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Crise financière internationale : Sarkozy veut-t-il sanctionner Dieu ?
Crise financière : Sarkozy veut sanctionner les responsables
lefigaro.fr Avec AFP et AP, 23/09/2008, extrait
«Nous devons nous interroger sur nos responsabilités. Aujourd'hui, des millions de gens à travers le monde ont peur pour leurs économies, pour leur appartement, pour l'épargne qu'ils ont mise dans les banques», a déclaré le président français. «Notre devoir est de leur apporter des réponses claires. Qui est responsable du désastre ? Que ceux qui sont responsables soient sanctionnés et rendent des comptes et que nous, les chefs d'Etat, assumions nos responsabilités», a poursuivi Nicolas Sarkozy, sans toutefois identifier les «responsables». «Si nous ne parlons pas clair, alors nous ne construirons pas un monde de stabilité», a-t-il estimé.
De source philophil.com...
Dans La Bible, l'histoire de la tour de Babel est un symbole de l'échec de l'orgueil humain, dès que l'Homme prend comme objectif de rivaliser avec la suprématie divine. Le récit mythique a comme sens explicite la condamnation des projets de coopération entre les hommes dès que ces desseins ne sont pas décidés par le Très Haut lui-même, mais qu'ils marquent, au contraire, une part d'initiative venant directement des hommes.
Crise/Sarkozy : "foutaise" (Besancenot)
Source : lefigaro.fr Avec RTL
23/09/2008 | Mise à jour : 08:15 | Commentaires 1
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Le leader de la LCR Olivier Besancenot a estimé ce matin sur RTL que l’appel de Nicolas Sarkozy à faire payer les responsables de la crise financière était « de la foutaise ». Olivier Besancenot appelle les pouvoirs publics à intervenir dans la crise financière estimant que « le plus gros des difficultés » est « devant nous ».
Dans la spirale de la dépression
Etude. 5,5 millions de Français ont connu un «épisode dépressif majeur» dans l’année.
QUOTIDIEN : mardi 23 septembre 2008, extrait
Comment sonder l’état de la déprime en France ? En trois questions. D’abord celle-ci : «Au cours des douze derniers mois, vous est-il arrivé de vivre une période d’au moins deux semaines consécutives pendant laquelle vous vous sentiez triste, déprimé(e), sans espoir ?» Réponse : oui pour 20,7 % des personnes. Pour ces derniers, deuxième question : «Pendant ces deux semaines, ce sentiment durait-il généralement tou te la journée, ou pratiquement toute la journée ?» Près d’un sur deux répondent oui. Troisième question : «Ce sentiment arrivait-il chaque jour ou presque chaque jour ?» Réponse: 63,2 % des 20,7 % répondent encore oui.
Au final, si vous avez ces trois éléments (signe de tristesse, avec un critère de durée et d’intensité), alors vous êtes atteint du «symptôme tristesse» utilisé dans le diagnostic d’épisode dépressif majeur (EDM) à la base du classement international des maladies mentales. L’EDM, c’est un peu embêtant mais rassurez-vous, vous n’êtes donc pas seul. Selon une étude - publiée, aujourd’hui, par le Bulletin épidémiologique hebdomadaire de l’InVS (l’Institut de veille sanitaire) -, cela concerne 8,8 % des personnes interrogées. Soit près de 5,5 millions de français.
Recul. Ainsi donc va la France : plus d’une personne sur 12 a connu dans l’année écoulée un «épisode dépressif majeur». Un taux impressionnant, mais à prendre avec un certain recul (lire ci-contre, sur Libé). D’autant que les chiffres varient selon les méthodes utilisées. Selon deux autres enquêtes, l’une menée en 2004-2005 sur des populations respectivement de près de 17 000 (Baromètre santé) et l’autre de 6 500 personnes (Anadep), le nombre de Français souffrant d’EDM varie de 8,8 % à 5 %. Quant à la prévalence des épisodes sévères, elle est respectivement de 3,2 et 2,6 %.
Pour les autres, ne soyez pas trop rassurés… Car sans avoir les trois caractéristiques de l’EDM, on peut présenter une ou deux des caractéristiques. Et là, cela fait encore plus de personnes...