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Publié le 04/11/2011 13:30 - Modifié le 04/11/2011 à 13:30 | avec Agence, le Télégramme
Liliane Bettencourt veut être placée sous la tutelle de son petit-fils
Nouveau coup de théâtre dans l'affaire qui oppose Liliane Bettencourt et sa fille Françoise Meyers-Bettencourt. La milliardaire n'est plus contre son placement sous tutelle mais souhaite être placée sous la tutelle unique de son petit-fils Jean-Victor Meyers. Elle doit déposer une demande à la justice en ce sens vendredi.
La cour d'appel de Versailles, saisie en référé, doit examiner dans l'après-midi l'assignation de Liliane Bettencourt qui demandait initialement la suspension de l'exécution du jugement rendu mi-octobre de mise sous tutelle de la milliardaire placée sous la protection de sa fille Françoise Meyers-Bettencourt et de ses petits-enfants Jean-Victor, 25 ans, et Nicolas Mayers, 22 ans.
L'héritière du fondateur de L'Oréal se réserve toujours la possibilité d'attaquer ultérieurement sur le fond "le principe même de la mise sous tutelle dont elle a été l'objet", a indiqué son avocat, Me Jean-René Farthouat. "Liliane Bettencourt souhaite dans un souci d'apaisement et pour le temps de la procédure d'appel que Monsieur Jean-Victor Meyers soit, à l'exclusion de tout autre, chargé de l'assister aussi bien personnellement que pour la gestion de ses biens", a déclaré Me Farthouat. "Cette décision n'implique ni renonciation à contester le principe même de la mesure de tutelle dont (Liliane Bettencourt) a été l'objet ni défiance à l'égard de son mandataire Monsieur Pascal Wilhelm", a-t-il ajouté.
La juge des tutelles de Courbevoie, dans les Hautes-de-Seine, qui avait placé Liliane Bettencourt sous tutelle, avait prononcé une exécution provisoire de cette décision, qui ne pouvait pas être suspendue par l'appel formé par les conseills de la milliardaire. L'audience de ce vendredi porte justement sur l'exéctuion provisoire de ce jugement, avant un décision sur le fond en appel dans quelques mois.
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Sur l'un de ces forums, « un jihadiste explique que l'attentat démontre l'attachement des musulmans à leur foi », a indiqué SITE. « Ils peuvent le refaire n'importe quand, particulièrement en cette période où le chômage s'étend et que rien ne préoccupe les jeunes musulmans », ajoute ce jihadiste, selon une traduction de l'arabe effectuée en anglais par SITE. D'autres mouvements islamistes appellent les musulmans en Egypte, en Libye et en Tunisie à « protester et à exiger que leurs dirigeants menacent de rompre les liens avec la France » si Paris n'interdit pas Charlie Hebdo de publication et «ne pénalise pas» les atteintes à l'islam.
De source http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/charlie-hebdo-des-jihadistes-se-rejouissent-153444.html
AFP Publié le 06/11/2011 à 12:11
L'un des membres du groupe de hackers turcs qui ont revendiqué le piratage mercredi du site internet de Charlie Hebdo, mis hors service, a affirmé, dans un entretien au Journal du Dimanche, "défendre son pays" et a menacé le quotidien Libération.
Les locaux de l'hebdomadaire satirique ont été détruits par un incendie criminel mercredi, le jour où paraissait un numéro dont la Une représentait le prophète Mahomet, "rédacteur en chef" d'un journal rebaptisé "Charia Hebdo". Le site internet du journal a en outre été victime d'un piratage informatique.
"Si Libération continue à publier ces dessins, nous nous occuperons d'eux aussi", déclare Ekber, un jeune homme de 20 ans, rencontré par Le JDD à Istanbul. "Nous défendons notre pays et nos institutions", justifie Ekber.
«Nous ne soutenons pas la violence»
Ekber, membre du groupe de pirates turcs Akincilar et surnommé "Black Apple", explique : "Nous ne pensons pas avoir fait quelque chose de mal, ce n'est pas comme si nous avions siphonné des comptes bancaires. C'est une protestation contre une insulte à nos valeurs et nos croyances." Cependant, selon le JDD, Ekber a tenu à se désolidariser de l'attaque qui a ravagé le journal. "Nous ne soutenons pas la violence", affirme le jeune homme, étudiant à l'université Isik et futur ingénieur informatique.
Ekber explique qu'il n'avait jamais entendu parler de Charlie Hebdo auparavant. Mais, après avoir lu sur internet des articles de journaux parlant de la sortie du numéro spécial, le groupe Akincilar a décidé de réagir. A la suite du piratage du site du journal satirique, la société Bluevision, qui assure son hébergement, l'avait mis hors service après avoir "reçu des menaces de mort".