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Un enfant de 6 ans tué par balle chez lui
NDLR : Voila un travail pour l'Aide Sociale à l'Enfance, rafler les momes des chasseurs et autres détenteurs d'armes à feu, de dispositifs dangereux voire même d'engins agricoles. Ce n'est malheureusement pas le premier enfant ni probablement le dernier à disparaitre ainsi, tué par balle, chez lui. Cela devrait motiver les troupes qui n'ont plus qu'à troquer le mamouromètre de Philippe Bas contre un détecteur de métaux : une arme dans un foyer pourrait suffire à motiver un placement transitoire ou à satisfaire une demande d'adoption. Je souhaite bien du courage à la BAC ainsi qu'au RAID, leurs services risquent d'être sollicités.
Un enfant de 6 ans tué par balle chez lui
AFP, 19/04/2009 | Mise à jour : 21:29, extrait
Un enfant de 6 ans a été tué par balle hier soir à son domicile de Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) où il se trouvait avec son père, qui a été placé en garde à vue, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.
Vers 19H00 samedi, l'enfant, "qui se trouvait seul avec son père, a été tué par une balle d'un pistolet qui se trouvait dans l'appartement familial et qui appartient au père", a-t-on expliqué de source judiciaire, confirmant une information du site internet du Parisien.
PARIS (AFP), le 20 juin 2006 - Le Sénat a entamé mardi l'examen du projet de loi du ministre délégué à la Famille Philippe Bas sur la protection de l'enfance, dans un climat consensuel, tempéré par les réserves du groupe PS, qui s'est abstenu sur ce texte en commission, et du groupe PCF, qui a voté contre.
Cette réforme, qui vise à améliorer la prévention et le signalement des situations à risque, avait été mise en chantier après l'émoi suscité en 2005 par des affaires médiatisées de pédophilie et de maltraitance.
Le projet de loi, dont les sénateurs sont saisis avant les députés, "s'attaque à une réalité que nous ne pouvons plus ignorer", a souligné M. Bas, qui a évoqué "la souffrance de dizaines de milliers d'enfants victimes de négligence, d'indifférence, de manque d'amour".
Il a résumé l'architecture du texte à trois axes d'intervention: "renforcer la prévention, pour venir en aide aux enfants et à leurs parents avant qu'il ne soit trop tard, organiser le signalement pour détecter plus tôt et traiter plus efficacement les situations de danger, diversifier les modes de prise en charge, afin de les adapter aux besoins de chaque enfant".
Alors que les départements, en première ligne pour la protection de l'enfance, s'inquiètent du financement de ce nouveau dispositif, dans une situation budgétaire précarisée par l'explosion des dépenses de RMI et la montée en charge de la nouvelle prestation de compensation du handicap, le ministre s'est voulu rassurant.
"Il s'agit avant tout d'une réforme d'organisation plus que de moyens. Mais il faut des moyens, notamment pour la prévention. Aussi je tiens à vous confirmer que le gouvernement s'engage à ce que toutes les charges induites par la réforme soient compensées", a-t-il promis.
Le rapporteur André Lardeux (UMP) a insisté sur la responsabilité première des parents à qui "revient en premier lieu de veiller à la sécurité physique, matérielle et affective de leurs enfants". "Mais quand cette protection parentale est défaillante, les pouvoirs publics ont le devoir de prendre le relais", a-t-il dit.
Pour le PS, Claire-Lise Campion a salué le "consensus" qui a présidé à l'élaboration du projet de loi. Elle a toutefois regretté qu'il ne s'agisse pas "de la loi refondatrice de la protection de l'enfance qui était attendue".
Elle a surtout critiqué l'"ambiguïté" de l'action du gouvernement qui, dans le même temps, prépare un texte "répressif" sur la prévention de la délinquance. "Il ne faudrait pas que cet autre texte vienne vider petit à petit de son contenu la réforme qui nous est soumise aujourd'hui", a-t-elle averti.
Plus sévère, Guy Fischer (PCF) a dénoncé des "amalgames entre pauvreté, délinquance, immigration, fraude, chômage". "Vous accroissez la culpabilisation et les mesures répressives en direction des populations les plus en difficulté. Et vous niez les problèmes sociaux, et les conséquences économiques dramatiques du libéralisme", a-t-il protesté.
L'UDF, par la voix de Philippe Nogrix, a "félicité le gouvernement d'avoir pris le temps de la concertation" pour élaborer ce texte où "l'intérêt supérieur de l'enfant tient lieu de fil rouge". Il a toutefois demandé à M. Bas de "veiller à ce que le futur texte sur la prévention de la délinquance n'instrumentalise pas la protection de l'enfance".
Le projet de loi a fait l'objet de 137 amendements. Il devrait être voté dans la nuit de mercredi à jeudi.
Société
Un enfant de 5 ans meurt écrasé par le tracteur de son père dans la Manche
AP | 04.06.2007 | 11:54
Un enfant de cinq ans est mort écrasé par le tracteur que conduisait son père dimanche en fin d'après-midi dans une ferme de Gourfaleur, près de Saint-Lô (Manche), a-t-on appris lundi auprès des gendarmes.
