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Unesco : le Crif « déplore » le vote
Palestine/Unesco: sanctions d'Israël
Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 01/11/2011 à 19:49 | publié le 01/11/2011 à 19:17
Au lendemain de l'adhésion de la Palestine à l'Unesco, Israël a annoncé son intention de lancer un programme de construction de 2000 nouveaux logements à Jérusalem-Est et en Cisjordanie. Israël a également annoncé suspendre provisoirement les transferts de fonds à l'Autorité palestinienne. "Ces mesures ont été prises par le forum des huits principaux ministres sous la présidence du premier ministre Benyamin Nétanyahou en guise de sanction après le vote à l'Unesco", a précisé une source officielle à l'Agence France-Presse.
Les Etats-Unis avaient déjà annoncé hier lundi, là encore en réponse à cette adhésion, geler sa participation au budget de l'agence.
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De source http://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2011/11/01/les-bourses-europeennes-devissent-apres-le-revirement-grec_1596676_1581613.html#ens_id=1268560
Peu après cette démission, une parlementaire socialiste influente a préconisé la formation d'un gouvernement d'union nationale suivie de la tenue d'élections anticipées ; nouveau défi au premier ministre, Georges Papandréou. "Le pays est menacé d'une faillite immédiate", a-t-elle lancé, alors que le recours annoncé au référendum faisait chuter les Bourses européennes et replonger la zone euro dans la tempête.
C'est ensuite six membres du Pasok, le parti de Georges Papandréou, qui ont réclamé la démission du premier ministre. Un responsable du gouvernement, cité par l'agence de presse Reuters, témoigne de la surprise générale au sein de la majorité : le premier ministre n'avait pas informé son ministre des finances, Evangelos Venizélos, qu'il allait annoncer la tenue d'un référendum. "Tout est fini, le gouvernement est sur le point de tomber" aurait déclaré une source citée par le Guardian, tandis que le président du Parlement s'entretenait avec les six membres du Pasok qui ont demandé la démission du premier ministre.
La suite: http://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2011/11/01/grece-la-majorite-vacille_1596980_1581613.html#ens_id=1268560
Ce coup de théâtre a déclenché une forte chute des marchés financiers (lire ci-contre). Les taux payés par l'Italie, devenus le baromètre du risque de contagion dans la zone euro, se sont à nouveau envolés, malgré l'intervention massive de la Banque centrale européenne (BCE). Et la déclaration commune franco-allemande qui se dit déterminée à appliquer les décisions prises la semaine dernière n'ont pas même réussi à freiner le mouvement. Il est vrai que l'accord de Bruxelles, par son flou, n'avait déjà guère convaincu les marchés. Mais il est certain que désormais la tension aura de la peine à retomber. Car que se passera-t-il en cas de « non » grec ? Sans l'aide européenne, Athènes n'aura d'autres choix que de faire un défaut unilatéral sur sa dette, voire de négocier sa sortie de la zone euro. Dans ce cas, la contagion sera bien difficile à stopper pour les autres maillons faibles de la zone. « L'Europe doit se préparer aux cas extrêmes », a prévenu le chef économiste d'Allianz, Michael Heise, dans une note. « Il est désormais essentiel que les détails des nouveaux instruments du plan d'aide et de la décote de la dette grecque soient rapidement rendus publics », ajoute-t-il.
Coup de poker
De source http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20111101trib000660897/papandreou-impose-son-peuple-dans-le-debat-sur-la-crise.html