des sages pour guider le débat. "Il y a une chose que je ferais différemment", a-t-il dit. "J'avais consulté beaucoup beaucoup d'intellectuels, de sociologues, de politologues, etc... sur ces questions et j'estimais qu'ensuite c'était à moi d'assumer le débat".
"Sans doute, j'aurais dû dès le début créer une espèce de comité des sages, de comité d'orientation qui aurait pu permettre, quand la polémique est partie sur le fait qu'il y avait tel ou tel objectif dans ce débat, que ce (ne) soit pas moi, mais un certain nombre d'intellectuels de gauche, de droite, des vrais républicains, qui répondent à cela", a-t-il expliqué.
Et Eric Besson de conclure: "J'aurais peut-être dû m'appuyer sur ces intellectuels et je compte le faire pour la deuxième partie du débat, après les élections régionales".
Lancé le 2 novembre, le débat sur l'identité nationale se déroule essentiellement lors de réunions dans des préfectures et sur un site web mis en place pour recueillir les propositions des internautes. Des remarques xénophobes ont été déposées en ligne, avant d'être enlevées par les modérateurs. La gauche a appelé à boycotter ce débat, tout comme nombre d'associations et d'intellectuels qui trouvent que les questions posées stigmatisent les immigrés et les musulmans. AP/cb
Ces politiques qui s'en prennent aux médias
NDLR : A l'occasion, je vais relire des notes voire même L'omerta française.
Actualités NouvelObs < Médias < Médias & pouvoirs
Ces politiques qui s'en prennent aux médias
NOUVELOBS.COM | 27.01.2010 | 14:43, extraits
Peillon vs France Télévisions, Bayrou vs TF1, Lefebvre vs AFP... Les politiques sont-ils obsédés par les médias ? Ou ont-ils trouvé le meilleur prétexte pour occuper le terrain médiatique précisément ? [...] Au petit jeu du "qui tapera le plus sur les médias", les politiques gagnent-ils à tous les coups ? Pas sûr, car le risque est tout de même de tomber dans l'excès. "Le systématisme et la caricature deviennent rapidement inopérants, comme le montre Frédéric Lefebvre et ses mises en cause de l'AFP", prévient Jean-Marie Charon. Voire de tomber dans le populisme. "Décrédibiliser médias et journalistes, qui jouent un rôle-clé dans l'animation du débat public, cela peut être dangereux", poursuit le sociologue. Au point d'occulter les vraies difficultés auxquelles se heurte la profession. "Les gens qui arrivent avec des vieilles formules et qui réclame des têtes n'aident pas à sensibiliser l'opinion aux vrais problèmes des médias", regrette Jean-Marie Charon. "Les questions de financement des médias, de l'audiovisuel public, des relations entre propriétaires et rédactions, sont des sujets délicats qui renvoient aux questions de démocratie." François Malye abonde dans le même sens. "Le vrai problème dans les médias, c'est l'autocensure car les journaux appartiennent à de grands groupes économiques, et une certaine façon de travailler avec les politiques. Mais sur ces sujets, on entend rarement ces derniers." (Anne-Sophie Hojlo - Nouvelobs.com)
Médias : Le groupe Bolloré censure un papier sur la police
NDLR : De la censure, en mai ou juin 2007 ? Je crois qu'il y avait alors plusieurs articles dans mon blog que le groupe Bolloré n'aurait pas toléré dans son gratuit Matin Plus... Quel est au juste le problème ? Mes plus récentes conclusions n'ont pas été censurées, certains pensaient que j'allais être condamné. Je les avais remises en mains propres, au rapporteur. Mais cela ne me surprend pas vraiment car, comme je l'écrivais dans ces mêmes conclusions, les magistrats professionnels en ont souvent déjà entendu bien d'autres. Depuis, un collège de magistrats a rendu un délibéré, un arrêt ou décision de justice qui sera bientôt définitif. En décembre dernier, je souhaitais aussi verser des suppositoires à ce même dossier, mais le rapporteur les a refusé ; le dossier « d'assistance éducative » de ma fille Justine contenait déjà une carte de visite ainsi qu'une clef USB dont le contenu, un extrait de Fuck You de Lilly Allen, semblait indifférer la Cour.
