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Martine Aubry : « olala, la pauv' fille »
NDLR : Tandis que certaines envisagent de porter plainte contre le chef du gouvernement Silvio Berlusconi qu'elles accusent d'avoir tenu des propos sexistes, Martine Aubry nous explique que « Benoît Hamon n'a pas besoin d'être numéro un, c'est l'idole, maintenant, de toutes les femmes françaises ».
Aubry «heureuse de voir les socialistes rassemblés»
C.M. (lefigaro.fr) avec AFP et AP, 28/02/2009 | Mise à jour : 15:54, extrait
Le conseil national du PS a approuvé les listes de candidats aux européennes à une très large majorité.
Après un Bureau national qui s'est prolongé tard dans la nuit, et un Conseil national samedi matin, le Parti socialiste tient enfin ses têtes de liste pour les élections européennes de juin prochain. «Je suis heureuse aujourd'hui que les socialistes soient rassemblés face aux Français pour les défendre face à cette crise dans laquelle notre pays s'enfonce, et dans laquelle le président de la République ne veut pas prendre les bonnes mesures», a lancé Martine Aubry à la presse à l'issue du Conseil national du parti, qui s'est tenu à la Mutualité, à Paris. L'union permettra aussi de «proposer aux Français un projet plus juste pour la France et pour l'Europe», a-t-elle ajouté.
Vu sur lemonde.fr, dans la nuit du 28 février au 1er mars 2009
Sciences, 17/02/2009 à 06h51, Libé, extraits
«Les rouages sexistes du langage politique en France»
Recueilli par OLIVIER RESCANIÈRE
«Je travaille sur la violence verbale faite aux femmes dans le domaine de la politique. Au départ, je m’intéresse à l’éthique dans la communication entre les êtres. En menant une étude comparée sur diverses représentations de l’autre dans le discours des Verts en France et en Italie, je me suis penchée sur la question du rapport entre les genres. Bien que les partis écologistes s’en défendent, les représentations sont toujours sexuées, surtout s’il y a des enjeux de pouvoir. Je me suis ensuite intéressée au débat télévisé, unique dans notre histoire politique, entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal. En utilisant des logiciels statistiques, on peut analyser comment les deux candidats s’adressent l’un à l’autre, le choix des mots ou des tournures. Alors que Nicolas Sarkozy parle directement à son opposante, Ségolène Royal tente d’établir un lien avec les citoyens.
Mais ce qui est le plus frappant dans cet échange, c’est la façon dont Nicolas Sarkozy utilise de manière détournée la politesse pour renvoyer en permanence au fait que son adversaire est une femme. Ce que j’ai nommé "l’attaque courtoise". Cela se traduit dans le langage par une abondance de "Madame" mais aussi, de manière plus insidieuse, par des messages sexistes indirects.»
[...] Béatrice Fracchiolla participe à un groupe de recherche sur la violence verbale, à la Maison des sciences de l’homme-Paris Nord, dans le cadre du thème «anthropologie de la communication».
Lu chez Aliochat... un extrait, du 12 février
Ah qu’il est beau M’sieur Hamon !
Classé dans : Brèves — laplumedaliocha @ 14:38
Hein, franchement ? On en oublirait presque la crise dites-moi !
Jusqu’à présent, ce genre de cucuterie était cantonné à une petite partie de la sphère politique féminine et c’était déjà beaucoup. Si les hommes s’y mettent au nom de l’égalité des sexes, on est foutu. Imaginez demain Borloo et Woerth confiant aux journalistes qu’ils font des virées chez Lanvin et Armani quand ils ont un coup de blues !