Archives pour: Mai 2012, 21
Oulala, qu'est-ce que j'ai publié ?
Avec ce que j'ai tweeté ou publié au cours de ces derniers mois, jours et heures, j'ai potentiellement tout #UMP à dos, le #PS, le #FN et le #FdG très probablement aussi. Je pense avoir depuis un bon moment déjà, bien à dos, la magistrüre du pays, ainsi que la grande profession ou sphère du droit (avocats, notaires, etc...). La police, les travailleurs sociaux et les « psys », je les avais aussi déjà beaucoup chauffés au cours des années passées... les journalistes, n'en parlons même plus. Je crois que j'ai raillé à peu près tous les grands corps ou au moins quelques élites du pays
Pour ne rien arranger à ma situation personnelle, ce matin, je publiais un billet sur l'affaire d'Outreau, en me moquant encore de quelques « critiques ». Je viens maintenant de constater que Jacqueline Phélip et Maurice Berger pourraient eux-même avoir récidivé, ils viennent de publier un nouvel ouvrage, encore chez Dunod : « Divorce, séparation, les enfants sont-ils protégés ? » Comme pour leurs répondre ou leurs faire écho, Marta de Tena, une journaliste de Elle, semble avoir publié un ouvrage complémentaire, chez JC Lattès : « La Garde alternée ». Je viens de passer commande après avoir lu un article de Caroline Eliacheff, sur le Huffingtonpost, On partage un enfant. Il me fallait ces deux livres de fin février et mars dernier, pour comprendre un peu mieux ce qui pourrait encore me tomber dessus au cours des prochaines heures... ou jamais. Début mars dernier, je n'avais pas remarqué la parution de ces deux nouveaux livres, à cette période, je finissais très mal en point, alors que la campagne 2012 avait régressée au stade halal... Répondez moi que j'ai mal lu !
Dans le pire des cas, s'il m'arrivait vraiment une tuile du fait de quelques unes de mes publications ou prises de positions, j'avancerais l'autorité de la chose jugée. Jusqu'à nouvel ordre, c'est toujours et très officiellement moi, le plus débile de tous. En effet, et sauf si la cour de cassation décidait finalement d'admettre tout de même mon troisième et ultime pourvoi, contre un arrêt d'avril 2011, il est fort probable que du point de vue de l'intégralité des juges français, ce sera toujours et éternellement moi, le plus marteau. Les français ne vont tout de même pas se défouler sur un imbécile, n'est-ce pas ? Ce qui va suivre, ou pas, va maintenant s'imposer à pas mal de mes lecteurs... La balle est en ce moment même dans le camps des juges ; mais dans ma besace, j'ai encore l'arrêt rendu début mars dernier, encore par la cour d'appel de Versailles, une ultime petite perle, un faux ou un sacré torchon
Outreau : Eric Dupond-Moretti « tue les Experts comme jadis...»
Super intéressant, ces histoires, ces débats récents, ces réactions et ces palabres sur ce thème d'Outreau. Je pense que je vais tout de même me pencher d'avantage sur ce bouquin, « La bête noire », le livre, ainsi que sur ses détracteurs ou ceux qui houspillent cet animal, m'intéresser à nouveau à Eric Dupond-Moretti, et encore à Mathieu Aron... puis plus à Serge Garde, je découvre, j'hallucine ; revoir les discours et les écrits de Houillon, revoir l'affaire dite de Zandvoort ou de ce cédérom, des histoires de réseaux aussi, m'intéresser à Yvon Tallec encore, éventuellement retrouver puis relire aussi L'enfant proie, etc... Ce monde est petit, comme je le bloguais bien, en octobre dernier. On sollicite souvent les mêmes individus, matières, ouvrages ou sujets. #courage et #force, « acquittator », c'est juste un mauvais cap à passer. Moi je cherche encore du temps libre, quand j'en aurais plus, je ferais encadrer Technikart de novembre 2011.
En mai 2011, j'avais pu discuter une petite minutes avec Mathieu Aron, suite à une « conférence du barreau » ; « 2. Faut-il faire souffrir les uns, pour faire rire les autres ? » très #LOL ce mois de mai 2012 ; il n'est pas certain que Mathieu Aron se souvienne de moi, même si à l'époque, je l'informais que France Info avait publié un lien vers l'un de mes propres articles, au sujet d'Outreau et d'enfants, précisément... Dupond-Moretti, je l'avais aussi bien écouté, encore à la « conférence » ; « 1. Etre crédible, est-ce dire la vérité ? 2. L'attaque est-elle la meilleure défense ? », encore une soirée très #LOL ; mais j'avais ensuite trop hésité, car à quoi bon discuter avec ces gens, puis je n'avais finalement pas pu parler avec « acquittator ». C'est un arrêt du printemps 2011 que la cour de cassation pourrait sous peu décider de ne jamais examiner, « en raison de la majorité de mon aînée », intervenue en septembre 2011... je crois en avoir déjà suffisamment écrit à ce sujet, mon troisième pourvoi en cassation, ce tout en constatant que pas un chat ne s'y intéresse. Au cours des années passées, j'ai beaucoup et souvent parlé « d'assistance éducative », ça n'a intéressé personne.