Le groupe Bolloré censure un papier sur la police
Par D.H. (avec agence), le 04 juin 2007 à 13h10, mis à jour le 04 juin 2007 à 17:55
Rubrique Economie - TF1 News, sur TF1/LCI, extraits
La direction a confirmé lundi avoir refusé de publier dans son quotidien gratuit Matin Plus un article sur les déboires de roms avec la police de Roissy.
[...] La non parution de cet article rédigé par la rédaction de l'hebdomadaire Courrier international, conformément aux accords en vigueur entre les deux titres, a été révélée par le chef du service Europe de l'Est de Courrier International, Alexandre Lévy, sur son blog. Matin Plus est issu d'un partenariat entre le groupe Bolloré (à 70%) et Le Monde (à 30%). Plusieurs pages du quotidien sont réalisées par des journalistes du Monde et de Courrier International, filiale du Monde.
"Petite censure" ou "journal neutre" ?
Selon Alexandre Lévy, l'homme d'affaires Vincent Bolloré, ami proche de Nicolas Sarkozy qui avait disposé de son bateau après l'élection du 6 mai, a refusé de publier cet article relatant les mésaventures de musiciens roms retenus pendant plusieurs heures par la police de Roissy. La raison de cette "petite censure, franche et décomplexée" est qu'on ne pouvait "pas parler de la sorte de la police française" selon Alexandre Lévy.
[...] Comparaison avec "ce qui se passait au temps de l'URSS"
"Nous avons une charte éditoriale prévoyant que nous faisons un journal neutre. Là, on avait un article qui était extrêmement désagréable pour la France parce qu'il comparait ce que faisaient ses fonctionnaires à ce qui se passait au temps de l'URSS", a-t-il expliqué. Pour Jean-Christophe Thiéry, le rédacteur en chef de Matin Plus Serge Nedjar "a pris la décision de ne pas passer l'article et cette décision a été évidemment confortée par Vincent Bolloré" et par lui-même.
SOS Villages d'Enfants : parrainages d'enfants, aide à l'enfance
NDLR : Sa justice souhaitait que je « supprime » mon site Internet. Pourquoi ?
Une copie écran de la page d'accueil de SOS Village d'enfant - Une copie locale
Interpellés pour un masque de Sarkozy
NDLR : Quelle farce...
Interpellés pour un masque de Sarkozy
Lefigaro.fr, 22/01/2010 | Mise à jour : 07:18
Deux professeurs des écoles qui participaient à une manifestation à Nice hier matin ont été interpellés parce qu'ils portaient un masque de Nicolas Sarkozy et brandissaient une pancarte sur laquelle était inscrire le fameux "casse-toi pauvre con", rapporte aujourd'hui Nice-Matin.
Entourés par des policiers nationaux, les deux instituteurs ont été isolés du cortège, puis emmenés au commissariat, où ils se sont vu reprocher une "offense au chef de l'Etat", un délit prévu par la loi du 29 juillet 1881. Le conseiller régional communiste Pierre Bernasconi, venu s'interposer, a également été interpellé.
Les trois personnes ont finalement été rapidement relâchées, tandis que les syndicalistes ont promis de "tous venir avec un masque de Nicolas Sarkozy à la prochaine manifestation".
Extrait de source Nice-Matin
Les enfants d’Haïti : entre l’angoisse des adoptants et le risque du trafic
NDLR : Pourquoi nous parle-t-on de « rapatriements » d'enfants d'Haïti alors qu'il s'agirait plutôt de « sauvetages », voire peut-être même « d'exfiltrations » ? Ces bouteilles d'eau vides dont il est question à la suite me font penser à une manifestation qui avait été organisée par le passé, en Belgique, par SOS Rapts Parentaux. Des chaussures d'enfants avait alors été alignées devant le ministère de la justice ; une photo.
