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Maroc : les oulémas contrent une « fatwa »
Lait frelaté en Chine : l'entreprise savait depuis des mois
lefigaro.fr avec AFP, 23/09/2008, extraits. L'enquête montre que le géant laitier Sanlu, par lequel le scandale est arrivé, a reçu des plaintes dès décembre 2007. Pourtant il n'a alerté les autorités locales que le 2 août dernier. [...] Echaudée par les scandales sanitaires à répétition survenus en Chine depuis quelques mois, la France qui préside l'Union européenne a demandé à ce que l'Europe, renforce ses contrôles sur les produits alimentaires. Paris affirme disposer du soutien de 15 à 20 pays membres. Une surveillance approfondie qui ne toucherait toutefois pas le lait puisque l'UE n'en importe pas de Chine. Il s'agit de «protéger les consommateurs, en faisant en sorte que les produits qui rentrent en Europe respectent bien les mêmes normes que celles que nous imposons à nos producteurs», a souligné Michel Barnier le ministre de l'Agriculture.
Justice : le livre de Karim Achoui publiable
Source : AFP, 23/09/2008 | Mise à jour : 10:59
Le Conseil supérieur des oulémas du Maroc présidé par le roi Mohammed VI est intervenu pour contrer une "fatwa" (avis religieux) d'un théologien marocain autorisant le mariage des filles dès l'âge de neuf ans, qui a suscité de vives réactions.
L'avis religieux a été diffusé au début du mois sur le site "maghrawi.net" par Mohamed Maghraouin, qui anime depuis 1976 à Marrakech une association islamique revendiquant une soixantaine de "maisons coraniques" à travers le royaume, en réponse à un internaute qui se demandait si les filles qui n'ont pas encore leurs règles pouvaient se marier.
"Rien" dans le Coran n'établit un tel lien et "les filles de neuf ans sont aussi capables de mariage que celles de 20 ans et plus", a répondu le cheikh, en rappelant le mariage du prophète Mohamed avec son épouse Aïcha, consommé selon lui à l'âge de neuf ans.
Cet avis religieux a suscité des réactions de protestation de la part des ONG et de la presse marocaines, qui ont culminé dimanche avec des prises de position du Conseil supérieur des oulémas et du parquet de Rabat.
Dans un communiqué, le conseil des oulémas a qualifié l'auteur de l'avis religieux de "personne connue pour ses tendances à la subversion et à l'amalgame". Seul le conseil est habilité à produire des fatwas, a aussi affirmé le conseil.
Sur l'âge légal du mariage des femmes au Maroc, il s'est référé au Code de la famille en vigueur depuis 2004, qui le fixe à 18 ans, et a condamné "l'utilisation de la religion pour légitimer le mariage des filles de neuf ans".
Quelques heures après la diffusion de ce texte, le procureur du roi à Rabat a annoncé "l'ouverture d'une enquête approfondie au sujet de la fatwa et de la qualité du dénommé Mohamed Maghraoui l'habilitant à la prononcer".
Face aux nombreuses critiques dont son avis a fait l'objet et à une plainte d'un avocat de Rabat, Mohamed Maghraoui a dénoncé une "offensive laïque contre nation islamique et ses théologiens".
Maroc : les oulémas contrent une "fatwa"
Source : AFP, 23/09/2008
Bonjour,
Vous connaissez la situation de ma fille aînée Justine, de mes enfants et de ma famille. En effet, au cours de ces dernières années, les services de la Présidence de la République et de l’Intérieur m'ont répondu, des Conseils généraux et la Chancellerie aussi, à différentes occasions.
J'attends dans les prochains jours un délibéré de la Première Présidence de la Cour d'appel de Versailles. J'attends aussi une prochaine audience auprès de la Chambre des mineurs. J'épuise les voies de recours...
J’attends également de pouvoir enfin discuter, demain, avec ma fille Justine. Nous n’avons plus aucun contact depuis trois ans.
Aujourd'hui, ma réponse à l'expert psychiatre, au pasteur, aux travailleurs sociaux, au Procureur et au Juge pour enfant de Nanterre pourrait tenir en deux liens:
http://justice.cloppy.net/index.php/notes/
http://justice.cloppy.net/index.php/opinions/
Je ne vous cache pas que, personnellement, je doute du bon fonctionnement de certaines voies de justice et de recours françaises, que je doute aussi très fortement du bon fonctionnement du dispositif français de la protection de l’enfance.
Question: avez-vous envisagé de renforcer les contrôles des intervenants privés et du secteur associatif oeuvrant et contribuant, en France, à la protection de l'enfance?
Avec mes plus respectueuses salutations,
Bruno Kant
http://justice.cloppy.net
Message envoyé via le portail Internet de l'Elysée.
Merci de votre message,
Celui-ci a bien été envoyé à la Présidence de la République.
Présidence de la République,
Le 23 septembre 2008