Kerviel : la SG porte plainte à son tour

NDLR : Voilà, on y est, tout le monde pourrait maintenant dire n'importe quoi. De Gaulle : « tout ce qui grouille, grenouille et scribouille n'a pas de conséquences historiques dans ces grandes circonstances... » Même s'il y avait à nouveau un million de pas contents dans les rues, au château, on n'entendrait toujours rien. Alors de Villepin...

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Attaque de Villepin: Sarkozy s'en moque
AFP Mis à jour le 27/04/2012 à 21:00 | publié le 27/04/2012 à 20:56

Nicolas Sarkozy a affirmé qu'il ne pensait "rien" des déclarations à son propos de l'ex-premier ministre Dominique de Villepin, affirmant qu'il avait "le droit de dire" ce qu'il voulait, aujourd'hui à Longvic (Côte d'Or). Le président-candidat s'exprimait en marge d'une visite à un centre de formation par l'apprentissage (CFA).

Alors que la presse lui demandait ce qu'il pensait des déclarations de Villepin, Sarkozy a répondu: "rien. Il a le droit de dire ce qu'il veut. J'ai vu qu'il était (rendu) inquiet aussi par M. (François) Hollande", son adversaire PS à la présidentielle. "Peut-être qu'il est rassuré par lui-même", a-t-il ajouté.

Se déclarant "effrayé" par la campagne du président-candidat et ses "gages à l'extrémisme", Dominique de Villepin, sans aller jusqu'à donner de consigne de vote, s'est prononcé clairement vendredi contre Nicolas Sarkozy.