De source France-Info
De source http://rapatriement-haiti.over-blog.com/
Hagenau - Uhrwiller : « Le Noël des aînés, une belle fête »
NDLR : Je comprend mieux pourquoi le pasteur n'a pas pu me téléphoner depuis l'été dernier, pour organiser les DVH en faveur de Justine, il était bien trop occupé à préparer une belle fête pour le troisième âge du village.
De source DNA
Les jeunes de l'UMP : « le pire risque, c'est de ne pas en prendre »
NDLR : Lefebvre a raison (voir plus bas), bientôt les fêtes de fin d'années, noël en famille, la fête avec les amis, tout ça. Prenons des risques moins pires et contribuons au changement du monde, dans cette France d'après la rupture ? Dans ce clip, parmi tous ces personnages, Raffarin est mon préféré. Je me demande si les guignols pourront rivaliser.
De citations prêtées à Nicolas Sarkozy, selon evene.fr... « Si la vérité blesse, c'est la faute de la vérité. », d'une conférence de presse, 4 Mai 2004. « Quand on a le sentiment que le temps est compté, on agit plus et plus vite. », d'une interview dans Le Monde, 17 Juillet 2004. « Tout est complexe entre un homme et une femme, mais quand tout est public, alors les petits événements de la vie quotidienne deviennent des monuments. », témoignage. « L’épreuve, c’est l’absence, pas la blessure de vanité. », témoignage. « A chaque époque ses solutions, mais ses solutions fortes, volontaires, déterminées. », témoignage. « Plus on manifeste un désaccord sur le fond, plus on doit être attentif à la forme. », d'une interview dans Le Monde, 9 Septembre 2006. « Il faut tout faire pour que le travail rapporte davantage que l’assistance. », de l'émission ‘J’ai une question à vous poser’ TF1, 5 Février 2007. « La France n’est jamais aussi prête au sursaut que lorsqu’on la croit sur le déclin. », du Meeting de Cormeilles-en-Parisis, 6 Mars 2007. « L’idéologie de mai 68 sera morte le jour où dans la société on osera rappeler chacun à ses devoirs. », d’un discours Bercy le 29 avril 2007. « Là où vous voyez des critiques, je ne vois que des convictions. », d'une interview dans Le Monde, 7 Septembre 2005.
Copé déplore le clip de l'UMP
AFP, 12/12/2009 | Mise à jour : 12:31
Le patron des députés UMP, Jean-François Copé, n'apprécie pas le clip réalisé par les jeunes de l'UMP, dans lequel plusieurs ministres chantent en play-back, déplorant cette initiative venue "du parti". "Qu'est-ce que vous voulez que j'en dise de ce clip... Ah, non, il ne m'a pas fait rire, non !", a-t-il déclaré sur Europe 1. A la question "Comment autant de ministres peuvent se planter autant, ensemble, sans qu'il y en ait un qui s'en rende compte ?", M. Copé a répondu: "je ne sais pas dans quelles conditions tout ça a été fait. Je sais que c'est une initiative du parti", sous-entendu avec l'aval de son rival Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP. "Je l'ai découvert comme tout le monde", a-t-il lâché en soupirant avant d'ajouter: "franchement, s'il y a bien un sujet sur lequel vous ne me trouverez pas très bavard, c'est celui-là. C'est vrai que ça ne m'a pas convaincu". Dans ce clip, "un lipdub" diffusé sur internet et censé booster l'ardeur militante des jeunes UMP, une pléiade de personnalités du parti présidentiel et de ministres chantent et dansent avec plus ou moins de bonheur sur un tube de Luc Plamondon, composé en 1976 et intitulé "Tous ceux qui veulent changer le monde".
