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Pour Breivik, ses victimes étaient des « cibles légitimes »
NDLR : Je ne suis peut-être pas bien différent de Breivik, ça fait 10 ans que j'étudie ce qui rate ou qui a réussi, pour faire progresser mes affaires « d'ordre privé ». Et ça marche. Les humains, leurs sociétés et relations, leurs conflits et leurs moeurs, leurs usages et leurs pratiques, leurs idoles et leurs tabous, le plus abject même, ça s'étudie, et ce produit ou résultat peut être employé. Je pense que Breivik au moins souhaitera confirmer. Mais des gens comme des éducateurs, des juges ou des psys voudront peut-être me contredire, et soutenir qu'eux, ça ne s'étudie pas. Cependant, au cours d'une audience, j'avais choqué un avocat général, en plaidant, j'expliquais que je venais de l'observer, finement. Toutes ces créatures, ça s'étudie. Et puis on peut répliquer. Mais j'admets que traumatiser un juge, c'est déjà plus dur. Je n'en dis pas plus, j'en ai déjà fâché suffisamment
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Pour Breivik, ses victimes étaient des «cibles légitimes»
Mots clés : Norvège, Utoeya, Anders Behring Breivik
Par lefigaro.fr
Mis à jour le 20/04/2012 à 16:05 | publié le 20/04/2012 à 12:23
Breivik s'est préparé en étudiant les attentats perpétrés par al-Qaida
L'extrémiste a raconté qu'il avait notamment étudié l'attentat de 1993 contre le World Trade Center, ainsi que celui d'Oklahoma City en 1995. «J'ai étudié chacune de leurs actions, ce qu'ils ont raté, ce qu'ils ont réussi», a-t-il expliqué au sujet d'al-Qaida. Anders Behring Breivik a affirmé qu'il avait étudié sur Internet les attaques menées par le réseau terroriste et lu plus de 600 guides sur la fabrication d'engins explosifs, avant de perpétrer l'attentat contre le siège du gouvernement à Oslo et la tuerie d'Utoeya.
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Piste, 33 ans après une disparition
NDLR : Un message d'espoir ? Dans 25 ans, nous rechercherons peut-être encore Estelle Mouzin #courage
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Piste, 33 ans après une disparition
AFP Publié le 19/04/2012 à 21:20
La police de New York et le FBI ont entamé des recherches dans une cave du sud de Manhattan, 33 ans après la mystérieuse disparition d'un enfant de 6 ans, Etan Patz, qui avait à l'époque traumatisé la ville. "Nous sommes en train d'abattre une cloison de plâtre, pour examiner le mur original", a précisé sur place, sur Prince Street, le porte-parole de la police Paul Browne à des journalistes.La police va également "casser le béton qui recouvre le sol, et creuser la terre en dessous pour essayer de retrouver des restes humains et des vêtements", a-t-il ajouté.
Etan Patz, 6 ans, avait disparu sans laisser de trace le 25 mai 1979, sur le chemin de l'école. C'était la première fois que ses parents le laissaient aller seul jusqu'à l'arrêt de bus à deux pâtés de maison de son appartement, et sa disparition avait fait grand bruit.
Les recherches avaient impliqué de très nombreux policiers pendant plusieurs semaines, dépassant très largement la ville de New York. Etan avait été le premier enfant disparu dont la photo était apparue sur les briques de lait, pour essayer d'obtenir des renseignements.
Le président Ronald Reagan avait ensuite fait du 25 mai la journée nationale des enfants disparus. Le petit garçon n'a jamais été retrouvé, et il a été déclaré mort en juin 2001 par un tribunal de Manhattan. Un homme, ami de son ancienne baby sitter a été soupçonné de sa disparition, mais Jose Antonio Ramos, actuellement emprisonné pour une autre agression sur un enfant, n'a jamais été condamné au pénal.
Diffamation : le litige Joly-Le Pen déjà examiné par la cour d'appel
NDLR : D'ici quelques temps, tout ce que j'aurais publié ces jours-ci sera prescrit, purgé aussi.
Actualité > Présidentielle 2012 > Les candidats > Eva Joly
Diffamation : le litige Joly-Le Pen examiné par la cour d'appel ce samedi
Le Parisien | Publié le 21.04.2012, 11h59 | Mise à jour : 12h54, extrait
A la veille du premier tour de l'élection présidentielle, la cour d'appel de Paris a examiné en urgence, ce samedi matin, le recours en diffamation déposé par la présidente du FN, Marine Le Pen contre sa rivale écologiste Eva Joly. La cour rendra sa décision «à partir de 17h30», a annoncé la présidente Claudine Forkel à l'issue de l'audience. Un procès audiencé en urgence car il s'agit d'un litige électoral qui doit être purgé avant le premier tour de la présidentielle, ce dimanche.
C'est dans une ambiance empreinte de confidentialité que s'est déroulé ce procès : seuls étaient présents dans la salle d'audience les avocats de Marine Le Pen, Me Wallerand de Saint-Just, et d'Eva Joly, Me William Bourdon. Présente en première instance, Eva Joly ne s'est, cette fois, pas déplacée.
