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Aline Lelièvre, jugée pour avoir tué son bébé de 13 mois
Voir aussi Garde d'enfants : bataille(s) autour d'une promesse
Le Planning familial reste sceptique après les annonces de Hortefeux
LEMONDE.FR | 09.02.09 | 18h41 • Mis à jour le 09.02.09 | 18h45, extrait
La direction du Mouvement français pour le planning familial (MFPF) n'est pas convaincue par les déclarations de Brice Hortefeux. Le ministre du travail et de la famille s'est engagé, mercredi 4 février, à "maintenir l'effort budgétaire" dédié au Planning familial. Depuis plusieurs semaines, le mouvement dénonce la diminution des aides de l'Etat, prévues dans le budget 2009. "Un tiers de nos 70 associations départementales risquent de disparaître", estimait Claire Ricciardi, présidente du Planning marseillais, lors d'une manifestation nationale le 27 janvier.
Faits divers
Jugée pour avoir tué son bébé de 13 mois
Le Parisien | 10.02.2009, 07h00, extraits
Aline Lelièvre comparaît à partir de ce matin aux assises pour avoir tué son bébé. Elle avait fait croire à un enlèvement avant d’avouer.
[...] Le 31 octobre 2006, Aline Lelièvre signale à sa mère la disparition de son fils. Selon sa version, elle s’est absentée, la veille au soir, de l’appartement une dizaine de minutes pour descendre la poubelle et fumer. Son bébé dormait alors dans son lit. Le lendemain matin, il n’y était plus. La mère pense à un kidnapping. La gendarmerie lance d’importantes recherches. Mais la thèse de l’enlèvement ne tient pas. Le 2 novembre, le corps de l’enfant est repêché dans un lac de Redon, enveloppé dans un drap-housse lesté de bouteilles. Détail étrange : la victime ne porte pas de pyjama. Le comportement de la mère la nuit de la disparition présumée intrigue les enquêteurs.
Réentendue, Aline Lelièvre déclare qu’elle a en fait retrouvé son fils inerte dans la salle de bains. Puis, en garde à vue, la mère admet avoir étranglé et pendu son enfant dont elle ne supportait plus la charge. De tels aveux plongent tous les proches d’Aline Lelièvre dans la stupeur. La « mère aimante » était, semble-t-il, une jeune femme secrète qui aurait caché des aspects de sa vie à son entourage. Selon l’instruction, l’accusée s’est montrée au fil de l’enquête « très fuyante » pour admettre qu’en réalité elle délaissait son enfant depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Elle aurait laissé à plusieurs reprises son bébé seul pour se rendre à son travail ou pour aller s’amuser avec des amis. Mais les raisons de son geste restent floues. L’avocate, comme la mère de l’accusée, n’a pas souhaité s’exprimer avant ce procès qui s’achèvera jeudi.
Brûlée vive, Chahrazad retrouve son agresseur aux assises
Bastien Hugues (lefigaro.fr), 10/02/2009 | Mise à jour : 09:05, extrait
En 2005, la jeune femme avait été aspergée d'essence par l'homme qu'elle refusait d'épouser. Le procès d'Amer Mushtaq Butt, son agresseur, s'ouvre aujourd'hui aux assises de Seine-Saint-Denis.
Leur première rencontre remonte au printemps 2004 dans une boutique de Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis). Etudiante en BTS comptabilité, Chahrazad, encore mineure à l'époque, y travaille comme stagiaire. Celui qui supervise son travail, Amer Mushtaq Butt, est âgé de 23 ans. Une relation amoureuse se noue quelques mois plus tard.
Obama : «la fête est finie»
Le Figaro, 10/02/2009 | Mise à jour : 07:31, extrait
Défense appuyée de son plan de relance et ouverture vers l'Iran ont été les grands thèmes de la première conférence de presse présidentielle de l'ère Obama.
«Si nous n'agissons pas, la crise pourrait tourner à la catastrophe». Ce n'était pas la première fois que Barack Obama prononçait ces paroles alarmistes au cours des derniers jours. Mais en les répétant lundi soir lors de sa première conférence de presse présidentielle, devant un «parterre de plus de 150 journalistes américains et étrangers réunis sous les lustres de cristal de la salle Est, à la Maison Blanche, le président a voulu rappeler en toute solennité la gravité de la situation à laquelle son plan de relance entend répondre.