L'accident est intervenu peu après 18h dans la cour de la ferme d'un exploitant agricole. Le jeune garçon, qui était sur sa trottinette, a été écrasé par le tracteur de son père qui était en train de faire une marche arrière.
L'enfant est décédé sur le coup. Selon les premiers éléments de l'enquête, le père de famille n'aurait pas vu son petit garçon qui jouait derrière l'engin agricole. AP
Nouvelles / Québec
vendredi 22 août 2008 à 7H10, Matin.qc.ca, extrait
Une petite fille écrasée par un tracteur
Une petite fille de 5 ans a été écrasée par le tracteur que conduisait son père sur une ferme de Princeville, dans la région du Centre-du-Québec.
La petite Ovalee Guérard accompagnait son père pour aller porter une pièce agricole. Au retour, trois enfants étaient assis dans la pelle et le tracteur roulait lentement.
La fillette est tombée et son père ne l'a pas vu. Elle a été écrasée par l'engin.
Accident de ferme
Un enfant de sept ans meurt écrasé par un tracteur
Mise à jour : 01/07/2008 18h45, LCN
(Presse Canadienne) Un garçon de sept ans a perdu la vie de façon tragique, mardi après-midi, sur une ferme à Marieville, en Montérégie.
L'enfant effectuait des travaux sur une terre agricole en compagnie de son grand-père.
Au moment d'accrocher une remorque à foin à un tracteur, le grand-père croyait avoir mis son véhicule au neutre et a retiré son pied de l'embrayage de la transmission, mais le véhicule a reculé et a écrasé le garçon.
La Sûreté du Québec n'a pas plus de détails pour l'instant. Elle se rend sur les lieux de l'accident.
Un enfant de 11 ans écrasé par un tracteur
DHnet, (13/01/2003), extrait
Emoi dans un village dinantais
LOYERS A deux pas de Dinant, le village de Loyers a connu une fin de week-end dramatique dans une ferme de cette entité sympathique. Un enfant y a perdu la vie dans de tristes circonstances. La matinée de dimanche touchait à sa fin lorsque un enfant de 11 ans donnait à manger à du bétail avaec son père.
Une activité que, selon les services intervenus sur les lieux, le jeune enfant faisait de temps en temps en compagnie de son papa. Pour donner de la nourriture aux animaux, il se trouvait sur l'avant d'un petit tracteur avec son père qui était non loin de lui. Ils faisaient cela à deux depuis plusieurs minutes avant que tout ne bascule.
Colorants : 42 % des bonbons non conformes
Le Figaro, 17/04/2009 | Mise à jour : 22:44, extrait
Les teneurs non conformes constatées sont en général «légèrement supérieures» aux taux autorisés, soulignent les auteurs de l'étude, ajoutant que «ce ne sont pas forcément des produits allergènes» et que «le risque est plutôt faible» pour le consommateur.
Faits divers
Un bébé écrasé par la voiture de sa mère
publié le 29/01/2009 à 12h54, Sud presse(.be), extrait
Une petite fille de 11 mois est décédée mercredi soir à Tubize après avoir été écrasée accidentellement par la voiture de sa mère.
Peu après 17h00, la mère avait quitté son domicile en voiture situé à la rue Scaillet. L'enfant circulant en trotteur a vraisemblablement voulu suivre sa mère et s'est retrouvée sur le pas de la porte d'entrée comptant deux marches. Ne faisant pas attention, l'enfant a chuté et a alors basculé sur la rue. Assistant à tout cela en jetant un oeil dans son rétroviseur, la mère a voulu réagir. Mais dans l'affolement, elle aurait oublié de mettre son frein à main ou aurait confondu les pédales.
Faits divers
Lourdes attire de plus en plus d’illuminés
Le Parisien | 19.04.2009, 07h00, extrait
A l’image d’autres villes empreintes de religion, Lourdes accueille de nombreuses personnes souffrant de troubles psychologiques.
A lourdes, rien que les chiffres donnent le tournis : 9 millions de visiteurs en 2008, troisième ville hôtelière de France, 800 t de cierges brûlés chaque année. Mais pour quelques-uns des pèlerins venus goûter à la source miraculeuse, où la Vierge serait apparue à Bernadette Soubirous en 1858, l’accès à la paix intérieure peut prendre des airs de chemin de croix.
Ainsi, dans la nuit du 22 au 23 mars, Elisabeth, 34 ans, installée à Lourdes pour vivre pleinement sa foi, s’est acharnée sur sa mère à coups de lampe de chevet, de latte de sommier et finalement de crucifix. Pour la fille, la victime était possédée par le diable. Une vision qui l’a conduite à l’hôpital psychiatrique, où elle s’est suicidée quelques jours plus tard.
Des patients échappés d’hôpitaux
Si une telle issue tragique reste rarissime, Lourdes est un phare pour bon nombre de brebis égarées psychologiquement. « Ici ? C’est un nid de fous ! » s’exclame Daniel, serveur dans une brasserie. « C’est sûr qu’il y en a un paquet à côté de la plaque, renchérit Daniel, chauffeur de bus. Ceux-là, on les repère tout de suite. »