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MAM rechigne à témoigner au procès du « gang des barbares »
MAM rechigne à témoigner au procès du "gang des barbares"
LEMONDE.FR | 18.11.10 | 20h34 • Mis à jour le 18.11.10 | 20h42, extrait
Lundi 15 novembre, jour de sa passation de pouvoir au nouveau garde des sceaux, Michel Mercier, et de sa prise de fonction au quai d'Orsay comme ministre des affaires étrangères, Mme Alliot-Marie a adressé au président de la Cour d'assises du Val-de-Marne, Olivier Leurent, un courrier dans lequel elle prend ses distances avec cet épineux dossier. "Il ne m'appartient pas de me prononcer devant une juridiction sur la légitimité d'un pouvoir qui m'est attribué par le législateur, sauf à méconnaître le principe de séparation des pouvoirs", écrit-elle dans cette missive qui a été distribuée, jeudi 18 novembre, à tous les avocats. "À LA DISPOSITION DE LA COUR D'ASSISE". Son cabinet avait pourtant indiqué avant le début de ce deuxième procès entamé le 25 octobre que Mme Alliot-Marie se tenait "à la disposition de la cour d'assises" si celle-ci jugeait "utile d'entendre son témoignage". Sur France Inter, le 27 octobre, la ministre avait encore affirmé qu'elle était "bien entendu" prête à venir témoigner à Créteil si la cour l'estimait "nécessaire".
Une tuerie fait quatre morts et cinq orphelins
Mots clés : meurtre, tuerie, EURE-ET-LOIR
Par Audrey Pelé
Le Figaro, 18/11/2010 | Mise à jour : 22:17, extrait
Une tuerie. Dans la nuit de mercredi à jeudi, un homme d'une trentaine d'années a commis l'irréparable : après avoir tué par balles un couple d'enseignants, il a abattu sa propre femme. Ses deux enfants ont été épargnés.
Faits divers
Incendie de Dijon : les deux suspects mis en examen
Le Parisien | 18.11.2010, 10h47 | Mise à jour : 18h49, extrait
L'incendie qui a fait sept morts dans un foyer de travailleurs immigrés à Dijon le week-end dernier serait donc volontaire. Les deux personnes interpellées dans ce drame ont été mis en examen jeudi notamment pour «destruction volontaire». Elles ont reconnu les faits. Il s'agit de deux cousins de 18 et 19 ans, qui avaient déjà provoqué des incendies l'été dernier. L'un des deux a été interpellé dans un hôpital psychiatrique. La société Adoma (ex-Sonacotra) a porté plainte pour dégradation volontaire et mise en danger de la vie d'autrui jeudi. «L'entreprise continue de travailler en étroite collaboration avec la justice et les experts afin de comprendre la rapidité de propagation du feu, en ayant réuni tous les éléments techniques et les autorisations ayant trait à la façade de l'immeuble et au local poubelles», a précisé Adoma.
France
Seine-Maritime. Soupçonnée d'avoir tué son mari, elle reste cinq jours à ses côtés
17 novembre 2010 à 18h08 - Le Télégramme, extrait
Le drame remonterait au 10 novembre, selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP. Ce jour-là, un chauffeur routier de 58 ans a été tué par balles à son domicile. Qui a commis le crime ? Sa femme, âgée de 56 ans, est la principale suspecte. Selon les premiers éléments de l'enquête, elle aurait commis ce meurtre par jalousie. Incapable de réagir après la mort de son mari, elle est restée près du corps pendant cinq jours. Elle n'a prévenu son frère que lundi soir. Ce dernier a alors alerté la gendarmerie en affirmant que sa soeur lui avait demandé de venir l'aider à déplacer le corps du mari décédé.
Paris
Criblé de balles dans un hôtel parisien : un drame de la jalousie
Le Parisien | 11.11.2010, 00h36 | Mise à jour : 17h48, extrait
Un confortable hôtel parisien du XIVe arrondissement a été le théâtre d'un crime, mercredi soir. Le réceptionniste de cet établissement a été tué de plusieurs balles par un homme jaloux qui venait d'être quitté par son amie. Le crime, révélé mercredi soir par Europe 1, a été confirmé par une source judiciaire.
En garde à vue après avoir tenté d'immoler ses enfants
Par TF1 News (D'après agence), le 17 novembre 2010 à 15h55, mis à jour le 17 novembre 2010 à 15:58, extrait
Une femme soupçonnée d'avoir voulu tuer par le feu son fils et sa fille lundi, dans une commune de l'Hérault, se trouvait mercredi dans les locaux de la gendarmerie de Lunel.
INFO - FRANCE - Bordeaux - éducation
Publié le 18/11/2010 | 15:08, France 2, extrait
Juppé se rend au lycée Toulouse-Lautrec
Alain Juppé s'est rendu jeudi au lycée Toulouse-Lautrec de Bordeaux où un lycéen a tenté hier de s'immoler par le feu. Le maire de Bordeaux a qualifié ce "drame d'épouvantable" et a dit mesurer "tout le désarroi dans lequel sont plongés à la fois les enseignants et les élèves".