PARIS (AFP), il y a 5 heures — Le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre a pris samedi la défense du clip controversé des jeunes UMP y voyant "clin d'oeil, humour et second degré", là où les socialistes sont incapables de "chanter ensemble". "Le clin d'oeil, l'humour et le second degré doivent faire partie de la politique, surtout à la veille des fêtes de fin d'année!", affirme dans un communiqué M. Lefebvre, l'une des nombreuses personnalités de l'UMP apparaissant dans ce "lipdub". "Je préfère le sourire et l'action pour soutenir un monde qui change à Copenhague, plutôt que la violence et la provocation de ceux qui ont sali le symbole de la démocratie en envahissant le Parlement", déclare-t-il également faisant allusion au coup de force des militants de Greenpeace le 2 décembre à l'Assemblée nationale. "Et puis, quand on prend plaisir à participer à l'aventure du changement, pourquoi le cacher!", estime le porte-parole de l'UMP. Selon lui, "il y a une certitude, c'est que le Parti Socialiste qui est incapable de se retrouver dans la même pièce, n'a aucune chance de faire un lipdub comme le nôtre! Cela les obligerait à chanter ensemble! Inimaginable!!"
RTL info | 13 déc. 2009 | Màj 14h29, un son
Non, les ministres UMP ne sont pas tous danseurs professionnels
LIPDUB
Le clip des jeunes UMP est "dégoulinant de bêtise"
NOUVELOBS.COM | 10.12.2009 | 16:53, extraits
Les réactions n'ont d'ailleurs pas tardé à tomber, pas franchement emballées. Le premier, l'ancien ministre de la Jeunesse, de l'Education et de la Recherche Luc Ferry a jugé le clip "ridicule" et "consternant". Interrogé sur le Talk Orange-Le Figaro, il est d'abord incrédule : "Non ce n'est pas vrai, vous me faites une blague ? Ils n'ont pas fait un truc aussi nul, ce n'est pas possible". Pour lui, ce clip est "dégoulinant de bêtise. Comment peut-on faire un truc aussi médiocre ?", demande-t-il, se disant "consterné" : "Pour le coup, cela me choque vraiment. Cela me fait de la peine que le show-biz le plus bête, le plus médiocre s'introduise dans la politique comme cela, c'est désespérant". Bon plan com'. Le clip, présenté par les jeunes UMP sur leur site comme "le clip officiel des Jeunes Populaires pour l’année 2010", bénéficie en tout cas d'un plan com' de première main. Une soirée de lancement "en avant première et en exclusivité" est prévue à Paris le vendredi 11 décembre. En bons communicants, les jeunes UMP ont déjà mis en ligne sur leur site le teaser, destiné à nous vendre le clip. Un bandeau s'affiche sur fond noir, avec une accroche à la syntaxe douteuse : "Le pire risque, c'est celui de ne pas en prendre". [...] C'est parti, sur les airs de "tous ceux qui veulent changer le mon-deu/Venez chanter, venez danser/ Tous ceux qui veulent changer le mon-deu/ Venez marcher z-à mes côtés". Préparez-vous à avoir la larmette à l'œil.
Jean Kiffer : « dans une République normale, on devait en rester là... »
NDLR : Une « publicité » parue en pages Région, dans le Républicain Lorrain du 25/10/2009. Revoir aussi un article paru en juin 2008, dans le même canard, références et extraits à la suite. Sur le net, cet article de juin 2008 semble être incomplet, mais j'en ai une copie quelque part, dans ce blog, dans mes piles ou dans mes étagères.
