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Sommet sur le racisme : avec Paris mais sans Washington
Royal est dans une "opération de survie politique", selon Paillé (UMP)
Le porte-parole adjoint de l'UMP, Dominique Paillé a estimé lundi que Ségolène Royal était dans une "opération de survie politique" et que le PS devait essayer "de la tenir à distance de la vie politique polémique dans laquelle elle s'est engouffrée".
AFP - le 20 avril 2009, 09h02, extrait
Sommet sur le racisme : avec Paris mais sans Washington
Florentin Collomp, envoyé spécialà New York
Le Figaro, 20/04/2009 | Mise à jour : 07:38, extrait
Outre les Etats-Unis, l'Australie, le Canada, les Pays-Bas, l'Italie, l'Allemagne et Israël ne participeront pas à la réunion qui s'ouvre lundi en Suisse en présence du controversé Mahmoud Ahmadinejad, le président iranien.
Il y a des limites à la politique de la main tendue de Barack Obama. C'est le message clair que Washington a envoyé ce week-end en confirmant que les États-Unis ne se rendraient pas à la conférence des Nations unies sur le racisme, qui débute lundi à Genève.
Voir au 19 avril
Columbine, dix ans après
LEMONDE.FR | 20.04.09 | 07h04 • Mis à jour le 20.04.09 | 08h01, extrait
Mais qui étaient Eric Harris et Dylan Klebold ? Pourquoi ont-ils tué ? Que s'est-il réellement passé à Columbine ? Dix ans après le massacre, ces questions hantent toujours les mémoires, mais de nouvelles réponses ont vu le jour. "La vérité sur Columbine", comme titre The Guardian, ne colle pas avec ce qui a pu être écrit ou diffusé dans la presse à l'époque. "La plupart de ce qui a été dit au public sur cette tuerie est faux", renchérit USA Today.
Et pour cause : lorsque les premières équipes de télévision sont arrivés sur place, le massacre était déjà terminé. "Les tirs sporadiques entendus pendant les trois heures qui ont suivi (...) venaient, en réalité, des équipes d'élite de la police qui pénétraient dans les salles de classes fermées à clé. (...) Les autorités ont réalisé plus tard que Harris et Klebold étaient déjà morts, leurs corps étendus dans la bibliothèque avec dix de leurs victimes", explique Andrew Gumbel dans le quotidien britannique.
Dans les semaines qui ont suivi, les médias ont évoqué de nombreuses explications au drame : l'appartenance à un gang, les jeux vidéos, le hard rock, la fascination pour les armes ou le nazisme... En réalité, Eric Harris et Dylan Klebold n'étaient ni des adorateurs de Marilyn Manson, ni des exclus. Leur haine n'était pas spécialement dirigés contres les sportifs, les noirs ou les chrétiens. "Toutes ces histoires sont le produit de l'hystérie, de l'ignorance et de déductions fallacieuses" des heures et des jours qui ont suivi le massacre. "La vérité est bien plus sinistre", écrit Andrew Gumbel. Eric Harris avait largement exposé son but sur son site Internet. Il tient en quelques mots : faire disparaître le lycée et tous ceux qui s'y trouvent.