Archives pour: Octobre 2009
La BNF fête les 100 ans de Ionesco
La BNF fête les 100 ans de Ionesco
De source www.culture.fr
La BNF fête le centenaire de la naissance d’Eugène Ionesco et consacre une exposition à son œuvre. L’exposition Ionesco est ouverte du 6 octobre 2009 au 3 janvier 2010, dans la galerie François Ier de la BNF François Mitterrand à Paris (XIIIe).
Manuscrits, notes personnelles et correspondances, livrent une approche neuve de l’écriture dramatique de l’auteur. Documents audiovisuels, croquis et photographies parsèment aussi le parcours des visiteurs.
Ionesco est le fondateur du théâtre de l’absurde. Dépourvues d’action, ses « anti-pièces » déstructurent le langage, symbole de l’aliénation. Son but ? Dénoncer la matérialité qui nous détourne de notre quête spirituelle et montrer l’insignifiance de notre existence.
Ionesco
6 octobre/3 janvier 2010
Bibliothèque Nationale de France François Mitterrand, Paris (XIIIe)
« Partout adulé... sauf en France », le Monde du 29/10
Les droits de l'enfant, 20 ans après : l'intérêt de l'enfant face au politique
18 novembre 2009 : colloque Unicef - Sciences Po sur le thème "Les droits de l’enfant, 20 ans après : l’intérêt supérieur de l’enfant face au politique". L’Unicef France organise ce colloque afin de faire un état des lieux sur les avancées réalisées depuis 20 ans pour les enfants du monde et de réfléchir sur la façon dont l’intérêt supérieur de l’enfant est pris en compte par les décideurs politiques. Plus d'informations sur le site de l'Unicef
Tags : Badinter / CIDE / Convention / droits de l'enfant / Hirsch / Meirieu / Sciences Po / Unicef
17 octobre : Journée mondiale du refus de la misère
NDLR : Je pense que certaines contributions d'ATD-Quart Monde et le rapport Naves-Cathala sont à l'origine de quelques réactions et avis formulés par la suite, par l'AFMJF (Association Française des Magistrats de la Famille et de la Jeunesse). Ce samedi 17/10, j'irais très probablement me promener à Paris, au Troca et dans ces beaux quartiers. Par le passé, j'avais déjà pu discuter avec des représentants ou des courants proches de ATD-Quart Monde. Le juge Thierry Baranger a été président de l'AFMJF. Depuis octobre 2008, ce juge est saisi du dossier de ma fille aînée, un grand fiasco prétendu éducatif, à moins qu'un monstrueux pied de nez fait à l'enfance ainsi qu'au quart monde et à différentes associations qui souhaiteraient nous sensibiliser en faveur des plus démunis ? Voir aussi divers billets tels que Malade ou Au juge des tutelles et In Sachen Kaminski : quel QI pour être un bon parent ? Je suis pour ma part finalement très fier d'être traité depuis quelques temps de « malade » sur la toile, par certains Umpistes putéolois aux écrits injurieux, d'avoir été prié d'aller me faire « soigner » par Me Eolas, un point confirmé 6 mois plus tard par la cour d'appel de Versailles, sa chambre des créatures inférieures, et d'avoir été également très fermement intimé de me taire par le ministère public, notamment par la voix du substitut Felicis, en chambre du conseil, à huis clos, d'avoir été aussi menacé par le pasteur d'Uhrwiller qui envisageait il y a longtemps déjà de faire « supprimer » mon blog. Mais mon blog est toujours en ligne ; depuis la mi-2006, le ministère public ne s'est plus aventuré à me demander la moindre explication.
Refus de la misère et Droits de l’Enfant - samedi 17 octobre - Français
75 - Paris ATD Quart-Monde - île de France, Paris-Trocadéro
Samedi 17 octobre 2009 Paris, de source http://oct17.org
Toute la journée, dans les quartiers , animations, expositions, débats, rassemblements sur le thème du Refus de la Misère et des Droits de l’Enfant. Après midi. Présentation du film de paroles d’enfants des quatre continents : "Viens avec nous. C’est en se rencontrant qu’on bâtit un monde sans misère". 17h - 18h30. Parvis des Drois de l’Homme, des Libertés et du citoyen au Trocadéro Rassemblement enfants et Adultes. Chants, prises de paroles, animations.
Thèmes : Internat.
Les maisons d’enfants à l’épreuve du temps
Par Jacques Trémintin
Publication n° 807 du 7 septembre 2006
Dossier en ligne > Éducation spécialisée
de source , extrait
Héritières des sinistres orphelinats d’antan, les maisons d’enfants à caractère social ont fait peau neuve et n’ont pas toujours bonne réputation. On les critique souvent, mais on ne sait pas s’en passer. Retour sur une institution incontournable.
On connaît depuis quelques années une offensive contre les placements d’enfants jugés préjudiciables aux familles. On se souvient de la mise en accusation d’ATD Quart-monde prétendant que les séparations intervenaient surtout en raison de la pauvreté des parents. Le rapport Naves - Cathala (2000) fit justice de cette affirmation : « Aucun des enfants accueillis provisoirement ou placés, dont la mission a examiné la situation, n’a été séparé de « son milieu actuel » du seul fait de la pauvreté de ses parents, même s’il est impossible de nier l’importance du facteur « précarité » dans les séparations enfants-parents subies » [1]. Au premier rang des cibles des adversaires du placement, l’internat éducatif [2] qui n’a jamais eu très bonne presse. Bien des raisons peuvent expliquer ce déficit de crédit. Pourtant, parmi les arguments le plus souvent avancés, nombreux sont ceux qui ne se vérifient pas dans la réalité, relevant bien plus de la rumeur quand ce n’est pas de la mauvaise foi.