Pour plus grand et lisible, cliquer ici
JUSTICE
Joel Guitton perd le procès en diffamation
Le procureur, le maire et «l’exploit» de l’huissier
Républicain Lorrain, publié le 17/06/2008
L’ex-procureur de Metz, Joël Guitton, perd le procès en diffamation qu’il avait intenté au maire d’Amnéville, Jean Kiffer...pour une erreur matérielle. Truffé de pièges juridiques, le droit de la presse est une matière redoutable. Les professionnels du monde judiciaire ne sont pas les derniers à se prendre les pieds dans le tapis de la loi du 29 juillet 1881, qui définit les infractions commises par voie de presse et les procédures très particulières qui leur sont applicables. [...] Au cours du conseil municipal du 2 mai 2007, dans l’une de ces diatribes dont il a le secret, Jean Kiffer s’en était pris publiquement au procureur de Metz, comparant ses «méthodes » à celles de la «Gestapo». «Malgré l’inquisition qu’il exerce contre la mairie d’Amnéville, le procureur est resté bredouille », avait fustigé Jean Kiffer, accusant le magistrat de «vouloir [sa] peau ». Ces amabilités tout en nuances étaient remontées jusqu’au [???], dont les oreilles avaient sifflé très fort. [...] Saisi de ce dossier pittoresque, le TGI de Paris vient de rendre son jugement. Sans même se prononcer sur « le fond », la 17e chambre, spécialisée dans les délits de presse, a prononcé la «nullité» de la procédure engagée par l’ex-procureur. ...
Schizophrénie
De source Wikipedia... l'intro
Le terme de schizophrénie regroupe de manière générique un ensemble d'affections psychiatriques présentant un noyau commun, mais dites différentes quant à leur présentation et leur évolution. 'Schizophrénie' provient de « schizo » du grec « σχίζειν » (schizein) signifiant fractionnement et « φρήν » (phrèn) désignant l’esprit. On utilise le pluriel pour désigner ces schizophrénies. Ce sont des pathologies psychiatriques dites d'évolution chronique, débutant généralement à l'adolescence ou au début de l'âge adulte. La folie, terme analogique est psychose en ce qu'elle se structure, et a le caractère de schizophrénie, épisodiquement, dans les états "dissociés"[1] ...jusqu'à envahir "ce corps qu'a l'esprit".
Les schizophrénies ont pour conséquence des altérations de la perception de la réalité (délire), des troubles cognitifs, et des dysfonctionnements sociaux et comportementaux plus ou moins importants. Le terme est par ailleurs fréquemment utilisé au sens figuré, notamment dans la presse, pour évoquer des attitudes ou des propos simplement contradictoires.
1. ↑ La schizophrénie, terme au départ évidemment psychiatrique, désigne comme tels les états dit 'dissociés', où l'être est dans le repli et la régression au langage. Éjection du moi, dans la formalité de son juste fonctionnement, altération profonde, elle n'a pas précisément le caractère dit de 'double personnalité' ainsi qu'on l'entend parfois.
De source CNRTL, extraits
SCHIZOPHRÉNIE, subst. fém.
A. − PSYCH. Psychose chronique caractérisée par une dissociation de la personnalité, se manifestant principalement par la perte de contact avec le réel, le ralentissement des activités, l'inertie, le repli sur soi, la stéréotypie de la pensée, le refuge dans un monde intérieur imaginaire, plus ou moins délirant, à thèmes érotiques, mégalomanes, mystiques, pseudo-scientifiques (avec impression de dépersonnalisation, de transformation corporelle et morale sous l'influence de forces étrangères, en rapport avec des hallucinations auditives, kinesthésiques). ...
DÉR.
