Catégorie: L'accident d'Haider
Autriche : Jörg Haider était ivre
Autriche: Jörg Haider était ivre
Source : AFP, 15/10/2008 | Mise à jour : 14:45
Le chef historique de l'extrême droite autrichienne Jörg Haider conduisait avec un taux d'alcoolémie de 1,8 gramme d'alcool dans le sang lors de son accident de voiture mortel samedi, affirme aujourd'hui Stefan Petzner, successeur de Haider à la tête du parti BZÖ. La limite autorisée en Autriche est de 0,5 gramme par litre de sang.
Jörg Haider, 58 ans, a perdu le contrôle de son véhicule dans un faubourg de Klagenfurt (sud) après une manoeuvre de dépassement et effectué plusieurs tonneaux. Il roulait officiellement à 142 km/h dans une zone limitée à 70 km/h.
Sifflets: la saisie du parquet demandée
Source : AFP et AP, 15/10/2008 | Mise à jour : 15:01
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a demandé aujourd'hui au préfet de Seine-Saint-Denis, où se situe le Stade de France, de signaler officiellement les outrages à l'hymne national au procureur de la République de Bobigny, annonce le ministère dans un communiqué.
"L'enquête pourra s'appuyer sur les images filmées au cours de la rencontre, grâce à des caméras professionnelles implantées (...) depuis le printemps 2008 pour les matchs à risque", précise le ministère. Les interpellations "déboucheront sur des interdictions administratives de stade, comme pour les trois individus appréhendés à l'issue du match pour des infractions diverses".
Suite à des incidents similaires, lors du match amical France-Algérie en novembre 2001, puis lors de la finale de la Coupe de France entre Lorient et Bastia en mai 2002, la loi de sécurité intérieure défendue en 2003 par Nicolas Sarkozy a créé un "délit d'outrage" au drapeau et à l'hymne national, passible de six mois de prison et de 7.500 euros d'amende.
Info Figaro.fr: la lettre de Petrella à Sarkozy
Source : lefigaro.fr, 15/10/2008 | Mise à jour : 13:11
L’ancienne brigadiste Marina Petrella, dont le décret d’extradition a été annulé la semaine dernière par le chef de l’État, a rédigé fin juillet une lettre, adressée à son avocate, qui l'a notamment transmise à Nicolas Sarkozy. Dans ce courrier, dont l’existence a été révélée au figaro.fr par l’avocate de Petrella, cette dernière revient sur les faits pour lesquels la justice de Rome la réclame.
Notamment accusée de complicité dans le meurtre d'un commissaire en 1981, Marina Petrella ne formule dans ce courrier aucune excuse. Elle se contente d’"exprimer ce qu’elle ressent" sur cette période, notamment "de la compassion", selon Me Irène Terrel, l’avocate de Petrella. Cette dernière assure que "Nicolas Sarkozy a pris connaissance de ce courrier". On ne sait pas encore quel impact il a pu avoir dans la décision finale du chef de l’État.
Le courrier figure en bonne place dans un ensemble de documents fournis par les défenseurs de l’ex membre des Brigades rouges pour obtenir l’application de la clause humanitaire de la convention d'extradition de 1957 : Me Terrel a fourni aux autorités compétentes, au premier rang desquels la présidence de la République française, de multiples bulletins médicaux, qui témoignaient de l’aggravation de l’état de santé de sa cliente.
La crise : les Etats Unis ont joué un rôle particulier ?
Dimanche 12 Octobre 2008
Mobilisation générale pour sortir de la crise financière
Le Journal du Dimanche
C'est peut-être la réunion de la dernière chance. Nicolas Sarkozy rassemble dimanche après-midi à Paris les dirigeants des pays de la zone euro, le président de la Banque centrale européenne (BCE) Jean-Claude Trichet et celui de la commission José Manuel Barroso. Objectif affiché par l'Elysée: "définir un plan d'action conjoint de la zone euro et de la BCE face à la crise financière".
La tension est à son comble, au bout de cinq jours de débâcle boursière et de revirements en cascade. Il n'a jamais semblé aussi urgent d'agir pour relancer la distribution du crédit bancaire, éviter les faillites, affronter la récession, restaurer la confiance et le bon fonctionnement des marchés.
Publié le 11/10/2008 à 09:37 - Modifié le 11/10/2008 à 15:55 - Le Point.fr
Le plan d'action du G7 pour lutter contre la crise
Samedi, le président américain George W. Bush, entouré des ministres des finances du G7, a affirmé à Washington que tout le monde était d'accord sur le besoin d'"une réponse sérieuse à l'échelle mondiale". "Chacun d'entre nous reconnaît qu'il s'agit d'une grave crise mondiale et par conséquent elle requiert une réponse sérieuse à l'échelle mondiale", a déclaré Bush, dans la roseraie de la Maison Blanche. Il s'exprimait à l'issue d'une réunion d'une quarantaine de minutes avec les grands argentiers du G7, du président de la Banque mondiale et du directeur général du Fonds monétaire international (FMI). La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice, le secrétaire au Trésor Henry Paulson et le conseiller à la sécurité nationale, Stephen Hadley étaient également présents, alors que la Maison Blanche essaye par tous les moyens de rassurer le public américain et les investisseurs.
