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Incertitudes sur le procès Colonna
Incertitudes sur le procès Colonna
LEMONDE.FR | 23.02.09 | 18h21 • Mis à jour le 23.02.09 | 18h36, extrait
Que peut-on attendre de la suite des débats ? Dans ce procès, on va de rebondissements en rebondissements. On ne sait désormais pas ce que la suite peut réserver : les avocats de la défense comme des parties civiles ont maintenant jusqu'à mardi après-midi pour consulter ces procès verbaux et décider de la stratégie à suivre. Côté défense, ils ne savaient pas encore s'ils allaient demander à ce que les deux personnes citées par M. Vinolas soient entendues. Il semble difficile qu'elles ne le soient pas puisque ce sont des éléments nouveaux dans la procédure. Les débats qui doivent reprennent mardi à 13 heures sont donc plongés dans une incertitude la plus totale quant à leurs issues et à la poursuite du procès.
Le procès Colonna encore suspendu
AP, 23/02/2009 | Mise à jour : 13:37
La cour d'assises d'appel de Paris a suspendu aujourd'hui l'audience du procès d'Yvan Colonna jusqu'à demain 13 heures afin que les différentes parties au procès, défense et partie civile, puissent prendre connaissance du supplément d'information ordonné jeudi dernier afin de vérifier les affirmations d'un ancien collaborateur de Claude Erignac sur l'existence de deux suspects liés à l'assassinat du préfet qui seraient "peut-être" encore en liberté.
Le ministre de la justice espagnol démissionne
LEMONDE.FR avec AFP | 23.02.09 | 13h49 • Mis à jour le 23.02.09 | 13h55
Le ministre de la justice espagnol , Mariano Fernandez Bermejo, a annoncé lundi 23 février sa démission après qu'il a été critiqué pour sa gestion d'un scandale de corruption et pour la récente grève des juges en Espagne.
Le ministre a été l'objet de vives critiques de la part de l'opposition pour avoir rencontré le juge Baltasar Garzon lors d'une partie de chasse, peu après le déclenchement par ce magistrat d'une opération anticorruption impliquant des élus du principal parti d'opposition, le Parti populaire (PP, droite). Le ministre avait également été attaqué pour ses maladresses dans la gestion du malaise des juges qui a débouché la semaine passée sur une grève inédite en Espagne, très largement suivie.
Le ministre socialiste a annoncé cette démission lors d'une conférence de presse, à une semaine de deux scrutins régionaux en Espagne, en Galice et au Pays basque.