Schizophrénique, adj. a) Psych. Qui est de la nature de la schizophrénie (supra A) ou qui la dénote. Le schizophrène ne vit plus dans le monde commun, mais dans un monde privé (...). De là l'interrogation schizophrénique: tout est étonnant, absurde ou irréel, parce que le mouvement de l'existence vers les choses n'a plus son énergie (Merleau-Ponty, Phénoménol. perception, 1945, p. 332). « Attitudes schizophréniques », toutes signalées par leur caractère abstrait et apragmatique, par leur stérilité, leur fixité et leur immobilité (Minkowski): véritables « stéréotypies psychiques » qui finissent par régler tout le comportement du schizophrène (Mounier, Traité caract., 1946, p. 363). b) P. anal. Relatif à la schizophrénie (supra B), qui est déphasé de la réalité, marqué d'une scission interne, d'une dualité insurmontable. [Les centristes en Suède] se trouvent dans une position schizophrénique: d'une part, toute la bourgeoisie traditionnelle a voté pour eux, dans l'espoir de se débarrasser enfin de cet horrible socialisme qui les empêche de dormir; d'autre part, une bonne partie des électeurs s'est laissé séduire par le thème de la liberté, du changement. Il est impossible de satisfaire les deux (Le Nouvel Observateur, 27 sept. 1976, p. 44, col. 2). − [skizɔfʀenik]. − 1re attest. 1917 (J. Rogues de Fursac, Manuel de psych., p. 268); de schizophrénie, suff. -ique*. − Fréq. abs. littér.: 12.
Entrave à la saisine de la justice
NDLR : Il suffit de bons bouffons en blouse, des « psychologues » ou des « médecins polyvalents », d'un rapport administratif ou deux, à moins que quelques allégations de très intègres sociaux respectueux, ça peut suffire également, et le gentil juge pour enfant peut tout étouffer. Dans la pire des situations, de nouveaux juges, l'avocat de l'enfant, la chambre du conseil de la cour d'appel et sa première présidence sauront toujours trouver les pirouettes qui sauveront la dignité des juges et prétoires ou cours saisis.
Bulletin d'information n° 708 du 1er octobre 2009
N°1188
ATTEINTE A L'ACTION DE JUSTICE
Entrave à la saisine de la justice.
Non-dénonciation de mauvais traitements infligés à mineur de 15 ans.
Prescription. - Délai. - Point de départ.
Le délit de non-dénonciation de mauvais traitements sur mineur de 15 ans, prévu et puni par l'article 434-3 du code pénal, est un délit instantané dont la prescription court à compter du jour où le prévenu a eu connaissance des faits.
Crim. - 7 avril 2009. CASSATION PARTIELLE SANS RENVOI
N° 09-80.655. - CA Angers, 14 janvier 2009.
M. Pelletier, Pt. - Mme Radenne, Rap. - M. Salvat, Av. Gén. - SCP Vier, Barthélemy et Matuchansky, Av.
Un commentaire de cette décision est paru dans la revue La Semaine juridique, édition générale, n° 22, 27 mai 2009, Panorama, n° 1929, p. 44. Voir également la revue Droit pénal, n° 7-8, juillet-août 2009, commentaire n° 91, p. 23, note Michel Véron ("Le point de départ du délai de prescription"), également publiée dans la revue Droit de la famille, n° 7-8, juillet-août 2009, commentaire n° 98, p. 37.
20 heures le journal : [émission du 8 Mars 2002]
NDLR : Tiens, Maître Thierry Moser, je pense le connaitre. L'affaire d'Anger ? Mais de quoi s'agit-il ?
Voir aussi « Cheval pour tous », quelle leçon pour la profession ?