[1] « Accueils provisoires et placements d’enfants et d’adolescents », Pierre Naves et Bruno Cathala, La Documentation Française, p.25
[2] On compte dans notre pays 150 000 enfants séparés de leur famille, dont 100 000 sont placés en famille d’accueil, en lieu de vie, chez des tiers dignes de confiance ou chez un membre de leur famille et 50 000 accueillis en internat éducatif. ...
LTI, d'après Klemperer
NDLR : Klemperer figure bien parmi mes références, voir Et ces statistiques, comment ça va ?
Un rendez-vous dans le quartier ?
NDLR : Ce ne serait pas ma première sortie dans le voisinage. Pourquoi pas, je suis bien allé à Toul.
Bientôt 20 ans
Il m'a semblé que la France nous prépare encore une grande fête, celle des 20 ans de la CIDE. Pour le soixantenaire de la DUDH, j'avais organisé un petit rassemblement, aux abords de la BNF. Pas grand monde ne s'était déplacé mais l'ambiance était très conviviale, autours d'un petit autodafé de livres inexploitables dans ce pays.
Pour cette fête-ci, je vais sortir dans Paris, avec un mégaphone. J'ai maintenant été assez sage, le substitut Felicis et des juges de Nanterre ou de la cour d'appel de Versailles ne pourront pas marteler le contraire, je n'y avais plus sorti mes banderoles depuis des mois. J'attends encore de découvrir où et quand se rassembleront les officiels, s'ils quitteront leurs beaux salons feutrés. Car je suppose qu'ils vont eux-même être de la partie, dans l'espace public ? La dernière grande fête de la Dass avait été organisée tout ailleurs, loin de Paris, dans un espace privé.
Par chance, nous ne vivons pas encore en Chine. Nous ne sommes toujours qu'en France, quelque part entre le bas moyen âge et le troisième millénaire, peut être encore sous l'Ancien régime, à moins qu'une quelconque variante postsociale ou néo 1838, et nous jouissons toujours de la possibilité de nous exprimer assez librement dans la rue.
Comme pour la fête de la DUDH, je déclarerais très officiellement cette sortie auprès de la préfecture de Paris. Ce sera le minimum si je ne souhaite pas passer quelques heures tout nu, chez les fous, pour avoir parlé ? Je suis plutôt confiant. Sauf Tour de France, dans Paris, sous haute surveillance, lors de mes sorties, je n'ai jamais eu de réelles difficultés avec les forces de l'ordre, les autorités ou l'administration, bien au contraire.
Avec ce billet-ci, les éditions Dalloz pourraient se fâcher tout rouge, comme certains de leurs épais pavés... et de vrais professionnels et des élus aussi ? Ce sera peut-être une opportunité d'initier de réels débats alors que je ferais encore la promotion d'un son. Je rappelle aussi à ces mêmes sphères que plusieurs de mes billets n'ont toujours pas été commentés. Le pasteur d'Uhrwiller en pensera et en dira ce qu'il voudra ; malgré les pressions des juges, je ne vais pas me convertir et je lui lance déjà un très sobre bruit que je sais faire avec un grand sourire : prout.
Ajout du 14 au soir... J'ai adapté la petite bannière sur la gauche, sous le calendrier, afin de soutenir moi aussi l'enfant « pré-désigné ». A ce sujet, voir, entre autres, Epad : 4 000 signatures contre Jean Sarkozy ?
Voir Fin des vacances, début mai 2009
Extraits du communiqué de presse de la Cour des comptes relatif à la parution du rapport publique thématique "La protection de l'enfance" d'octobre 2009 : Une remise en cause radicale de l’organisation actuelle n’est ni opportune ni souhaitable. En revanche, les dysfonctionnements relevés au cours de l’enquête montrent que tous les acteurs doivent veiller ensemble à améliorer la qualité des prises en charge sur la base des bonnes pratiques et des formules innovantes recensées par la Cour. [...] L’offre de prise en charge évolue trop peu et trop lentement, sans prendre suffisamment en compte les dispositifs les plus innovants. Les départements ne doivent plus se contenter de financer les structures existantes : ils doivent fixer aux établissements et aux services de prise en charge des mineurs des objectifs précis, notamment pour le traitement des situations les plus difficiles, procéder à des appels à projets pour choisir leurs prestataires, conclure des conventions avec les associations qui exécutent les mesures et les contrôler. Ainsi, la nature exacte des mesures de prévention ou d’aide à domicile est trop souvent laissée à l’appréciation des associations qui les exécutent. Leur contenu devrait être défini au préalable avec beaucoup de soin. Un effort spécifique doit être entrepris au bénéfice d’enfants placés qui ont besoin d’autres types de soutien (pédopsychiatrie, handicap...)
Pour le rapport de 180 pages et de plus amples informations, visiter http://www.ccomptes.fr.