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Du côté des autorités judiciaires c'est le « black out » total
VENOSC (ISERE) - PÉDOPHILIE
Il aurait abusé d'enfants confiés à sa femme
par La Rédaction du DL | le 17/05/08 à 20h00
Une "affaire" particulièrement sordide est venue briser la tranquillité de Venosc, ce petit village de montagne niché dans la vallée du Vénéon, au coeur du massif de l'Oisans, et qui constitue avec sa voisine Mont-de-Lans la station des Deux Alpes.
Au village, on ne parle que de ça mais du côté des autorités judiciaires c'est le "black out" total !
On sait pourtant de source sûre qu'un de ses habitants un père de famille âgé d'une quarantaine d'années et tenant un commerce de souvenirs est suspecté par la justice de s'être prêté à des actes de pédophilie particulièrement graves sur des enfants placés chez lui par les services sociaux. Son épouse ayant obtenu l'agrément délivré par le Conseil général de l'Isère lui permettant d'exercer le métier d'assistante familiale, le couple était en effet devenu "famille d'accueil" pour des enfants en difficulté.
Il s'agit d'enfants ou d'adolescents souvent issus de milieux très défavorisés temporairement séparés de leurs parents sur mesure administrative prise par le Conseil général ou sur décision du juge des enfants. Dès lors, ils sont pris en charge par le service de l'Aide sociale à l'enfance du Conseil général et confiés à des familles d'accueil dont l'un des membres est assistant(e) familial(e) agréé(e).
Interpellé au début du mois de mai, le suspect jusque là inconnu de la justice et qui demeure présumé innocent aurait reconnu les faits. On ignore, en revanche, à quelle date et sur combien de temps ils auraient été commis.
Mis en examen par un juge d'instruction grenoblois pour "agressions sexuelles et viols sur mineurs (de moins) de 15 ans par personne ayant autorité", il a été placé sous mandat de dépôt et écroué.
Une information judiciaire a été ouverte et les enquêteurs travaillent désormais dans le cadre d'une commission rogatoire.
Selon nos informations, le suspect serait séparé de sa femme depuis plusieurs mois et il semble que cette dernière ignorait tout des agissements qui sont aujourd'hui reprochés à son mari. Une mesure conservatoire a néanmoins été prise par le Conseil général et les enfants qui lui étaient confiés lui ont été retirés en attendant la fin de l'enquête.
Ce serait l'un des enfants supposément abusés ou quelqu'un faisant partie de son entourage direct qui aurait dénoncé les faits ou, tout du moins, fait part de ses soupçons aux services judiciaires.
Par ailleurs, les enfants du couple ne seraient pas concernés : les victimes jusque-là identifiées seraient deux garçons mais l'enquête n'est pas terminée et d'autres enfants devraient être entendus dans le cadre de cette procédure.
PARIS (AFP) - Le responsable d'un bateau-école qui proposait à des adolescents des croisières pour "favoriser l'épanouissement de l'enfant" a été mis en examen samedi par un juge parisien pour viols et agressions sexuelles aggravés et écroué, a-t-on appris de source judiciaire.
Léonid Kameneff, 72 ans, capitaine de l'ancien thonier "Karrek Ven" et fondateur de l'association "L'école en bateau" à l'origine des croisières, avait été extradé du Venezuela à la demande de la justice française qui avait délivré à son encontre le 25 mai 2007 un mandat d'arrêt international.
Cette extradition avait été autorisé le 9 mai par le tribunal suprême de justice (TSJ) du Venezuela.
Arrivé à l'aéroport de Roissy samedi peu avant 9H00 en provenance de Caracas, il avait été pris en charge par des policiers et conduit au palais de justice de Paris.
Présenté dans l'après-midi à un juge d'instruction, il a été mis en examen pour "viols et agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans par personne ayant autorité" entre août 1979 et 1992, a-t-on précisé de même source.
Il a été placé en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention (JLD) conformément aux réquisitions du parquet de Paris.
Une trentaine de jeunes ayant navigué sur le bateau-école ont dénoncé à la police des abus sexuels et 14 se sont constitués parties civiles, les faits dénoncés par les autres étant prescrits.