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Iran/propos sur la Shoah : colère de Berlin
Contacts USA/Iran improbables à l'ONU
AFP, 18/09/2009 | Mise à jour : 19:28
Des contacts entre la délégation américaine et le président iranien Mahmoud Ahmadinejad à l'occasion de l'Assemblée générale de l'ONU à New York sont très improbables et aucun n'est en tout cas prévu, a déclaré l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU Susan Rice.
Iran/propos sur la Shoah: colère de Berlin
AFP, 18/09/2009 | Mise à jour : 20:03, extrait
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a estimé ce soir que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad était "une honte pour son pays", celui-ci ayant qualifié l'Holocauste de "mythe". M. Steimeier a estimé "inacceptable" cette nouvelle déclaration révisionniste du président iranien. "Avec ses tirades insupportable, il est une honte pour son pays" et son "antisémitisme revendiqué doit être condamné collectivement", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Pas de sommet USA/Israël/Palestine
AFP, 18/09/2009 | Mise à jour : 18:56
L'ambassadrice des Etats-Unis auprès de l'ONU, Susan Rice, a dit ne pas être en mesure d'annoncer une rencontre trilatérale entre le président Barack Obama et les dirigeants israéliens et palestiniens en marge de l'ONU la semaine prochaine.
Défense, 18:31, Le Temps, extrait
Entre l’Otan et la Russie, l’heure est bien à la détente
La décision de Barack Obama de redéployer le bouclier antimissile Américain en Europe de l’Est a ouvert une brèche dont l’Alliance atlantique espère profiter. Son secrétaire général Anders Fogh Rasmussen l’a confirmé ce matin à Bruxelles dans un discours d’apaisement et d’ouverture envers Moscou. La perche est tendue au Kremlin. Après l’annonce jeudi par Barack Obama du redéploiement du projet de bouclier antimissile Américain en Europe de l’est, le secrétaire général de l’Otan Anders Fogh Rasmussen a affirmé à Bruxelles vouloir en tirer toutes les conséquences. «Nous consacrons beaucoup trop d’énergie à ce qui nous divise. Un nouveau démarrage est nécessaire dans nos relations avec la Russie» a-t-il déclaré d’emblée à l’invitation de la fondation Carnegie.