« The New York Times : « a good-news photo » | Vidéosurveillance : le rapport qui prouve son efficacité » |
Janvier 2008 : le président de « Stop à l'oubli » devant les juges
Justice
Quatre non-lieux pour Patrice Alègre
Par LEXPRESS.fr, publié le 28/07/2008 - mis à jour le 28/07/2008 à 10:43, extrait
Le tueur en série Patrice Alègre vient de bénéficier d'une ordonnance de non-lieu dans quatre dossiers pour lesquels il avait été mis en examen. Les juges d'instruction de Toulouse estiment que les charges retenues contre l'accusé ne sont pas suffisantes.
Accueil » Grand Sud » Lot
Publié le 24/01/2008 09:59 | La Dépêche, extrait
Cahors. Le président de "Stop à l'oubli" devant les juges
Gabriel Loubradou ne renonce pas malgré le procès qui lui est fait, aujourd'hui, pour diffamation. Il annonce : « Moi j'ai perdu ma fille, alors j'irai jusqu'au bout ». Rien ne pourra faire fléchir sa détermination. Gabriel Loubradou, le président cadurcien de « Stop à l'oubli », l'association toulousaine des familles des victimes dans l'affaire Alègre, n'a pas l'intention de renoncer à ce qui, aujourd'hui, motive toute sa vie. « Son double combat » comme il dit lui-même : « En tant que parent de victime, moi j'ai perdu ma fille Hélène, j'irai jusqu'au bout ; et comme citoyen aussi ». Cet après-midi, devant le tribunal correctionnel, Gabriel Loubradou ne sera pas victime mais prévenu poursuivi pour diffamation envers deux gendarmes (voir l'encadré). Dans son cartable, rempli de dossiers le président de l'association porte les attentes de 25 familles : « Chacune a perdu un garçon une fille, une femme plus âgée, tous assassinés, disparus ou victimes d'un étrange suicide dans les années 1980-1990 ». Noms, dates, lieux, circonstances, Gabriel Loubradou a tout méticuleusement répertorié dans son classeur où figurent, également, les photos d'une luxueuse demeure dans la banlieue toulousaine. « Ce qui s'est passé là-bas reste mystérieux », affirme-t-il. Réseau, système mafieux, drogue, cocaïne, prostitution, « tout se mêlait » dit-il.
Accueil » Grand Sud » Toulouse
Publié le 26/04/2009 08:58 - Modifié le 26/04/2009 à 09:47 | La Dépêche, extrait
Meurtres non élucidés : « Stop à l'oubli » demande des comptes
Valérie Réorda, Suzanne Mortessagne, Josette Legoy, Josette Poiroux…, des portraits affichés pour que les Toulousains n'oublient pas. Tous ces visages tristement célèbres sont portés à bout de bras par les membres de l'association « Stop à l'oubli » rassemblés hier après-midi, place du Capitole. Des familles de victimes qui demandent la réouverture de ces dossiers : des crimes commis à Toulouse entre 1987 et 1992 et dont l'ombre du tueur en série Patrice Alègre pèse encore pour certaines de ces familles.