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Quatre ans d’inéligibilité pour Aeschlimann
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Rachida Dati superstar au Val-Fourré
Le Parisien | 14.03.2009, 15h58 | Mise à jour : 16h06, extrait
INFO LE PARISIEN.FR / AUJOURD'HUI.FR. Rachida Dati a fait un carton, ce matin, dans la cité du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie (Yvelines). Elle participait à un débat avec les habitants du quartier, en tant que candidate UMP aux élections européennes, avec à ses côtés Pierre Bédier, président du conseil général des Yvelines.
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Hauts-de-Seine (92)
Quatre ans d’inéligibilité pour Aeschlimann
Le Parisien | 14.03.2009, 07h00, extraits
Poursuivi dans une affaire de marché public, le député UMP d’Asnières, Manuel Aeschlimann, a été condamné hier à quatre ans d’inéligibilité. Il fait appel.
Cela ressemble à une descente aux enfers. Après avoir perdu l’élection municipale, l’an dernier, l’ex-maire UMP d’Asnières, Manuel Aeschlimann, voit maintenant vaciller son siège de député. Hier, la 15e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre l’a condamné à dix-huit mois de prison avec sursis, 20 000 € d’amende et, peine complémentaire mais lourde de conséquences pour cet homme politique de 44 ans, il a prononcé à son encontre une peine d’inéligibilité de quatre ans.
[...] Manuel Aeschlimann estime, lui, que le jugement, « profondément injuste », est « complètement disproportionné. Il n’y a pas eu de détournement de fonds ni d’enrichissement personnel », appuie le député, qui espère que la cour d’appel de Versailles « reverra la copie ». L’appel étant suspensif, Manuel Aeschlimann gardera son siège tant que la condamnation ne sera pas définitive. En cas de confirmation de la peine d’inéligibilité, des élections partielles devraient être organisées. Mais Manuel Aeschlimann a prévenu qu’il « se battra jusqu’au bout ».
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Val-de-Marne (94)
Elle invente une agression pour faire l'école buissonière
Le Parisien | 14.03.2009, 18h47 | Mise à jour : 18h57, extrait
Elle avait déclaré aux policiers qu'elle avait été enfermée pendant plusieurs heures par des jeunes filles inconnues. Une collégienne de 13 ans originaire de L'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne) a finalement avoué ce samedi qu'elle avait tout inventé car elle ne souhaitait pas se rendre à l'école.
Dans ses premières déclarations de vendredi, elle avait affirmé avoir été bousculée vendredi vers 8 heures en arrivant au collège Chevreul par cinq jeunes filles qui l'avaient, disait-elle, conduite jusqu'à un local à poubelles proche et molestée.
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