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L'association L'Arche de Zoé aurait été mise en examen
LEMONDE.FR | 29.05.09 | 14h45 • Mis à jour le 29.05.09 | 14h48, extrait
L'association L'Arche de Zoé aurait été mise en examen, selon une information révélée, vendredi 29 mai, par le journal Le Parisien. En octobre 2007, cette association avait tenté de transférer en France 103 enfants tchadiens pour les faire adopter en France. Les juges d'instruction en charge de l'affaire auraient informé, jeudi, Eric Breteau, président de L'Arche de Zoé, de la mise en examen de son association en tant que personne morale pour "aide au séjour irrégulier de mineurs étrangers en France", "exercice illégal de l'activité d'intermédiaire en vue d'adoption" et "escroquerie".
Vu sur France Info
Société 29/05/2009 - 16:03 - Le JDD
L'Arche de Zoé mise en examen
Selon Le Parisien, les deux juges d'instruction qui enquêtent sur l'Arche de Zoé ont informé jeudi son président Eric Breteau que l'association était mise en examen en tant que personne morale. L'association est poursuivie pour "aide au séjour irrégulier de mineurs étrangers en France", "exercice illégal de l'activité d'intermédiaire en vue d'adoption" et "escroquerie". En octobre 2007, l'Arche de Zoé avait tenté de transférer 103 enfants africains présentés comme orphelins depuis le Tchad vers la France.
Société, 30/05/2009 à 06h51, Extrait
Le camp Coupat soigne son droit
Tarnac. Les avocats du suspect se battent pour que le juge antiterroriste soit dessaisi.
Jean-Claude Marin, le procureur de la République de Paris, est furieux. La sortie hypermédiatisée de Julien Coupat de la prison de la Santé ferait passer pour blanc comme neige le principal suspect de l’affaire de Tarnac. Dans un communiqué diffusé vendredi, il rappelle que «M. Julien Coupat demeure mis en examen [notamment pour le chef] de direction ou organisation d’un groupement formé en vue de la préparation d’un acte de terrorisme». Selon lui, «cette mise en examen repose sur des charges significatives». Quelques heures plus tard, Coupat réplique en faisant appel de son contrôle judiciaire, qui l’oblige à se tenir entre Montreuil (Seine-Saint-Denis) et Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), à payer 16 000 euros de caution et qui l’empêche de voir sa compagne, Yildune Lévy.
La bataille médiatique continue avec un net avantage pour Coupat et ses soutiens. Une bataille qui en masque une autre. Celle qui se joue dans les galeries du Palais de justice entre le juge d’instruction Thierry Fragnoli et le parquet d’un côté, les avocats de l’autre. Ils s’opposent sur la qualification de l’affaire en terrorisme.