« Femmes : défilé contre la violence à Paris | Le chercheur fraudait depuis dix ans » |
Grèce : les Français ne veulent pas payer
NDLR : C'est quoi, cette info, va-t-il suivre une réduction des dépenses ou une hausse de la TVA ?
Budget 2012 : le plus rigoureux depuis l'après-guerre (Fillon)
Le Figaro.fr avec Reuters Mis à jour le 05/11/2011 à 13:17 | publié le 05/11/2011 à 13:09
Le premier ministre François Fillon a estimé ce samedi que le seul moyen de réduire la dette française était de réduire les dépenses de l'Etat. Il s'exprimait lors d'un déplacement à Morzine (Haute-Savoie), au moment où se jouent les arbitrages de l'Elysée pour un nouveau plan d'austérité.
Une hausse de la TVA est notamment attendue. "L'heure de vérité a sonné, il n'est pas utile de s'en prendre aux agences de notation, aux banquiers, aux spéculateurs ou à je ne sais quel bouc émissaire, pas utile de faire croire qu'il y a des trésors cachés pour financer nos dépenses publiques quand on a le record de la dépense publique et le record des prélèvements obligatoires. Il n'y a pas d'autre recettes pour réduire l'endettement que de réduire la dépense. Cette réalité est incontournable, le seul programme qui vaille en 2012 c'est le retour à l'équilibre des comptes publics", a-t-il ajouté.
François Fillon promet que le budget de l'Etat pour 2012 sera le plus rigoureux depuis l'après-guerre. Le premier ministre doit annoncer lundi le plan censé rapporter six à huit milliards d'euros pour compenser la révision à la baisse à 1% de la croissance en 2012, et permettre à la France de conserver les capacités d'emprunt à coût modéré.
Société | 05/11/2011 - 09:36, le JDD
Grèce : les Français ne veulent pas payer
Les Français désapprouvent en majorité l'augmentation de la contribution financière de la France au plan d'aide à la Grèce, selon un sondage Ifop à paraître dimanche dans Dimanche Ouest France.
Selon ce sondage réalisé les 2 et 4 novembre auprès d'un échantillon de 1.040 personnes, sélectionné selon la méthode des quotas, 63% des Français désapprouvent l'augmentation de la contribution financière française. Le projet n'est ainsi approuvé que par 37% des personnes interrogées, dont 5% l'approuvent "tout à fait".
Pages: 1 · 2
1 commentaire
Ce résultat est comparable à ceux observés lors des précédentes enquêtes (65% en février 2009, 68% en avril 2009 et 65% en septembre 2010), mais la proportion des personnes interrogées estimant que la crise les affecte "beaucoup" (30%) est en augmentation (21% en février 2009, 25% en avril 2009 et 20% en septembre 2010).
De source http://www.leparisien.fr/bordeaux-33000/deux-francais-sur-trois-affectes-par-la-crise-dans-leur-vie-personnelle-sondage-05-11-2011-1704051.php