20 heures le journal - 08/03/2002 - 40min59s. 1. [Plateau début] à 19:59:02:00 - 00:02:23:00 2. [Violeur déguisé en policier] à 20:01:25:00 - 00:01:31:00. - France 2 Reportage. Point sur l'enquête mettant en cause un violeur déguisé en policier soupçonné d'être l'auteur de plusieurs agressions sur mineurs. Commentaire sur images d'illustration de collégiennes, divers plans du collège, infographie des lieux des [...] 3. [Plateau lancement : procès Supéri] à 20:02:56:00 - 00:00:24:00 4. [Procès Supéri] à 20:03:20:00 - 00:01:37:00 Reportage. Compte rendu de la 4ème journée du procès de François SUPERI, ancien directeur de l'association "Cheval pour tous". Commentaire sur images d'une de ses victimes, de l'accusé dans son box, dessins d'audience, images d'archives 1999 de [...] 5. [Plateau lancement : mise sen examen de pédophiles à Angers] à 20:04:57:00 - 00:00:22:00 6. [Pédophilie : mises en examen à Angers] à 20:05:19:00 - 00:01:20:00. - France 2 Reportage. Mises en examen de 3 personnes à Angers, suspectés d'actes pédophiles. L'enquête démontre la complicité des mères de famille des victimes. Commentaire sur images des lieux des faits, vue générale des immeubles du quartier, et images des [...] 7. [Plateau brève : journée de la femme] à 20:06:39:00 - 00:00:43:00. - France 2 Brève en images : journée de la femme...
Presse [, camarades] et Internet : deux poids, deux mesures ?
NDLR : Vu sur Plume de presse, paru dans un Siné hebdo récent ?
Le conseil général recrute
Voir aussi Les OGM, une affaire très « politique »
De source HDS mag n° 6, juillet-août 2009, page 62
Extrait d'un forum de discussion...
"je suis tiers digne de confiance, je ne suis pas rémunéré. J'ai fait la demande à l'aide sociale à l'enfance, soutenue par le Juge, pour recevoir une allocation d'entretien. Il semble que celle-ci varie selon l'âge de l'enfant et le département de résidence. En ce qui me concerne, je reçois pour un enfant de 14 ans, un virement mensuel d'environ 450 euros. C'est une aide importante ayant un salaire modeste. mais ce n'est pas un salaire et ne se déclare pas sur la feuille d'impot. je reçois d'autre part une allocation familiale du fait que la maman est décédée. montant 80 euros par mois et l'allocation de rentrée scolaire.
Au niveau des impots, nous avons deux parts, j'élève seule l'enfant.
Il est personne à charge, donc sur ma feuille d'impôt."
La religieuse [et la sensure]
« L’ancienne censure voulait rendre l’adversaire inoffensif en le privant de ses moyens d’expression ; la nouvelle - que j’ai appelé sensure - vide l’expression pour la rendre inoffensive, démarche beaucoup plus radicale et moins visible » • Bernard Noël, La pornographie, in Le Château de Cène (ouvrage condamné pour « outrage aux moeurs » en 1973), Gallimard, Paris, 1990, p.180. Cité dans La censure en France à l'ère démocratique (1848- ), sous la direction de Pascal Ory, aux éditions Complexe, 1997 ; de cet ouvrage, d'un article de Emmanuel Wallon : « Aujourd’hui le tyran comprendrait qu’il suffit de laisser dire cette vérité, s’il en existe une, pourvu que rien ne permette de la démêler du fatras des petites phrases, des allégations, des commentaires et des démentis. »
A propos de La religieuse, de Jacques Rivette
DE VISU > Images interdites
La parole aux censeurs
Qui censure, et pourquoi ? A partir de quelques exemples concrets, recensement des arguments qui peuvent justifier un acte facilement assimilé à une restriction de la liberté d'expression.
L'Anastasie aux lourds ciseaux créée par Gil en 1874 correspond à une image récurrente de la censure : bornée, acariâtre, exagérément moralisatrice, cette mégère n'entend que ce qu'elle dit et ne veut surtout pas voir ce qu'on lui montre. Raillée par la presse, qui est souvent la première à en subir les effets, boudée par les politiques, qui n'osent plus guère user de cette tentation à double tranchant que dans des situations extrêmes, synonyme enfin d'atteinte à la liberté d'expression et de désinformation, la censure trouve pourtant ses défenseurs et ses usagers. Qui sont-ils, comment et surtout pourquoi agissent-ils ?
Un dossier sur www.crdp.ac-creteil.fr