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Millau : les réponses de Claude Halmos
NDLR : Ce matin, une autre chronique ou interview diffusée par France Info était plus virulente, probablement satyrique, je ne la retrouve pas sur le net. L'opinion de Claude Halmos, psychanalyste et auteur de « L'autorité expliquée aux parents » sera parfaite pour ces notes. On attend maintenant les résultats des investigations...
Séquestration et loi Bachelot
France Info - 12:40
Au carrefour de l’info la mise en examen des parents ayant séquestré leur enfant et la loi Bachelot.
Un enfant difficile. C’est la raison que les parents d’un petit garçon de sept ans ont évoqué pour justifier sa séquestration pendant des années. L’enfant vivait dans une chambre aux volets toujours fermés, sans jouet, dans des conditions d’hygiène déplorables et était battu quotidiennement par son père. Les parents ont été mis en examen et écroué à Millau et le garçon a été placé dans une famille d’accueil. Comment un tel drame a-t-il pu survenir ? Pourquoi les services sociaux n’ont-ils rien vu ? Quel est l’avenir de cet enfant ?
Jean-Pierre Gauffre - Hier, 07:30, France Info, Ecouter la chronique (2'03")
Près de chez moi
Essonne (91)
Le commissaire de Juvisy sera jugé le 30 mars
Le Parisien ave AFP | 06.03.2009, 16h27
Le commissaire de police de Juvisy-sur-Orge (Essonne), soupçonné de détournement de fonds, devait être déféré vendredi après-midi devant le parquet de Créteil (Val de Marne), désormais saisi du dossier, et sera jugé le 30 mars devant le tribunal correctionnel.
Soupçonné d'avoir détourné une somme de 3.000 euros saisie et placée sous scellés dans le cadre d'une procédure judiciaire, le policier avait été placé jeudi en garde à vue par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). Il a reconnu les faits.
Sa garde à vue n'a pas été prolongée. Une convocation par procès-verbal devait lui être remise vendredi en vue de sa comparution devant le tribunal correctionnel de Créteil le 30 mars pour «soustraction de biens d'un dépôt public par personne dépositaire de l'autorité publique», selon la même source. La qualification retenue est passible de dix ans de prison et 150.000 euros d'amende.
Dans l'intervalle, le commissaire devait être placé sous contrôle judiciaire. Le dossier, initialement suivi par le parquet d'Evry (Essonne), a été dépaysé à Créteil «dans un souci de bonne administration de la justice».