"Les Etats-Unis ont un rôle particulier à jouer" pour trouver une solution, a affirmé le président, assurant que "notre gouvernement va user de tous les outils à sa disposition pour résoudre la crise". Le président s'est engagé à ne pas répéter les erreurs commises lors de la crise de 1929, qui avait elle aussi commencé aux Etats-Unis avant de s'étendre au monde entier. "Il y a eu des crises par le passé quand de puissantes nations ont mobilisé leur énergie les unes contre les autres, ou ont tenté de s'isoler du monde", a rappelé le président. "Cette fois-ci les choses sont différentes: les dirigeants réunis à Washington ce week-end travaillent tous à atteindre les même objectifs", a-t-il affirmé. "Nous sommes dans le même bateau et nous nous en sortirons ensemble", a-t-il souligné. La réunion avec M. Bush intervient une douzaine d'heures seulement après que les ministres des finances et banquiers centraux du groupe des sept pays les plus industrialisés ont publié vendredi à Washington un "plan d'action" en cinq points pour faire face à la crise financière internationale, dans lequel ils s'engagent à empêcher toute faillite de banque importante.
Autriche : Jörg Haider à 142 km/h lors de son accident
Créé le 11/10/08 - Dernière mise à jour le 12/10/08 à 13h40
10 commentaires, sur Europe 1
Jörg Haider, le chef du parti populiste autrichien BZÖ et gouverneur de Carinthie, s'est tué samedi matin dans un accident de voiture. Alors qu’il était seul à bord et roulait à 142 km/h selon le parquet local, son véhicule a quitté la route. Grièvement blessé à la tête et au thorax, Jörg Haider, âgé de 58 ans, est décédé peu après des suites de ses blessures. Au niveau européen, en 2000 lors de son entrée au gouvernement, les propos antisémites de Jörg Haider avaient entraîné des sanctions diplomatiques européennes contre l'Autriche pendant plusieurs mois. Mais lors des élections de septembre dernier, son parti avait encore obtenu 11% des suffrages. Le président de la République autrichienne a salué la mémoire d'un homme politique "d'exception".
L'accident a été d'une extrême violence • AFP
La mort de Jorg Haider est elle une manifestation de la justice divine, un complot ou un accident?
Vont ils déclarer un jour de deuil au FN, eux qui se réjouissaient tant de la victoire de l'extrême droite autrichienne car elle les consolait de la déculotté qu'ils avaient reçus en France aux dernières élections?
Sur Yahoo! / Questions résolues / Autre question »
Jörg Haider meurt dans un accident de voiture
Jörg Haider, leader de l'extrême droite autrichienne meurt dans un accident de voiture
LE MONDE | 11.10.08 | 08h27 • Mis à jour le 11.10.08 | 09h56, extraits
Son retour, tonitruant, sur la scène politique autrichienne aura été de courte durée. Le chef du parti populiste autrichien BZÖ et gouverneur de Carinthie, Jörg Haider s'est tué, samedi 11 octobre, dans un accident de la route, a annoncé la police de Klagenfurt (sud), la capitale de la Carinthie dont il était le gouverneur depuis 1999. "Il est mort aux premières heures du jour, samedi, à Klagenfurt", a annoncé l'agence APA en citant le permanencier de la police municipale. [...] Avec 29% des voix aux élections législatives du 28 septembre, la droite populiste s'était à nouveau imposée comme la deuxième force politique du pays. Et l'Autriche se retrouve dans une situation quasiment identique à celle qui prévalait en 1999. C'était la période dorée de Jörg Haider, dont le parti avait alors formé une coalition avec les conservateurs. Il y a quelque jours, Jörg Haider évoquait d'ailleurs une possible participation à un gouvernement avec les conservateurs.
Vendredi, octobre 10, 2008 - 15:40
Liste des brèves AFP, France24
Autriche: près d'un jeune sur deux a voté extrême droite aux législatives
Sarah Palin rattrapée par le "Troopergate"
LEMONDE.FR | 11.10.08 | 09h33 • Mis à jour le 11.10.08 | 09h37, extrait
Dans un rapport de 263 pages remis par le Conseil législatif de l'Alaska après six heures d'auditions à huis clos, l'enquêteur Steve Branchflower a indiqué que Mme Palin était coupable de violations des règles éthiques de l'Etat. "La gouverneure Sarah Palin a abusé de son pouvoir en violant le Statut 39.52.110 (a) de l'Acte éthique concernant la branche exécutive de l'Alaska", a écrit M. Branchflower dans son rapport. Mme Palin faisait l'objet d'une enquête parlementaire officielle dite du "Troopergate", lancée au niveau de son Etat avant qu'elle ne soit désignée comme candidate à la vice-présidence aux côtés de John McCain.
IMMIGRATION.
Ces mineurs roumains contraints à la prostitution
leparisien.fr | 11.10.2008, 07h00, extrait
Une filière qui exploitait de jeunes roumains vient d’être démantelée à Paris. Et les autorités et associations soulignent que le problème des enfants confrontés à des situations dramatiques devient de nouveau préoccupant en France.
ALORS QUE quatre personnes, soupçonnées d’avoir exploité des jeunes roumains en France viennent d’être arrêtées à Paris, plusieurs associations s’inquiètent du retour de ces filières de traite de mineurs.
Ils sont réapparus cet été à Paris. Porte Dauphine, parmi les travestis, et dans le bois de Boulogne, lieux de prostitution masculine. Des adolescents roumains, « parfois âgés de moins de 15 ans », assure l’association Hors la Rue, qui a alerté les autorités. Ce soir de fin de semaine, dans les petits groupes d’hommes présents, il y en a au moins deux que les éducateurs n’avaient jamais vus. Comme ce garçon, aux yeux apeurés, entouré d’adultes qui affirment « qu’il est majeur, de passage pour trois jours en France ». On discute, en roumain, on tend une carte de visite qui mentionne l’adresse du lieu d’accueil qui héberge ce garçon dans le XIII e arrondissement de Paris.