Plus j'en lis encore, aujourd'hui, au sujet d'Outreau et de ses victimes, plus je me penche sur les nouveaux débats que cette déjà ancienne affaire suscite, et d'avantage le contenu de blogs ainsi que de Mediapart me paraissent farfelus. Je maintiens en tous cas ce que je déclarais, début mars dernier, au Mémorial de Caen ; de mon point de vue, Magalie Bodon-Bruzel est un vrai charlatan ; où faut-il que je signe pour mieux appuyer ou graver mes déclarations, les mêmes qui semblaient être parfaitement inaudibles pour Yannick Lecuyer ?
J'ai le sentiment que tous ces experts, sachant mieux et autres talentueux n'apprécient pas du tout la critique, les commentateurs et leus railleries... alors, comment ces mêmes spécialistes pourraient-ils accepter les critiques, les mesquineries et petites vacheries d'avocats ou de journalistes ! Ais-je bien lu, Marie-Christine Gryson entendrait-elle elle-même défendre, de façon plus générale, le « travail des experts psychologues » ? En ce cas, je serais susceptible de me faire un petit plaisir à mon tour, en la raillant ou en la ridiculisant, prochainement. Elle s'exposera à mes railleries si elle s'aventurait à défendre Bouffon-Bruzel, Claire Davidson, « psychologue », les « professionnels » de l'OSE France ou les divers magistrats qui ont trempé cul et robe, puis jusqu'au cou, dans mes petites affaires « d'ordre privées ».
Petit lexique pour l'usage du travailleur social,
« Règle 12. Soyez `'psy"... C'est le sommet de leur mise en échec. »
Entre 2004 et 2006, j'avais beaucoup lu et étudié des discours de l'association l'Enfant d'Abord, ainsi que de ses soutiens et de ses contradicteurs ; puis juste avant la parution du « livre noir de la garde alternée », après avoir pu bien étudier et critiquer l'ouvrage qui allait être publié, j'anticipais en publiant moi-même Le code noir, un billet toujours cruellement d'actualité. J'en avais vaguement parlé le mois dernier, à un certain Crapouille, via Twitter, où il avait ensuite rapidement cessé de me troller. Crapouille discutait déjà d'Outreau et de ce livre, « La bête noire », ainsi que de ce qui pourrait encore paraitre à ces sujets, « les victimes » et une relecture d'Outreau, en septembre prochain ; mais j'étais alors moi même déjà très occupé, par l'actualité, affairé, avec et parmi beaucoup d'autres, je trollais les présidentielles...
« Tuer comme jadis », il n'y a que des « psychologues », des sociaux trouvailleurs et quelques blogueurs ou « tueurs » de Mediapart à qui ça pourrait poser problème ; ça ne m'en pose aucun. Jadis déjà, on utilisait la plume pour combattre, je crois que de nombreux littéraires et historiens pourraient un jour confirmer. Et en 2008, pour ma procédure de prise à partie engagée contre le juge pour enfant de Nanterre, je m'étais bien inspiré de la Gazette du palais, des feuilles du 19e siècle, d'ouvrages ou de coutumes, de procédés et procédures plus anciennes encore. Quand à ce que Agathe a du endurer, en décembre dernier, n'en parlons même pas. Je n'ai pas de plume. J'utilise du vitriol, beaucoup de vacheries, occasionnellement un peu de droit, et surtout des tampons taillés dans une patate.
Henry James, cité par Jacques Bouveresse, dans « Satire et prophétie » : « - Vous avez ajouté des choses que je n'ai jamais dites. Il me semble que c'était différent, ajouta la jeune fille. - Tout est différent quand c'est imprimé. A quoi serviraient les journaux, sinon ? »
J'en profite ici pour anticiper une question que pourrait se poser très prochainement Marie-Christine Gryson, « Psychologue Clinicienne », ou des blogueurs de Mediapart, et pour leurs glisser déjà une bonne ébauche de réponse. Je ne crains pas les juges, et encore moins les charlatants. Je pense que l'ENM de Paris ainsi que quelques vrais « psychiatres » pourraient confirmer ; « ça dérange », m'avait lancé la police, début septembre 2010... Quel « psy » - ou pourquoi pas, quel « tueur » publiant chez Mediapart - va se précipiter aujourd'hui, s'avancer pour me recevoir, me « survoller », puis rapporter, ou même, se précipiter pour bien lire, puis répondre un jour à ce billet : Un cas clinique, histoire d'en rire ?
Outreau : Eric Dupond-Moretti tue les Experts comme jadis on tuait les messagers
01 Mai 2012
Par Marie-Christine Gryson, blogs.mediapart.fr, extrait
Trois semaines après la sortie de « La bête noire », j'ai eu l'occasion de feuilleter ce livre d'auto-justification biographique1 et j'ai lu le passage concernant les Experts d'Outreau, j'en suis restée stupéfaite, puis diverses réflexions me sont venues à l'esprit. D'abord me suis-je dit, cet avocat ne doit pas avoir peur du ridicule ni craindre de passer pour une personne ignare ou de très mauvaise foi, pour oser écrire de telles stupidités à propos du travail des experts psychologues afin de détruire leur crédibilité ! Pire, il doit vraiment prendre ses lecteurs pour des déficients intellectuels pour tenter de leur faire croire à de telles énormités. Et que doit -il penser au final, des Magistrats et des officiers de police judiciaire qui nous missionnent régulièrement pour expertiser les plaignants ou les personnes mises en examen ?
Certes EDM craint les psys,- qui se bousculeraient pour l' expertiser s' il advenait que ce fût nécessaire-et cela s' explique, mais je ne ferai pas l' analyse clinique du personnage pour des raisons déontologiques. Je me contenterai de commenter ses déclarations publiques lorsqu'il dit que...