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Le meurtrier de Rivesaltes « en voulait à la terre entière »
NDLR : Rassurez vous, les provinciaux ! Après les cités, les prétoires et les caves ou cages d'escalier de banlieues, Guéant et Sarkozy (la France en redemande !) vont également sécuriser vos campagnes et chaumières ! Hep, Fillon, je pense qu'il y aurait toujours un vrai travail de fond à accomplir dans les prétoires de mon secteur, le 9-2, voire même dans le grand 7-5. :-)
Société
Le meurtrier de Rivesaltes «en voulait à la terre entière»
Créé le 04.03.11 à 14h46 - Mis à jour le 04.03.11 à 17h03 - 20 minutes, extrait
De fait, ce serait à cause d’une de ses conquêtes que l’homme a «pété les plombs». Il avait noué une relation avec une jeune femme de 30 ans, «qui monnayait un peu ses charmes» selon le procureur de Perpignan, Jean-Pierre Dreno. Mais d’après le magistrat, cette dernière se plaignait d’être harcelée au téléphone par le septuagénaire. C’est pourquoi elle s‘est rendue au domicile de son ex-amant jeudi, pour lui annoncer la rupture, accompagnée d’une amie - par peur de la réaction de l’homme.
Joachim T. s'est alors saisi de son fusil et a tiré en direction des deux femmes qui s'enfuyaient en voiture, avant d’abattre trois hommes, au hasard. Le septuagénaire a fini par retourner l'arme contre lui pour tenter de se suicider. Quand les gendarmes sont intervenus, il avait «le visage en partie arraché», selon le procureur. Opéré jeudi soir, il se trouvait vendredi matin en réanimation à l'hôpital de Perpignan, toujours dans un état critique.
Fillon : «Sarkozy seul et meilleur candidat pour 2012»
Mots clés : François Fillon, Nicolas Sarkozy, Matignon
Par Etienne Mougeotte, Gaëtan De Capèle, Solenn de Royer, Paul-Henri Du Limbert,
Philippe Goulliaud, Béatrice Houchard
04/03/2011 | Mise à jour : 20:01, le Figaro, extrait
INTERVIEW - Le chef du gouvernement relativise les mauvais sondages, à 14 mois de la présidentielle, et plaide pour un candidat unique de la droite et du centre en 2012.
LE FIGARO. - Les mauvais sondages se multiplient. La cote du président est au plus bas. La droite peut-elle encore gagner en 2012?
François FILLON. - Primo, si loin de l'élection, les sondages se sont toujours trompés. Deuxièmement, nous venons d'affronter une crise économique et financière mondiale, une crise monétaire qui a failli mettre l'euro par terre. Les révolutions qui se déroulent sur la rive sud de la Méditerranée sont porteuses de grands espoirs, tout en comportant des risques pour la croissance et la prospérité de nos pays. Il n'y a rien d'anormal à ce que le gouvernement soit dans une situation difficile. La gauche veut nous attirer vers le débat électoral de 2012, alors que les Français attendent que nous continuions à gouverner sérieusement et le plus longtemps possible. Fiscalité, justice, dépendance, nous poursuivons les réformes. Nous n'aurons pas à rougir de notre bilan. Et, à l'automne 2011, quand nous entrerons dans le débat de la présidentielle, la confrontation des projets nous sera favorable.