« Son employeur l'ignorait : il conduisait un bus... sans permis | Un escroc enlevé par ses victimes » |
Scandale policier en vidéo aux USA
NDLR : /kopimi... 057. At a trial, deny everything.
Scandale policier en vidéo aux USA
AP, 01/03/2009 | Mise à jour : 08:12, extraits
Un shérif adjoint qui frappe une adolescente de 15 ans, la cogne contre le sol de sa cellule, la tire par les cheveux, c'est ce que montre une vidéo prise par une caméra de contrôle en prison, à Seattle. L'accusation a rendu la vidéo publique vendredi alors qu'elle avait à juger le shérif adjoint Paul Schene, poursuivi pour emploi de violence abusive envers la jeune fille. Schene, âgé de 31 ans, a nié les accusations dont témoigne le film.
[...] L'avocat de l'accusé, Anne Bremner, considère que la publication de la vidéo va à l'encontre des droits de son client à un procès équitable, puisqu'elle risque d'enflammer l'opinion.
Faits divers
A 5 ans , il poignarde sa soeur pour une console de jeux
Le Parisien avec AFP | 01.03.2009, 08h33
Un garçon de cinq ans a poignardé sa soeur de 10 ans, la blessant gravement au thorax, samedi à Uckange (Moselle). Selon le quotidien régional Le Républicain Lorrain, qui rapporte l'affaire dans son édition de dimanche, la fillette aurait refusé de prêter sa console à son petit frère, qui s'est alors muni d'un couteau de cuisine pour la poignarder en pleine poitrine.
Saignant abondamment, la victime a été héliportée à l'hôpital pour enfants de Nancy-Brabois, mais ses jours ne sont pas en danger.
Le drame s'est déroulé dans une famille monoparentale de cette cité ouvrière du bassin sidérurgique lorrain, alors que la mère, qui avait travaillé toute la nuit, dormait dans sa chambre. «Il est vrai qu'on voit des enfants de plus en plus jeunes commettre des actes de grande violence», souligne une psychologue et psychanalyste nancéienne citée par le Républicain Lorrain, Marie-France Alnot, qui attribue cette tendance à la multiplication des images violentes sur les écrans qui entourent les enfants. Ceux-ci «n'évaluent pas la réalité des choses». Le drame d'Uckange pourrait s'expliquer par «une intolérance à la frustration», avance encore Marie-France Alnot.
Durant l'intervention des secours, le frère a été confié à des parents proches pour être mis à l'écart. La gendarmerie d'Uckange, en charge de l'enquête, devrait entendre le garçonnet, puis sa soeur, dans les jours prochains pour tenter de reconstituer les circonstances exactes du drame. Le Parquet de Thionville, pour sa part, a indiqué attendre les premiers éléments de l'enquête avant de se prononcer.
FAITS DIVERS uckange
Poignardée par son petit frère pour une console de jeux
Un garçon de cinq ans a poignardé sa sœur qui refusait de lui prêter sa console de jeux. Le drame s’est déroulé, hier, en fin de matinée, à Uckange. La fillette, blessée au thorax, a été héliportée à Nancy. Ses jours ne seraient pas en danger.
Incompréhension et stupeur régnaient, hier, à Uckange. Le drame s’est déroulé en fin de matinée, dans un appartement situé route de Thionville. Un garçon, âgé de cinq ans, a poignardé sa sœur aînée âgée de 10 ans. La raison de ce geste fou ? Une dispute pour un jeu. La fillette aurait refusé de prêter sa console à son petit frère. Frustré, le gamin s’est saisi d’un couteau de cuisine et a poignardé la fillette au niveau de la poitrine. Saignant abondamment, la victime a été rapidement secourue par les sapeurs-pompiers locaux avant d’être héliportée, à midi, vers l’hôpital pour enfants de Nancy-Brabois. Le pronostic vital ne serait pas engagé. Au moment des faits, la mère dormait dans sa chambre après avoir travaillé toute la nuit. Durant l’intervention des secours, son fils a été confié à des parents proches pour le mettre à l’écart, et limiter le traumatisme. Tandis que la maman rejoignait sa fille à l’hôpital nancéien. « Comment un enfant de cet âge peut-il poignarder sa sœur pour une console de jeu ! C’est incompréhensible ! », s'exclame Gérard Leonardi, le maire de la commune. C'est aux gendarmes d’Uckange, en charge de l’enquête, de déterminer les causes exactes de cet acte. L’enfant avait-il conscience de son geste ? A-t-il été influencé par des jeux dans lesquels les personnages ont plusieurs vies ? Les auditions du petit garçon, dans quelques jours, puis de sa sœur, permettront de reconstituer les circonstances du drame qui s’est déroulé hier. Du côté du parquet de Thionville, Catherine Gallen, substitut du procureur, attend les premiers éléments de l’enquête avant de se prononcer.
V. Pe.
Publié le 01/03/2009, Républicain Lorrain