Iran : arrestation d'une tueuse en série

"L'insécurité recule" (Bertrand)
AFP, 18/05/2009 | Mise à jour : 12:25, extrait

"L'insécurité recule" mais il faut "prendre en compte les nouveaux phénomènes" de délinquance comme l'attaque spectaculaire d'un fourgon de police à l'arme de guerre à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), a jugé ce lundi le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand.

Égypte: 24 personnes condamnées à mort
AFP, 18/05/2009 | Mise à jour : 13:04, extrait

Vingt-quatre Egyptiens ont été condamnés à mort aujourd'hui pour avoir tué 11 personnes l'an dernier, lors d'une bataille à l'arme automatique entre deux clans qui se disputaient un terrain, a indiqué à l'AFP une source judiciaire.

"Un tribunal de Damanhour (dans le delta du Nil) a décidé d'envoyer les documents des 24 accusés au mufti pour qu'il signe l'ordre de leur exécution", a affirmé cette source.

Iran : Quatre prisonniers pendus, dont une femme
Sur www.ncr-iran.org, samedi, 16 mai 2009

CNRI - Une femme de 30 ans et un homme ont été pendus à la prison de Qazvine, a rapporté le quotidien officiel « Iran » le 13 mai. Ils ont été identifiés par leurs prénoms d’Azita et Mohammad. Le même jour un autre journal gouvernemental, Etemad, rapportait la pendaison d’un homme de 38 ans, nommé Abbas B. dans la prison Choubindar de Qazvine.

Le 11 mai, l’agence de presse officielle Fars a rapporté la pendaison d’un homme de 26 ans à la prison centrale d’Ispahan. Il s’agissait de Mostafa, originaire de Chahine-Chahr, dans le centre de l’Iran.

Le nombre d’exécutions depuis le début de 2009 se monte à 185.

La Résistance iranienne appelle l’ensemble des organisations des droits de l’homme, en particulier le haut commissaire des droits de l’homme de l’ONU, à condamner la dégradation de la situation en Iran et à adopter des mesures urgentes pour stopper les exécutions et la répression en Iran.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 15 mai 2009

Qui somme nous
vendredi, 20 août 2004

Le Conseil national de la Résistance iranienne est le parlement en exil de la Résistance iranienne. Le CNRI est une vaste coalition politique composée de cinq organisations politiques et partis et plus de 540 personnalités politiques, culturelles et sociales, des spécialistes, des artistes, des intellectuels, des champions de sports, des scientifiques, des officiers de l'armée et des commandants de l'Armée de libération nationale iranienne.

L'inquiétante apparition des armes en milieu scolaire
Le Figaro, 18/05/2009 | Mise à jour : 07:05, extrait

Le ministère recense chaque mois une vingtaine de «faits graves» commis à l'aide de couteaux et autres bâtons dans les collèges et lycées.

La circulation des armes au sein des établissements scolaires se serait-elle banalisée en France ? Depuis le début de l'année, plusieurs cas ont défrayé la chronique. Début janvier, un professeur d'un lycée professionnel de Mayenne a été blessé à coups de couteau par un élève de 18 ans. Dix jours plus tard, dans un collège privé mosellan, un élève de 12 ans a entaillé la joue de son enseignant d'un coup de ciseaux. En mars, le directeur d'un lycée privé du Bas-Rhin est agressé au canif. Et, vendredi dernier, c'est un collégien de 13 ans qui a blessé son enseignante à l'aide d'un couteau de cuisine dans les environs de Toulouse.

Xavier Darcos envisage l'installation de portiques de détection de métaux devant certains établissements pour endiguer le phénomène. Le cabinet du ministre compte «une vingtaine d'introductions d'armes dans les établissements scolaires chaque mois». Une estimation fondée sur les remontées quotidiennes d'information des «faits les plus graves». Ces introductions d'armes s'accompagnent d'agressions, «rares» selon le ministère ou de tentatives d'agressions. Nombre de ces armes sont aussi emmenées au sein des établissements scolaires sans qu'elles y soient utilisées. Il peut s'agir de couteaux, mais aussi de bâtons ou d'extincteurs.

[...] L'emploi d'armes par destination - battes de base-ball, chiens d'attaque, chaînes de vélos… - tendait, selon eux [NDLR: les RG], à se banaliser, tandis que l'augmentation de la présence et de l'usage d'armes à feu à proximité et à l'intérieur des établissements révélait une porosité avec la rue.

C'est d'ailleurs dans le cadre d'une bagarre à l'extérieur d'un établissement scolaire qu'est mort un garçon de 16 ans mercredi dernier, après avoir été poignardé à Trappes (Yvelines). Si la digue de protection de l'école s'est fissurée au fil des ans, c'est toujours dans la rue, loin des adultes, que les jeunes courent le plus de risques.