« La methode Besson, laisser les victimes « se faire » taper dessus ? | Des marionnettes géantes pour fêter la réunification de l'Allemagne » |
Suicides à France Telecom : les psychiatres divisés
NDLR : Chez Dior, des robes tournent, c'est parfait. Que penseraient ces mêmes « psychiatres » de pressions parfois très fortes, réitérées, assez régulièrement, sur plusieurs années, « dans l'intérêt de l'enfant » ? Est-ce si grave si j'ai très ponctuellement sévèrement déprimé, en octobre 2003, après 11 mois de pressions des plus diverses, surtout des pressions régulièrement exercées par la Dass, sur moi et ma famille, sur mes enfants et ma compagne ? Serais-je depuis comme « cassé », inapte ? Ce n'est pas du tout sûr, la petite est à la maison, depuis toujours, les tatas voulaient juste « sauver » mon aînée. Que doit-on penser des travaux de Boris Cyrulnik, il a inventé le concept de résilience ? Est-ce si terrible ou effrayant lorsqu'un sujet peut se rétablir et ensuite même résister ? Est-ce si grave de mettre a l'épreuve des juges et d'oser aussi interpeller et même défier « le pouvoir » ? Je crois que ma mère serait encore une fois parmi les premiers scandalisés...
En une du Figaro du week-end, « des robes qui tournent, des cervelles qui sautent »
Alfred Jarry
La Chanson du décervelage, le refrain et les choeurs
Voyez, voyez la machin’ tourner,
Voyez, voyez la cervell’ sauter,
Voyez, voyez les Rentiers trembler ;
(Chœurs) : Hourra, cornes-au-cul, vive le Père Ubu !