« Le patient mort dimanche n'aurait sans doute pas survécu | Payés pour garder leur petits-enfants » |
Bachelot : le décès du patient n'est pas lié au manque de lits
Pour Bachelot, le décès du patient n'est pas lié au manque de lits
LEMONDE.FR avec AFP | 29.12.08 | 15h20 • Mis à jour le 30.12.08 | 09h38, extrait
D'après la ministre de la santé, Roselyne Bachelot, il y avait un nombre suffisant de lits de réanimation disponibles en région parisienne pour accueillir le patient mort d'un malaise cardiaque dans la nuit de samedi à dimanche. "Nous avions onze lits disponibles en région parisienne à moins de vingt minutes", a-t-elle affirmé lundi 29 décembre, jugeant qu'"il y avait toute possibilité d'accueillir" le malade. La ministre a refusé de se prononcer sur d'éventuelles responsabilités, renvoyant à l'enquête qu'elle a demandée auprès de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS).
Hôpital : "Cela fait des années que la pénurie en personnels est organisée"
LE MONDE | 30.12.08 | 08h28 • Mis à jour le 30.12.08 | 10h50, extrait
Patients plus nombreux, 35 heures, nouvelles règles de gestion : les conditions de travail à l'hôpital ont changé ces dernières années. Trois professionnels témoignent d'une situation tendue.
DÉCÈS AUX URGENCES
Hôpital public : Bachelot appelle à la "confiance"
NOUVELOBS.COM | 30.12.2008 | 09:38, extrait
Après les critiques consécutives à la mort d'un patient en attente de soin, la ministre de la Santé souligne qu' "un effort financier considérable" est fait à la fois pour les urgences et le système de santé.
MARSEILLE
Le schizophrène échappé est toujours recherché
NOUVELOBS.COM | 30.12.2008 | 07:13, extrait
Le malade échappé d'une unité psychiatrique de Marseille ne sera pas mis en garde à vue s'il est interpellé, mais raccompagné à l'hôpital.
Joël Gaillard, le schizophrène échappé d'un hôpital psychiatrique de Marseille, a vraisemblablement provoqué une alarme incendie pour prendre la fuite vendredi soir sans violence ni dégradation.
Toujours recherché par plusieurs centaines de policiers et de gendarmes des Bouches-du-Rhône, cet homme de 39 ans, considéré comme dangereux, n'est pas sous le coup d'un délit d'évasion, a précisé lundi 29 décembre le procureur de la République de Marseille.
"Il était interné dans le cadre d'un placement d'office. Il n'y a pas de délit d'évasion. Le parquet a ouvert samedi une procédure pour disparition inquiétante, en raison de son état de santé mentale, mais nous n'avons pas d'infraction à lui reprocher", a dit Jacques Dallest lors d'une conférence de presse.