Archives pour: Avril 2012, 01
Bouygues est content, le Canard est content, moi aussi !
Je rédigerais ce billet un peu plus tard. Je ne voudrais pas que son contenu passe pour un gros poisson d'avril. J'ai déjà eu assez de soucis avec un juge d'instruction, pour un billet, puis un commentaire publié le 1er avril 2010.
Je préfère que mes lecteurs et ceux qui découvrent ce blog, son contenu, le prennent parfois très au sérieux, qu'ils le lisent, et surtout qu'ils réfléchissent bien avant de me faire convoquer pour des broutilles, des futilités, des conneries
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Disneyland : la grève ne doit pas se poursuivre dimanche
LE FLASH > Economie
Disneyland : la grève se poursuit
AFP Publié le 31/03/2012 à 13:44, extraits, l'essentiel...
Plusieurs dizaines de salariés de Disneyland Paris étaient en grève samedi pour la deuxième journée consécutive, sans toutefois perturber les activités du parc d'attractions, où sont lancées les célébrations du 20e anniversaire, a-t-on appris de sources concordantes. Il y avait environ 150 grévistes samedi, selon les syndicats. La direction de la société Euro Disney en dénombrait une quarantaine.
[...] La direction explique qu'il y a déjà eu trois plans pour les salaires en 18 mois, et 500 embauches ces deux dernières années. "Nous sommes désolés de ce mouvement qui ne reflète pas l'engagement du reste des salariés pour faire de ce week-end (...) une réussite", a dit la direction à l'AFP, mettant en avant qu'il y avait "au maximum 40 grévistes sur un effectif total de 14.500". La grève ne doit pas se poursuivre dimanche.
La garde à vue des islamistes arrêtés à nouveau prolongée
NDLR : Il y a du progrès, les français ont su anticiper, comme Israël, comme Téhéran, Nanterre ou Guantanamo, ou encore, comme « contre les salles de prières », à Roissy... Comment vont Julien Coupat et ce « groupe de Tarnarc » ? Dans ce climat ou contexte « pas très favorable », comment s'en sort Adlène Hicheur, ce brillant physicien ? Et bien sûr, toutes ces histoires font réagir et rouspéter. Sur Internet, je viens de découvrir un site qui expose un objet terrifiant à construire soi-même ; à qui peut-on le dénoncer ?
ACTUALITÉ > Société
La garde à vue des islamistes arrêtés à nouveau prolongée
Mots clés : Islamisme, Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Toulouse, Mohamed Merah,
Nicolas Sarkozy, Bernard Squarcini, Mohammed Achamlane
Par lefigaro.fr
Mis à jour le 01/04/2012 à 12:33 | publié le 01/04/2012 à 12:10
L'avocat de Mohamed Achmalane est «scandalisé» par les accusations faites à l'encontre de son client et s'indigne que le secret de l'instruction soit «balayé d'un revers de la main».
La garde à vue de 17 personnes interpellées vendredi lors d'un coup de filet dans les milieux islamistes radicaux a été prolongée dimanche. Ces gardes à vue, opérées dans le cadre d'une information judiciaire pour association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme ouverte début mars, peuvent durer quatre jours, soit jusqu'à mardi matin.
Ces arrestations ont été critiquées par une partie de l'opposition comme une «opération électoraliste». Elles ont eu lieu plus d'une semaine après la mort de Mohamed Merah, le «tueur au scooter», mais ne sont «pas liées» à ce dossier même s'il «existe un contexte», a affirmé le président Nicolas Sarkozy. Selon le ministre de l'Intérieur Claude Guéant et Nicolas Sarkozy, ce coup de filet a permis la saisie d'armes, notamment des kalachnikovs. Au moins deux de ces fusils sont démilitarisés, c'est-à-dire inaptes au tir, selon une source proche de l'enquête.
Un chercheur du CNRS condamné pour avoir publié un projet de thèse
NDLR : Oulala, je tremble, je frémis, je transpire comme rarement, je suis terrorisé... voilà que des juges réclameraient plutôt des débats, des ébats sereins, et surtout des plumes moins virulentes, moins acerbes. Je reste donc potentiellement passible de grosses et sauvages sanctions, « un simple avertissement », pour nombre de mes publications récentes et anciennes. Je note que Grichka Bogdanoff est très content ou satisfait, lui aussi. Seuls 62 butineurs avaient échoué sur l'article de ce chercheur du CNRS ? Voir également La République et les blogs : « je t'aime... moi non plus ». Plus de 656 butineurs ont déjà pu lire un court extrait d'une thèse de Richard Josefsberg, Educateurs en internat, Tentative d'élucidation... 564 - et bien plus - ont déjà pu lire Clash, au Mémorial de Caen
Sciences
Un chercheur du CNRS condamné pour avoir publié un projet de thèse de Grichka Bogdanoff
Mis à jour le 20.03.12 à 18h27, 20 Minutes
Un chercheur du CNRS a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à une peine symbolique pour avoir publié sur Internet un projet de thèse de Grichka Bogdanoff.
Le 19 mars 2011, Grégoire Bogdanoff, alias Grichka, portait plainte contre ce chercheur de 38 ans après avoir constaté que la première ébauche de sa thèse, datant de 1992, était diffusée sur Internet. Grichka Bogdanoff, qui avec son frère Igor s'est rendu célèbre par ses émissions de télé sur la science et la science-fiction, estimait que cette diffusion constituait une violation de ses droits d'auteur.
«Il y a lieu de mettre en place un simple avertissement»
Face aux juges, le chercheur avait expliqué avoir voulu enrichir le débat et revendiqué un droit à la critique vis-à-vis des affirmations scientifiques des frères Bogdanoff. Dans son jugement, le tribunal a estimé que la reproduction sur son site de cette thèse, sans l'aval de son auteur, ainsi que les commentaires l'accompagnant, «manifestait davantage une vive animosité, voire le dénigrement, qu'une invitation à un débat serein».
Toutefois, le tribunal ne l'a condamné qu'à une amende de 2.000 euros avec sursis, ainsi qu'à un euro de dommages et intérêts à Grichka Bogdanoff. «Au regard des circonstances des faits et de la personnalité du prévenu, relativisent les magistrats de la 31e chambre, il y a lieu de mettre en place un simple avertissement».
Satisfaction de Grichka Bogdanoff
A ce titre, la condamnation du chercheur ne sera pas inscrite sur le bulletin numéro deux de son casier judiciaire, document qui peut être demandé par certaines autorités administratives. Dans un communiqué, Grichka Bogdanoff se réjouit de cette décision mais dit vouloir «poursuivre l'action en justice afin que toute la lumière soit faite sur le faux rapport du CNRS à l'origine du scandale».