Vaucluse > Avignon
Tentative d’assassinat à la voiture piégée
Le Dauphiné Libéré, le 13/11/2010 à 05:00, extrait
Quand la fiction rattrape la réalité... Hier, aux environs de 15h, un homme de 28 ans a été victime d’une tentative d’assassinat à la voiture piégée. « Tout ce que l’on sait c’est qu’il y a eu une grande détonation et puis on a vu arriver la police quelques minutes après », confiait hier soir une riveraine de la rue Hernandez-De-Heredia, dans le quartier Saint-Véran. Une équipe de démineurs basée à Marseille est venue en renfort des forces de police locale. Les premiers éléments d’enquête indiquent qu’il s’agit d’une grenade placée sous le véhicule. L’engin explosif, de fabrication artisanale selon une de nos sources, était relié à la portière par un fil. Réglé pour exploser au moment où la cible ouvrait la porte.
Faits divers
Avignon : il piège la voiture de son rival avec une grenade
Le Parisien | 18.11.2010, 20h15 | Mise à jour : 20h21, extrait
Touché au plus profond de son orgueil et de sa fierté, un homme de 47 ans a tenté de tuer à coups de grenade, un rival avec lequel il s'était battu au mois d'août dans un commerce d'Avignon (Vaucluse). Présenté cet après-midi à un juge d'instruction, le suspect a été mis en examen pour tentative d'assassinat avant d'être placé en détention provisoire.
Faits divers
Agde : ils avaient torturé un SDF à mort pour lui voler du cannabis
Le Parisien | 18.11.2010, 20h44, extraits
C'est l'issue d'investigations menées tous azimuts, pendant près d'un an, par les enquêteurs du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier (Hérault). Trois hommes, soupçonnés d'avoir torturé un SDF avant de le tuer dans un appartement d'Agde au mois de janvier ont été présentés, hier, à un juge d'instruction de Béziers. [...] Les trois suspects ont fini par avouer être venus trouver Azzedine pour se fournir en cannabis. «Pour une raison indéterminée, ils s'en sont pris physiquement à lui avant de lui asséner de multiples coups, ajoute la même source. Ils semblent avoir voulu lui faire révéler l'endroit où il cachait ses stupéfiants».
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« On ne comprend pas »
LA MÈRE du meurtrier qui s’est suicidé
Le Parisien | ESTELLE DAUTRY ET T.B. | 19.11.2010, 07h00
Pour ses nombreux proches, rien ne laissait présager le brutal passage à l’acte de Xavier Goussard. La veille de son geste, sa mère, qui l’a croisé, n’a rien remarqué. « On ne comprend pas ce qu’il s’est passé », ressasse-t-elle. Son patron non plus. « La dernière fois que je l’ai vu, c’était lundi, se souvient Alain Carlier, le chef de service de l’antenne départementale de l’Office national de la chasse et de la flore sauvage (ONCFS) où le meurtrier présumé travaillait depuis 1987.
Il avait l’air tout à fait normal. » Chargé de la police de l’environnement, Xavier Goussard était réputé pour son sérieux. « Il n’y a jamais eu aucun problème avec lui, aucune plainte à son égard », poursuit Alain Carlier.
Chasseur amateur, le quadragénaire pratiquait également la course à pied avec assiduité. « Il courait tout le temps, tout seul, par tous les temps », indique une voisine. « Il avait dans ses projets de participer au Marathon de Paris », ajoute Alain Carlier. Aux dernières élections municipales, il avait également rejoint l’équipe municipale dirigée par le maire Philippe Cossay. « Toute l’équipe du conseil l’appréciait, relève ce dernier. Il était aussi membre du conseil communautaire. Nous sommes sous le choc. »
Une vie rangée et harmonieuse en surface
De l’avis de tous, il formait un couple harmonieux avec Christelle son épouse. « Je suis allé boire le café chez eux plusieurs fois. J’avais l’impression que tout fonctionnait bien », détaille Alain Carlier. Les Goussard avaient même fait construire un pavillon tout neuf, adossé à une ferme et situé en bordure d’un champ, dans lequel ils avaient pris place l’an dernier à Rouvray-Saint-Florentin, la patrie familiale de Xavier. Après avoir eu deux enfants aujourd’hui collégiens, ils avaient eu un troisième enfant, une petite fille, il y a deux ans. « Xavier parlait souvent de ses enfants. Il s’en occupait beaucoup, il les emmenait au sport », se souvient encore Alain Carlier.
Cette vie rangée et harmonieuse en surface s’est donc brisée dans la nuit de mercredi à jeudi. « On ne se doutait de rien mais derrière chaque mur se cache toujours un secret », philosophe une voisine du couple.