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Les policiers mal dans leur peau faisaient de la publicité
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Publié le 26/11/2010 08:42 - Modifié le 26/11/2010 à 17:15 | LaDepeche.fr
Phrase de Carla Bruni : "Mais qu'ils sont cons, ces journalistes !"
La première dame de France, qui assistait à l'émission dans les coulisses, en compagnie de "professionnels de télévision" comme Bertrand Méheut et Rodolphe Belmer de Canal+, Nonce Paolini et Catherine Nayl de TF1. Selon Le Parisien, Carla Bruni-Sarkozy était "irritée par les questions des journalistes", elle aurait même "levé les yeux au ciel en entendant parler des écoutes téléphoniques."
Emmanuel Berretta du Point.fr explique que Carla Bruni-Sarkozy s'est énervée quand David Pujadas a abordé les sujets des ordinateurs volés dans les rédactions et des écoutes téléphoniques. Elle se serait exclamée : "Mais qu'ils sont cons ces journalistes !".
Relations difficiles avec les médias
Les relations du couple présidentiel avec les médias sont de plus en plus difficiles. ...
Angers
Inauguration du tramway : le budget passe de 400 000 €... à 150 000 € !
Transports samedi 27 novembre 2010, Ouest-France
Devant la polémique qu’a suscitée une inauguration du tramway à 400 000 €, Jean-Claude Antonini a décidé de retirer ce projet. Le tramway sera bien inauguré. Mais le président d’Angers Loire Métropole proposera, à la prochaine réunion du conseil d’agglo, un budget à 150 000 €. Plus question de faire appel à des professionnels de l’événement. La fête sera organisée par les services de l’agglo, en partenariat avec les associations, les maisons de quartier et autres salles de spectacle. Exit également la réception des personnes ayant participé au chantier. Le centre de maintenance du tramway sera seulement prêté aux entreprises, si elles souhaitent organiser une réception. Ouest-France avait notamment révélé dans son édition du 19 novembre qu'un repas de gala avec 1 500 personnes était programmé, à la stupéfaction des élus qui n'étaient pas au courant. L'explications de Jean-Claude Antonini est à découvrir dans notre édition papier de samedi.
Les policiers mal dans leur peau faisaient de la publicité
L'Express, publié le 26/11/2010 à 19:50, extrait
La dernière des quatre vidéos, "Epilogue", postée le 25 novembre, lève le voile. Les énigmatiques lettres "FPC" sont l'acronyme de Flic, c'est pas du cinoche, le nouveau livre de Marc Louboutin. Cet ex-inspecteur de police est un récidiviste: en 2007, il avait publié Métier de chien, Lettre à Nicolas, un livre sur la police rédigé au vitriol.
Cette démarche promotionnelle, si elle a tenu en haleine les internautes, n'est pas du goût des syndicats de police. Mohamed Douhane, membre du bureau national de Synergie officiers, dénonce une manipulation. "Des policiers [ceux que l'on voit dans les vidéos, ndlr] ont été instrumentalisés pour faire la promotion d'un livre." Selon Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint d'Alliance, ce sont "les journalistes qui ont été manipulés": "Les livres sur la police génèrent autant de recettes que les couvertures de journaux sur la franc-maçonnerie!"
Mettre en scène des policiers pour dénoncer le fonctionnement de la police est "immoral", estime Mohamed Douhane. Pis, "c'est un viol du devoir de réserve: seuls les délégués syndicaux sont autorisés à s'exprimer publiquement".