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Dominique Rossi : « Je n'ai rien à me reprocher »
Dominique Rossi : «Je n'ai rien à me reprocher»
lefigaro.fr, le 04/09/2008, extrait
L'ex-M. Sécurité corse se défend après son éviction jugée «normale» par Nicolas Sarkozy. Les nationalistes qui ont occupé la villa de Christian Clavier seront poursuivis.
L'affaire Clavier rebondit avec, pour la première fois, la réaction d'un des acteurs principaux du dossier, Dominique Rossi, coordonnateur des services de sécurité sur l'île en Corse. Dans une interview au journal Le Monde, celui-ci affirme : «J'ai fait mon boulot et je n'ai rien à me reprocher. J'ai eu deux renseignements, dont un provenant de la Direction des renseignements intérieurs à Paris, selon lesquels le rassemblement des nationalistes qui était prévu samedi matin devant la mairie de Porto-Vecchio pourrait se déplacer vers le site de Punta d'Oro et aller chez Christian Clavie», dit-il. «J'ai alerté les gendarmes de Porto-Vecchio et leur ai demandé de prendre des dispositions préventives mais de n'intervenir qu'en cas d'incidents».
Dominique Rossi souligne que si l'intrusion était manifestement illégale, elle s'est déroulée sans destruction ni vandalisme, «ce que confirment les auditions recueillies mardi dans le cadre de l'enquête préliminaire ouverte par le procureur de la République d'Ajaccio», pour violation de domicile, ajoute Le Monde.
Corse : Clavier n'a pas déposé plainte
Source : AFP
04/09/2008 | Mise à jour : 16:18 |
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Le comédien Christian Clavier "n'a pas déposé une plainte, mais se réserve le droit de le faire" après l'intrusion samedi de nationalistes dans le jardin de sa villa à Porto-Vecchio (Corse-du-Sud), a précisé cet après-midi la direction générale de la police nationale (DGPN).
AJACCIO (AFP) - L'ex-patron des forces de sécurité de Corse, Dominique Rossi, muté à la suite de l'occupation du jardin de l'acteur Christian Clavier à Porto-Vecchio par des nationalistes, estime jeudi que le maintien de l'ordre est un "exercice difficile et délicat" dont les résultats "peuvent être appréciés différemment".
"Le maintien de l'ordre est un exercice difficile et délicat qui consiste à intervenir au moment opportun et dont les résultats peuvent être appréciés différemment", a déclaré jeudi à l'AFP M. Rossi, quatre jours après sa mutation-sanction.