« Des marionnettes géantes pour fêter la réunification de l'Allemagne | Lefebvre répond aux critiques de Fabius » |
Carla Bruni-Sarkozy ouvre un site Internet
NDLR : Pourquoi devrais-je « supprimer » mon blog alors que d'autres finissent tous par arriver sur Internet ? Pour faire plaisir au pasteur d'Uhrwiller ou même à ma fille aînée ? J'en doute très fort.
Carla Bruni-Sarkozy ouvre un site Internet
Sur l'Express, publié le 03/10/2009 14:41 - mis à jour le 03/10/2009 14:46, extrait
Le site officiel de Carla Bruni-Sarkozy sera lancé lundi prochain.
Manifestation monstre à Rome contre l’emprise de Berlusconi sur les médias
France Info - 20:12, extrait
100.000 personnes selon la préfecture, 300.000 selon les organisateurs, ont défilé cet après-midi dans les rues de la capitale italienne pour défendre la liberté de la presse - et fustiger la mainmise de Berlusconi sur les médias... La goutte d’eau, ça a été les poursuites intentées par Berlusconi contre deux journaux de gauche, La Repubblica et L’Unita. Deux journaux à qui le Premier ministre italien réclame trois millions d’euros, pour avoir publié des reportages sur ses frasques sexuelles.
ASSOCIATION
Polanski : lettre ouverte à Kouchner et Mitterrand
NOUVELOBS.COM | 03.10.2009 | 16:28, extrait
L'association Innocence en danger somme les ministres de s'expliquer sur leurs propos en faveur du cinéaste arrêté en Suisse sur mandat américain pour une affaire de mœurs. [...] Tout en ne se disant pas "dupe ni des conditions choquantes de l'interpellation de Monsieur Polanski en Suisse, ni des raisons pour le moins obscures qui ont conduit les autorités helvétiques à attendre septembre 2009 pour procéder à cette arrestation", l'association demande aux ministres "de lever les ambiguïtés que révèlent (leurs) propos". De nombreuses associations de défense des femmes et des enfants maltraités avaient déjà dénoncé la "complaisance" manifestée à l'égard du cinéaste.
Polanski : Mitterrand justifie son soutien
AFP, 01/10/2009 | Mise à jour : 13:12
Frédéric Mitterrand a déclaré aujourd'hui que c'était "la place d'un ministre de la Culture de défendre les artistes en France", en réponse à une question sur sa réaction dimanche à l'arrestation du cinéaste franco-polonais Roman Polanski en Suisse pour une affaire de moeurs ancienne. Interrogé à propos de certaines critiques se demandant si le soutien appuyé du ministre au cinéaste n'était pas déplacé, Frédéric Mitterrand a répliqué avec vigueur: "c'est la place d'un ministre de la Culture de défendre les artistes en France. Un point, c'est tout".
Polanski Une association de défense des enfants interpelle Kouchner et Mitterrand
L'Alsace, le 03/10/2009 à 06h00, extrait
L´association Innocence en danger a demandé aux ministres de la Culture et des Affaires étrangères de s´expliquer sur leurs déclarations en faveur de Roman Polanski, arrêté en Suisse samedi dernier sur mandat de la justice américaine pour une affaire de mœurs remontant à 1973. Tout en admettant « les conditions choquantes » de cette arrestation, l’association s’interroge si les déclarations des deux ministres signifient « qu´une relation sexuelle entre un adulte et un (e) mineur (e) de moins de 15 ans, qualifiée de crime en France comme aux États-Unis, doit être dépénalisée ? » Par ailleurs, le réalisateur français Jan Kounen a demandé le retrait de son film Coco Chanel et Igor Stravinsky du programme du Festival du film de Zurich pour protester contre l’arrestation de Polanski, tandis que l’épouse de ce dernier, la comédienne Mathilde Seigner, a repoussé la sortie de son nouvel album du 2 novembre prochain au 25 janvier 2010.
1 commentaire
LeMonde.fr avec AFP | 24.10.09 | 17h03 • Mis à jour le 24.10.09 | 17h04, extrait
Novice en politique après une carrière de journaliste et de réalisateur, Frédéric Mitterrand a estimé que l'affaire lui permettrait de "trouver l'équilibre entre citoyen et ministre". "Je vais être un peu plus prudent", a-t-il expliqué tout en revendiquant sa "part d'émotion". "Je ne veux pas devenir un monstre administratif ou qui fait carrière politique".
Il n'a pas confirmé le dépôt d'une plainte en diffamation contre Marine Le Pen, vice-présidente du Front national, qui a lancé la polémique en lisant des extraits de son livre à la télévision avant de réclamer sa démission.