« La directrice se jette par une fenêtre : vive émotion à la PJJ | En pleine réunion, la directrice de la PJJ se jette du 3ème étage » |
La Scientologie veut débattre
NDLR : Aurions-nous encore une fois touché quelque chose au fond ? Ca peut affoler.
Nouvelle lettre de menaces pour Sarkozy
AP et AFP, 18/09/2009 | Mise à jour : 12:27
Mont Sainte-Odile: les proches déboutés
AFP, 18/09/2009 | Mise à jour : 14:00
Les rescapés et proches des victimes du crash du Mont Sainte-Odile (87 morts et 9 survivants en 1992), qui réclamaient la condamnation de l'Etat pour durée excessive de l'instruction, ont été déboutés vendredi par la Cour d'appel de Colmar, a-t-on appris auprès du greffe. Dans son arrêt, qui n'était pas immédiatement disponible, la Cour a confirmé le jugement rendu en octobre 2006 par le tribunal de grande instance de Strasbourg qui avait rejeté la demande de l'association de rescapés et familles des victimes Echo. Lors de l'audience qui s'était tenue le 19 juin dernier devant la 2e chambre civile de la Cour d'appel de Colmar, l'avocat de l'association Me Olivier Charles avait réclamé 1,5 millions d'euros au titre du dommage moral, jugeant que l'instruction de la procédure pénale à l'encontre des six prévenus soupçonnés de responsabilité dans la catastrophe, longue de 14 ans, aurait pu être close dès 1997. Pour le ministère public au contraire, "c'est une somme d'intérêts contradictoires qui a contribué inévitablement à un allongement considérable de la procédure", avec la multiplication d'expertises et de contre-expertises dans le souci de la manifestation de la vérité.
La Scientologie veut débattre
AFP, 18/09/2009 | Mise à jour : 16:07
Trois mois après la fin de son procès pour escroquerie en bande organisée, l'Eglise de Scientologie a demandé au tribunal correctionnel de Paris de rouvrir les débats afin de pouvoir démentir "l'infiltration" dont elle est accusée après la modification d'une loi empêchant son éventuelle dissolution, selon des sources proches du dossier. Le tribunal doit rendre son jugement le 27 octobre. Le parquet avait requis la dissolution des deux principales structures françaises de la Scientologie. Mais cette possibilité a été rendue inapplicable en raison d'un texte de loi récemment modifié qui exclut désormais une telle peine, déclenchant un tollé et des interrogations sur une éventuelle infiltration de l'Assemblée nationale par l'organisation. Entendant laver les soupçons pesant sur son client, Me Patrick Maisonneuve a écrit au tribunal afin de demander la réouverture des débats, selon ces sources. "Compte tenu de la mise en cause de l'Eglise de scientologie quant à une infiltration de l'appareil d'Etat et/ou une influence exercée auprès de parlementaires", Me Maisonneuve a dit à l'AFP "demander la réouverture des débats afin que le représentant de l'Eglise de Scientologie puisse s'expliquer sur ces insinuations".