Retour au réel et aux heures les plus noires de l'Histoire
Je n'ai plus que peu de temps à consacrer à ce blog, à ces histoires, à ce qui serait de « l'assistance éducative ». Pour beaucoup, cette affaire de « placement » de ma fille ainée serait bouclée ou bâclée depuis septembre 2011, elle est depuis majeure. Cependant, comme nous l'exposait John Galsworthy, en 1910, « La justice est une machine qui, ayant reçu une poussée de quelqu'un, continue à rouler d'elle-même. » J'avais déclaré un pourvoi contre un arrêt de la cour d'appel de Versailles, rendu en avril 2011. Prochainement, la cour de cassation devra prendre une décision, d'admission ou de rejet. Cette décision devrait tomber en mai, alors que suivra encore une journée internationale des enfants disparus ou plus là. Dans ce contexte, une petite publication, quelques critiques et des railleries de plus sont à mon avis nécessaires.
Dans le cadre ou en marge de cette procédure « d'assistance éducative », j'ai déjà deux arrêts de cassation, motivés, de décembre 2008 et d'octobre 2010 ; les deux arrêts me sont favorables. Jamais deux sans trois, dit-on ; suivra-t-il un arrêt motivé de plus ? Ce n'est pas certain. Avec la majorité de mon aînée, tout pourrait s'être éteint, y compris mon pourvoi ou recours contre cette décision d'avril 2011 de Versailles, un arrêt rendu quelques mois seulement avant la majorité de mon ainée. J'ai déjà amplement démontré qu'écrire ou parler aux petits juges est le plus souvent inutile. J'ai aussi suffisamment montré et démontré que faire appel d'une décision du juge pour enfant, c'est vain. La cassation, rare en matière « d'assistance éducative », c'est tout autant inutile, elle n'intervient que trop tard, ou les petits juges et la cour d'appel tendent à l'ignorer. Quand un juge pour enfant est saisi, il faut juste acquiéscer, plier et se soumettre, renoncer surtout aux voies de recours, des voies illusoires, comme cela avait déjà été assez bien décrit par Jacques Donzelot, en 1977, dans La police des familles. Qui peut faire appel ? « Les spécialistes ! Eux seuls peuvent arguer... » Dans mes affaires, personne hormis moi-même n'a jamais fait appel ni déclaré aucun pourvoi - mais je suis l'imbécile de cette histoire.
Un simple arrêt de rejet pourrait me convenir ; aujourd'hui, cela me suffirait pour compléter mes démonstrations. Mais je préfèrerais tout de même que ce pourvoi, déclaré mi 2011, soit admis, puis un jour jugé ; le pasteur d'Uhrwiller ou le couple clémentz pourrait ensuite, éventuellement, être condamné une seconde fois, et la cour d'appel de Versailles être mouchée ou douchée une n-ième fois ; je suis par ailleurs assez certain que Lise, magistrate que j'ai perçue très procédurière, très liée par le droit, très embarrassée aussi par ce que je lui exposais, apprécierait beaucoup de savoir l'un de ses arrêts cassé... Les juges de la cour de cassation décideront donc maintenant de la suite, en mai prochain ; dans ces histoires, ce sont les juges qui décident ou choisissent le destin, ce que MAM devrait pouvoir confirmer.
Rappelant des textes organiques et le statut de la magistrature, l'arrêt de décembre 2008 remettait les points sur les i de la première présidence ; l'été 2008, à l'issue d'une audience et après avoir été débouté, elle m'avait lancé d'aller me faire « mieux conseiller », je percevais alors une méchante grossièreté... L'arrêt de fin 2010 cassait et annulait ensuite un arrêt de Olivier Echappe, mythographe, spécialiste en droit canon, spécialiste aussi en Constitution de la cinquième et son islamisation. Entre 2010 et 2011, je finissais aussi par infliger un bon blâme à une étude de notaire, après 5 ou 6 ans de procédure. Dans ce prolongement et alors que plus personne n'y voyait plus rien de sérieux à juger ou à rejuger, j'apprécierais beaucoup d'obtenir, un jour, un arrêt qui casserait la décision rendue en avril 2011, par Lise. Je préfèrerais donc qu'en mai prochain, mon pourvoi soit admis et non simplement rejeté, en raison de la majorité de mon ainée.
Est-ce que « faire appel » autant de fois était « excessif » ? C'est possible, car au cours de ces dernières années, la chambre des mineurs ou des créatures inférieures de la cour de confirmation de Versailles m'a systématiquement débouté, comme si j'avais eu tort de protester, de faire appel, elle m'a à chaque fois débouté, comme conformément à des usages d'un autre temps, médiéval peut-être. Versailles m'aura donc même débouté alors que la cour de cassation m'y renvoyait. Je souhaiterai donc vraiment que la cour de cassation statue une fois de plus, pour que je puisse ensuite étudier ce qu'elle aura encore rendu. Lorsque le juge pour enfant est saisi, les contrôles, les voies de recours sont illusoires, inopérants ; il ne manquait plus qu'elles soient également inaccessibles... Mai, c'est bientôt.
A suivre... comme d'habitude, ici, ce sera acerbe après relectures et corrections.