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Laurence Ferrari attaque « Lyon Mag » pour violation de sa vie privée
Laurence Ferrari avait prévenu: «Croyez-moi, je ne lâcherai rien. J'attaquerai quiconque s'intéresse de près ou de loin à ma vie privée.»
C’est ce qu’elle a fait. Elle a porté plainte contre «Lyon Mag» qui a publié cet été une interview de son père, Gratien Ferrari. ...
La journaliste demande 40.000 euros de dommages et intérêts. Selon son avocate, il aurait fallu l’autorisation de sa cliente avant publication de l’interview de son père.
Ce à quoi Philippe Brunet-Lecomte, le directeur de «Lyon Mag», répond que cette interview était pertinente parce qu’elle changeait justement des «interviews qu’elle a accordées aux médias pour faire la promotion de son arrivée au JT (où) elle donne une image d’elle-même très “clean”, très lisse, très convenue au fond.»
Laurence Ferrari attaque «Lyon Mag» pour violation de sa vie privée
20Minutes.fr, éditions du 27/08/2008, extraits
JUSTICE
Laurence Ferrari gagne son procès contre Closer
NOUVELOBS.COM | 20.12.2007
VIE PRIVEE
Laurence Ferrari assigne Metro en justice
NOUVELOBS.COM | 08.12.2007
Après être apparue en Une de Closer et Voici lundi dernier, la journaliste de Canal+ a porté plainte contre le site du quotidien gratuit au nom de la protection de la vie privée.
NANTERRE (AFP), 17 janv. 2008 — La société Metro France a été condamnée jeudi à verser 5.000 euros de dommages et intérêts à la journaliste Laurence Ferrari pour avoir fait état fin novembre, sur le site internet Metro.fr, de rumeurs lui prêtant une relation avec le président de la République Nicolas Sarkozy.
Laurence Ferrari, à l'heure du "20 heures"
LE MONDE | 25.08.08
La faute du père est-elle la faute du journaliste ?
Billet écrit à quatre mains par Eolas et Aliocha, journaliste et juriste
Ferrari en piste !
Dans le blog de Philippe Bilger
Laurence Ferrari: ''Le 20 Heures est un Graal journalistique''
L'Express, mis à jour le 25/08/2008, extraits
Laurence Ferrari a pris de manière effective lundi 25 août la succession de Patrick Poivre d'Arvor aux commandes du 20 Heures de la Une. La journaliste explique à L'Express comment elle entend faire évoluer le premier JT de France.
Assise en tailleur sur un canapé d'un bureau de TF 1, Laurence Ferrari a le regard qui vrille et le ton décidé de celle qui semble ne douter de rien. Et qui s'apprête à relever le défi de sa carrière. A 42 ans, l'ancienne journaliste d'Europe 1, de LCI et de Canal + succède à Patrick Poivre d'Arvor, évincé au début de l'été, aux commandes du premier journal de France, le 20 Heures de la Une. Seuls quelques sourires mutins ponctuent les phrases de celle qui entend marquer de son empreinte ce rendez-vous phare du petit écran. Comment faire évoluer un journal soumis à la concurrence de la TNT et des chaînes tout info sans mettre à mal son audience ? C'est tout le challenge qui attend la jeune femme. Et, pourtant, c'est le plus tranquillement du monde qu'elle dit aborder cette nouvelle étape de son métier. Avec la volonté farouche de protéger sa vie privée.
... Il n'empêche, quelle tribune...
Je suis d'accord. Mais ce journal, c'est bien autre chose, à mes yeux. C'est avant tout pour moi le moyen d'exprimer à l'antenne ma vision du journalisme et d'y articuler l'information telle que je la conçois. Le journal de 20 heures n'est pas seulement une estrade lumineuse, un symbole iconique, c'est d'abord, pour reprendre votre expression, un Graal journalistique.
... Exposée jusqu'ici et souvent maltraitée par la presse people, vous voilà désormais surexposée à TF 1. Ne redoutez-vous pas un emballement de la presse à scandales ?
Oui. Mais cela fait partie des risques, et c'est l'une des questions que Nonce Paolini et moi avons naturellement évoquées. Je sais que la pression médiatique va être forte, mais il n'y a aucune raison qu'elle me fasse reculer dans mes choix professionnels. Je connais ces rapports de force, et je suis prête à les affronter de manière frontale. Croyez-moi, je ne lâcherai rien. J'attaquerai quiconque s'intéresse de près ou de loin à ma vie privée.
FACE A NOS LECTEURS.
Poivre d'Arvor : « J'attends ma lettre de licenciement »
jeudi 10 juillet 2008 | Le Parisien, extrait
Le livre « Madame, monsieur, bonsoir », écrit par des journalistes anonymes de TF 1, a écorné votre image. Nonce Paolini n'a pas affiché son soutien, cela vous a-t-il affecté ?
Il m'a téléphoné une semaine plus tard pour me dire : « Tu sais, je n'ai pas répondu parce que je considérais que c'était méprisable. » A sa place, j'aurais répondu. Il s'agissait d'une opération clairement décidée pour déstabiliser. L'éditeur a prétendu que les journalistes étaient de TF 1. C'est faux. Vous en aurez la preuve dans peu de temps.
Vous avez une idée de leur identité ?
Oui, et ils ne sont pas cinq... En tout cas, c'est écrit avec les pieds. Que ce livre soit rédigé de manière anonyme et qu'on prenne ça pour argent comptant m'a choqué. Tout était faux. Il y avait - et c'est la raison pour laquelle j'ai porté plainte - des attaques épouvantables sur la vie privée, notamment sur ma santé. C'est écoeurant, mais j'ai dépassé ça.
Comment qualifieriez-vous le monde de la télévision ?
C'est un panier de crabes ?
L'entreprise audiovisuelle n'est pas plus détestable qu'une autre. Il y a des jalousies, des gens bien, beaucoup de passions... Dans ce bureau, il y a vingt et un ans de vie. Mais il y a surtout eu quarante ou cinquante journalistes qui sont venus en pleurant parce qu'ils avaient tel problème personnel et que j'ai essayé de dépanner.