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Un père soupçonné d'avoir tué sa fille
Liliane Bettencourt reste sous tutelle
AFP Mis à jour le 18/11/2011 à 10:30 | publié le 18/11/2011 à 10:05
La cour d'appel de Versailles a décidé vendredi de ne pas suspendre l'application du placement sous tutelle de Liliane Bettencourt, qui reste ainsi sous la protection judiciaire de sa fille Françoise et de ses deux petits-fils, ont affirmé les avocats des deux parties.
La cour d'appel a fixé au 14 décembre l'examen au fond de l'appel formé par la milliardaire Liliane Bettencourt de son placement sous tutelle, prononcé mi-octobre par la juge des tutelles de Courbevoie (Hauts-de-Seine), a appris l'AFP de sources concordantes.
Les avocats de la femme la plus riche de France ont donc été déboutés de leur demande de suspension de l'application provisoire de ce jugement qui confiait la tutelle sur son patrimoine à sa fille Françoise Bettencourt-Meyers et à ses deux petits-fils, et la tutelle sur sa personne à son seul petit-fils aîné, Jean-Victor Meyers, 25 ans.
Début novembre, Liliane Bettencourt, qui avait pourtant repoussé de toutes ses forces son placement sous tutelle, s'était même déclarée prête à se plier provisoirement à cette décision, à condition que Françoise et son fils Nicolas soient écartés et que sa protection soit assurée exclusivement par l'autre petit-fils, Jean-Victor.
Informé de cette éventuelle concession, la chambre du conseil de la cour d'appel de Versailles avait alors appelé les deux parties à la conciliation. Peine perdue: jeudi dernier, les avocats de Liliane Bettencourt avaient adressé un courrier à la cour pour l'informer qu'"aucun accord n'(était) intervenu", tout en s'en remettant à la décision de la justice.
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L'adolescent, qui présente des "traces physiques au visage" est en garde à vue "parce que son audition mérite plus de temps", a précisé le Procureur Puy-en-Velay.
"On essaye de lui faire préciser le plus possible où il était, ce qu'il a vu", a déclaré René Pagis, évoquant le fait que ce témoignage comme ceux d'autres jeunes "étaient assez contradictoires".
Des vérifications sont en cours vendredi soir, notamment dans les bois qui bordent le collège. Si l'adolescent qui fait désormais figure de principal suspect n'est pas passé aux aveux, de nombreuses rumeurs circulent parmi les élèves de l'établissement. L'une d'elles évoque une sortie avec Agnès pour cueillir des champignons hallucinogènes.
Évaporée après le quartier libre
L’alerte a été donnée mercredi soir, vers 20h30. Ce soir-là, Agnès n'est pas rentrée après le traditionnel quartier libre du mercredi après-midi, rapporte Le Progrès.fr. En début d'après-midi, l'adolescente a été vue une dernière fois dans le village.
De source http://www.europe1.fr/Faits-divers/Le-lyceen-reconnait-une-promenade-avec-Agnes-822357/
Les parents ne croient pas à la fugue
Blottie contre son mari, Paola exclut la thèse de la fugue. «On est conscients que toutes les hypothèses sont possibles, mais Agnès est partie sans affaires, sans argent, sans manteau», explique la maman, architecte de métier. «Elle prévient toujours lorsqu’elle va dormir chez une amie, ou qu’elle va avoir un peu de retard. Elle est très facilement joignable. La dernière fois que je l’ai eue, c’était mardi soir», continue Frédéric. «Elle est même du genre à m’envoyer 40 SMS par jour, sourit tristement Paola. Comme tous les adolescents de son âge, elle a eu un côté rebelle, mais depuis qu’elle est arrivée à l’internat, son comportement a évolué».
Agnès, en décrochage scolaire, avait été scolarisée en septembre 2010 à l’internat protestant du Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire), réputé dans la région pour son enseignement strict. «La philosophie et le système éducatif de ce collège nous plaisaient beaucoup», explique Frédéric Marin. Agnès, qui avait eu quelques difficultés à s’intégrer les premiers mois, semblait avoir pleinement trouvé sa place cette année. «Elle avait de bonnes notes. Depuis la rentrée, on la sentait joyeuse, épanouie», conclut Frédéric.
De source http://www.20minutes.fr/societe/826140-disparition-parents-agnes-gardent-espoir
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/18/97001-20111118FILWWW00640-un-simple-d-esprit-torture-dans-le-nord.php
Les vols d'hélicos avaient été interrompus vendredi en début de soirée mais les recherches au sol se sont poursuivis et se sont concentrées dans la forêt située près du collège où était scolarisée la jeune fille, sur les indications du lycéen placé en garde à vue, jeudi matin, dans cette affaire.Le procureur, René Pagis, est attendu sur place.
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De source http://www.20minutes.fr/societe/826276-disparition-agnes-corps-retrouve
"Ce corps est malheureusement calciné". Le procureur de la République du Puy-en-Velay, René Pagis, a confirmé ce vendredi soir lors d'une conférence de presse qu'un corps avait été retrouvé à 2 km du lieu de la disparition d'Agnès.
Cette adolescente de 13 ans n'est pas rentrée mercredi soir au collège-lycée Cévenol du Chambon-sur-Lignon, en Haute-Loire, après une sortie libre.
Le procureur a annoncé qu'il n'était pas possible d'affirmer pour l'heure que le corps retrouvé était bien celui de la jeune fille disparue. "L'élève en garde à vue a expliqué où se trouvait le corps. Il fait des aveux partiels. Le corps est calciné, il se trouve à l'endroit désigné. L'endroit est escarpé", a-t-il précisé, ajoutant que l'agression sexuelle ou la consommation de psychotropes n'étaient pas encore établies.
Le jeune homme a "reconnu avoir bousculé" Agnès, a ajouté le procureur.
Selon la chaîne d'informations LCI, le lycéen mis garde à vue ce vendredi aurait dit aux enquêteurs être parti se promener mercredi avec la jeune fille "pour y chercher des champignons hallucinogènes". Il dit l'avoir ensuite laissée seule dans la forêt.
Cet élève de l'établissement, placé en garde à vue à la mi-journée avait reconnu "s'être "promené avec elle". Le lycéen, "camarade" de l'adolescente au collège-lycée cévenol du Chambon-sur-Lignon, porte des "traces physiques au visage, des griffures" qui constituent "un des éléments" ayant conduit à le placer en garde à vue, selon une autorité de gendarmerie.
Le lycéen a "un passé judiciaire" mais "on ne peut pas s'attarder" dessus, du fait qu'il est mineur, a précisé une source proche de l'enquête, alors que parquet comme gendarmerie se refusent à toute déclaration sur ce point. Selon LCI, le jeune homme, dont la garde à vue expire samedi à la mi-journée, est "connu pour des faits de violence" et "a été condamné l'an dernier à 4 mois de détention pour agression sexuelle".
Avec AFP
De source http://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/disparition-d-agnes-un-corps-retrouve-aveux-partiels-du-suspect_1052865.html